Près de la photocopieuse (PV Koyo) (possibilité de X)

[fin du rp]

Les examens arrivaient. Bien sûr j'en donnai toujours un à la fin de chaque module et là je devais en préparer un. Sale boulot en fait, je peinais à tout les soirs pour leur faire un examen pour qu'il soit dans les normes et bien sûr je souhaitaient que mes étudiants étudient donc je mettais un point d'honneur à ce qu'il y ai une certaine difficulté. Donc après une longue nuit et un réveil brutal dû à mon super réveil-matin je déjeunai et prit une longue douche.

Je revêtis un pantalon de coton noir et un chandail vert, le tout était moulant mais pas vulgaire, juste assez sexy. Après avoir sécher et plaqué mes cheveux d'ébène je me dirigeai vers le lycée pour faire mes photocopies. Bien sûr j'arrêtai souvent pour papoter avec un collègue, répondre à un élève. Enfin salle des profs! Un bon café et allez les photocopies.

Je mis mes feuilles le nombres de copies dont j'avais besoin et....rien. Allez savoir pourquoi j'avais toujours de la difficulté avec cette satanée photocopieuse. Je commençais à sérieusement me demander si cet engin n'était celle du diable. Enfin je remis le tout à zéro, remit mes feuille, le nombres de copies...encore rien. Je pris une longue inspiration et fit le tour de cet engin de la mort. Troisième essai...rien. Là je commençais sérieusement à me foutre en rogne contre cette machine.

- Bordel! Mais c'est quoi ton problème toi? C'est pas compliqué juste faire des copies non?

J'ouvris les tiroirs pour voir s'il avait assez de papier. Mais oui il en avait un plein tiroir. Alors c'était quoi son problème? Je pensais sérieusement à la démolir. Bon en y repensant bien comment j'arriverais à expliquer ça au directeur? Excusez-moi, je voulais faire des copies et elle a imploser...Ouais c'est ça!

Légèrement fatigué par tout les évènement s que j'avais traversé, je pris la décision de me prendre une petite pause en salle des profs *Alors... Si je me souviens bien... C'est par là... Oui voilà...*.

J'ouvris la porte de la salle et vis ma collègue qui s'évertuait à faire marcher une photocopieuse, je m'approchais en souriant légèrement, arrivé auprès de ma collègue je la saluais assez rapidement...

"- Bonjour bonjour chère collègue"

Je m'accroupis soudainement au niveau de la machine en posant une main dessus, pris un air de réflexion en me grattant la tête...

"- Hmmm... Peut-être qu'en faisant ça..."

Je donnais un violent coup sur le côté de la machine, elle émit un petit vrombissement, je souriais, satisfait, puis me levais...

"- Et bien voilà ça a l'air de marcher maintenant"

Je sursautais en entendant la voix de Koyomi. Depuis quand il était là lui? Au fond de moi j'espérais qu'il ne m'avait pas entendu parler à une machine quoique cette possibilité était une utopie. Enfin il s'accroupit à côté de la dite machine et étudia le tout en se grattant la tête. Il fit ce que je n'osais pas faire et Ô bonheur elle se mit à fonctionner. Non mais elle me narguait cette machine! À croire qu'elle aimait mieux qu'un homme s'occupe d'elle! Enfin je fus soulagée car mes copies sortaient enfin! C'est que j'avais pas juste ça à faire moi!

- Merci beaucoup. Vous êtes mon sauveur j'étais à deux doigts de la démolir. Je ne crois pas avoir eu le plaisir de discuter avec vous. Jade Connelly, professeur d'anglais.

Je lui tendis la main et attendit qu'il se présente. Je le détaillait rapidement et il fallait bien l'avouer, il était mignon comme tout! Tiens voilà une série de terminé. Je reposais mes feuilles et refit d'autres copies et heureusement elle ne s'arrêta pas! Je pu donc papoter gentiment avec mon collègue.

- Alors, ça fait longtemps que vous bosser ici?

Je serrais la main qu'elle me tendait en souriant...

"- Enchanté... Je suis professeur de dessin, d'arts... Professeur Nakamura"

Je lachais sa main pour aller me servir une petite tasse de café, j'en bus une gorgée en la fixant droit dans les yeux...

"- Moi ? Je suis tout nouveau ici, je marche, j'observe, j'explore surtout pour l'instant*

Je repris une autre gorgée tout en continuant de la regarder...

"- M'enfin cette école recèle beaucoup de surprises... Parfois je me demande si c'est pas moi qui suis étrange..."

Je reportais mon attention sur le contenu de mon gobelet que je faisais tourner d'un mouvement de la main, après un moment, j'avalais tout le liquide d'un coup, cherchant du regard une poubelle où je pourrais jeter ce que je tenais dans la main...

"- Hmm... Vous savez... Je me demande si un jour j'arriverais à suivre le rythme de ce lycée... Mais bon je vais pas me morfondre davantage"

Je fis un sourire légèrement embarrassé...

"- Sinon , vous, vous vous êtes habituée à cet endroit ?"

Professeur de dessin? Au fond de moi je l'enviais car s'il y avait un talent que je n'avais pas c'était bien celui de l'art. Alors ceux qui savaient dessiner, peindre ou même sculpter ils avaient toute son admiration. Bien sûr mon visage dû exprimer cette admiration.

- Hé bien j'aimerais avoir votre talent monsieur Nakamura. Je n'ai même pas une parcelle de talent en dessin.

Tiens nouvelles copies de faites restait la dernière feuille. Oui bien je pouvais bien interrompre ma tâche un peu. De toute façon mes cours avaient lieu en après-midi. Je m'adossai donc à la dite machine en écoutant Koyomi me dire qu'il se promenait, observait, et qu'il se demandait s'il était étrange. Pourtant il m'avait l'air tout ce qu'il y a de plus normal! M'enfin gentille comme je suis je suis fit un sourire presque maternel avant de lui répondre.

- Mais voyons ne dites pas de telles choses! à moi vous me semblez normal. dis-je en riant, Blague à part, il est vrai que ce lycée à certaines surprises qui nous font douter de notre santé mentale.

Je fis une pause le temps qu'il me parle. Non mais il était pessimiste ce collègue! Mais peut-être avait-il une mauvaise journée qui sait? Toujours est-il que je fini mon café quand il me demanda si moi j'étais plus habituée que lui.

- Moi? En fait ça fait seulement quelques semaines que je suis ici. J'ai bien fait comme vous. J'ai mémorisé les endroits importants tel ma classe et la salle des profs ensuite lors de mes congés j'explorais le lycée et les alentours. J'imagine que vous faites de même non?

Je me ressaisis légèrement quand elle dit qu'elle n'avait aucun talent en dessin...

"- Oh mais vous savez tout le monde a du talent, après ça dépend du point de vue, mais en général pour ce qui est de l'art, tout le monde peut être apprécié... Regardez le soi-disant art moderne.. Pour moi empiler trois bouts de cartons c'est pas vraiment de l'art mais bon... A ce qu'il parait ça a du succès..."

Souriant malgré moi, je m'assis sur une chaise en prenant mes mains...

"- Moi ? Normal ? Hmmm... Ca doit être la première fois que j'entends ça... Mais merci"

Je m'étirais sur ma chaise...

"- Hmmm..."

Je réfléchis pendant un moment, me relevant...

"- Oui on peut dire que je fais ça à peu près, mais pour l'habitude je parlais de..."

Je détournais légèrement le regard, toussota une fois, rougissant légèrement...

"- Enfin je suis pas le seul à avoir remarqué que... que les gens se faisaient beaucoup plaisir ici"

Je ne m'étais jamais vraiment attardé sur ce point parce que j'avais souvent la tête ailleurs, juste le calme, le dialogue avec une collègue, a fait ressortir ce que je considérais de plus étrange ici...

- Bon bien je suis une artiste moderne alors. dis-je en souriant.

Oui bien mes dessins ressemblaient à des gribouillis d'enfant de deux ans mais bon passons, il me remercia pour le "compliment" que je lui avait fait. Même s'il me semblait "étrange" j'étais curieuse d'apprendre à le connaître. Enfin il me fit part de sa pensée à savoir que certains se laissaient aller à leur pulsion. Il avait détourné le regard et ses joues prirent une légère teinte rosée. Comme c'était mignon! Cependant je rougis à mon tour car j'avais bien succombé moi aussi à mes pulsion. D'abord avec Shimizu, ensuite Ayane...Tiens en y repensant bien c'était dans cette même salle que je fut prise par Shimizu. Un léger coup d'oeil à mon bureau me fit rougir un peu plus.

- Oh! Ça...oui en effet j'en ai entendu parler...enfin j'en ai déduis car il est rare que les gens se vantent de leurs...exploits disons. Mais dites-moi ça vous rend mal à l'aise non?

Je lui mit doucement la main sur son bras. Rien de racoleur juste un petit geste pour attirer son attention et lui montrer mon support...malgré que je faisais partie du lot de personne qui profitait de la situation. Quoique je n'ai jamais forcé personne, je m'assurais qu'ils ou elles étaient consentants(es). Oui bien "violé" était quelque chose de peu envisageable pour moi même pas du tout serait plus juste.

Je regardais ailleurs en rougissant encore davantage, portant ma main sur ma nuque...

"- Hmmm... C'est vrai que je n'entends pas les gens en parler mais... Disons que j'ai assisté, sans vraiment le vouloir à quelques scènes... "

A ces mots je me sentis très gêné...

"- ... Mais je pense pouvoir dire que ce genre de chose me met mal à l'aise !"

Je me calmais légèrement lorsqu'elle posa sa main sur mon bras...

"- Mais bon... Je ne vais pas arrêter d'enseigner juste pour ça...C'est quand même une superbe école..."

Je souris en regardant le sol, légèrement perdu dans mes pensées...

Pauvre collègue! Si tu savais combien de personne s'adonne à ses...."exploits". Moi-même j'en faisais partie. En fait j'étais une femme qui voulais connaître tellement d'expériences. Bon il était rare que je m'en privai de toute façon.

- Mais voyons! C'est disons...naturel. Enfin je ne veux pas vous faire la moral non plus. Mais n'avez-vous pas eu quelques tentations?

Oupss! J'ai peut-être dépassé les bornes après tout c'était sa vie privée. Peut-être avait-il eu envie de quelques étudiantes (ou étudiants allez savoir)... enfin s'il m'affirmait le contraire je serais bien suspicieuse. Mais bon rattrapons ma gaffe.

- Je suis désolée...je n'aurais pas dû. Mais il est vrai que c'est un bon lycée. C'est vraiment vivant et l'ambiance fébrile qui y règne est stimulant. Mais dites-moi comment avez vous connu le lycée?

Je rougissais légèrement...

"Non non vous n'avez pas à vous excuse, j'ai eu quelques tentations c'est vrai, je vais pas le nier"

Rougissant encore davantage...

"Mais qu'est-ce que je raconte ?! Je ne dois pas y penser !"

Je fermais les yeux, inspirant et expirant pour me calmer un peu...

"Sinon... Oui c'est vrai que c'est très vivant par ici... Parfois c'est un peu dur pour se retrouver... M'enfin... C'est pas pour me déplaire...

Je souris à nouveau, regardant le plafond...

"Hmmm... J'ai connu le lycée... Comment déjà ?"

Je croisais les bras en réfléchissant un moment...

"Je crois que c'était cet été... J'ai reçu un tract... Ou peut-être était ce sur internet... Je crois que c'est un ami qui m'en a parlé... Oui voilà... Il m'a dit que si je cherchais un poste, il y avait ce lycée qui recherchait des professeurs.. Et donc me voilà... Mais et vous ? Vous avez fait comment pour connaitre cet endroit ?"

Je souris légèrement en l'entendant. Il était mignon à rougir comme ça, comme un gamin prit en défaut. Mais c'était humain d'avoir des envies et des désirs. Certains répondaient à cette pulsion d'autre tentaient de la refouler. Mais bon je n'allais pas le juger quand même, il faisait ce qu'il voulait de son privé.

Il changea habilement de sujet en réfléchissant comment il avait connu le lycée. Ainsi il en avait entendu parler par quelqu'un d'autre? Cette dite personne savait-elle quel était l'ambiance qui régnait ici? Probablement pas pour l'avoir référer ici. Il me renvoya la balle me demandant comment j'avais connu ce lycée. J'allais poser mes fesses sur un bureau et croisai ma jambe sur l'autre. Oui bien c'est que j'avais mal aux pieds à me tenir immobile aussi.

- Moi? Bien après avoir fait quelques suppléances je vis une annonce sur internet et bien sûr je me renseignai sur l'établissement et prit quelques cours de japonais pour pouvoir me débrouiller. Une fois que j'eu bien acquis ses nouveaux apprentissages je fis application. Après quelques semaines me voilà! Comme je suis des États-Unis pas besoin de former un prof.

Je lui fit un petit sourire. Il est vrai que ma citoyenneté avait été un atout. Pourquoi chercher un prof et le former en anglais quand il en avait une sous la main?

- Mais vos études vous les avez fait en art ou vous aviez déjà du talent. Enfin ce que je veux dire c'est que vous étiez un artiste de quelque sorte?

J'hochais la tete en l'écoutant attentivement...

"Hmm... Je vois je vois...Les Etats-Unis c'est un bien beau pays aussi... J'ai voulu y aller... Je veux toujours y aller d'ailleurs.. Comme un peu partout..."

Je souriais en regardant par une des fenêtre, l'air presque absent...

"Moi... On peut dire que je n'ai pas vraiment fait d'étude pour ça... Je me suis consacré à mes études de professeur... Pour ce qui est de ma qualification dans le domaine des arts... Disons que j'avais déjà du talent comme vous dites..."

Continuant mon monologue en fixant à nouveau le plafond...

"Quand je réfléchis... Au départ je m'étais dit qu'il y avait plein de choses que je connaissais... Mais maintenant que je suis ici... Je me rends compte que... en fait je suis assez inexpérimenté..."

Je rougis, mais pris un air déterminé...

"Bon... J'aimerais en apprendre plus sur... euh.... sur..."

J'étais à nouveau tout rouge, fermant les yeux, détournant la tête...*je vais passer pour un pervers total...*

Ben...c'est qu'il était chanceux lui! Il savait dessiner pour ce qui est de moi... disons que l'idée d'avoir des cours particuliers me fit sourire. Cependant il continua son monologue mais je remarquai que depuis un moment il n'osait me regarder. Était-ce parce qu'il... Nan! Je m'imaginais sûrement des choses.

Il me dit qu'il aimerait en apprendre plus mais suspendit sa phrase. Là il avait le visage tout rouge, si ça continuait il allait éclater! Je su bien sûr de quoi il voulait parler alors malgré qu'il ne me regarda pas je souris doucement. Allons il ne fallait pas avoir honte mon cher collègue! J'étais bien dans mon corps et assumait parfaitement ma sensualité et ma sexualité. C'est peut-être ça le qualificatif de "femme libérée" dont certaines femmes avaient. Enfin toujours est-il que je descendit lentement du bureau sans bruit, une vraie souris quand je veux! Je m'approchai lentement de lui et une fois arrivée près de lui je penchait ma tête sur le côté.

- Plus sur quoi? Sur ceci...

Je pris doucement son visage entre mes mains et l'embrassai doucement. Comme si je voulais apprivoiser une bête sauvage. Lentement je me détachai de lui mais gardai mes mains sur son beau visage et dessinant le contour de ses lèvres du bout des doigts.

- Et si tu me montrais quel artiste tu peux être...

J'étais encore perdu dans ma confusion, lorsqu'elle me prit le visage, et qu'elle partagea ses lèvres avec moi... J'eus un léger mouvement de recul, me tenant à la fenêtre qui se trouvait derrière moi... Un goût si... particulier... Si spontané... et quelque part... rassurant... Mais ces lèvres partirent vite... Trop vite...

- Et si tu me montrais quel artiste tu peux être...

Mon coeur se mit à battre encore plus fortement... Si c'était possible... Je voyais très bien qu'elle avait compris ce que j'essayais de dire... J'essayais de me calmer... Reprendre un peu de contenance... Je saisis une de ces mains, puis la fixais droit dans les yeux, avant de détourner à nouveau le regard, j'étais embarrassé de demander une chose pareille à une collègue...

"Hmmm... Je veux bien... Mais... C'est moi qui demandais à apprendre à la base..."

D'une toute petite voix, je fis une petite moue contrariée en gonflant les joues

Il saisit une de mes mains et visiblement il était un peu...non très mal à l'aise, d'oser me faire une telle demande. Mais qui avait-il de mal? Il était mignon, et était "disposé" et moi tout aussi encline. Alors pourquoi être mal à l'aise? Je lui souris doucement et allait fermé la porte à clé pour ainsi avoir une certaine intimité dans cette salle. Je retournai vers lui et lui sourit doucement. Vraiment il avait l'air d'un gamin qui voyait une femme pour la première fois.

- Bien monsieur l'artiste, je vais te faire voir mon art.

Je lui tournai le visage vers moi et emprisonna ses lèvres doucement. Comme il ne savait pas trop quoi faire je saisis ses mains et les posèrent sur mes hanches. Oui bien je ne voulais pas lui mettre une gêne de plus en les posant sur ma poitrine. Je glissai mes main dans sa chevelure tout en me lovant contre lui et collant mon bassin au sien. De ce fait je pu sentir son excitation monter peu à peu. Mes mains glissèrent jusqu'à se chemise que je défit lentement toujours mes lèvres soudées aux siennes et ma langue allant faire valser la sienne.

Une fois la chemise ouverte je fis glisser mes doigts sur son torse pour ainsi lui procurer des frissons délicieux. Comment ceci allait-il se passer? Je ne le savais pas encore mais je savais que tout homme finissait par agir à la pulsion. Comme quoi la tête ne répondait plus et que seulement l'envie de posséder, faire plaisir à sa partenaire, et trouver son plaisir avait raison de tout.

*Si rapidement...* Mon coeur qui battait à la chamade, ses lèvres posées contre les miennes, sa langue qui jouait dans ma bouche, ma chemise qui se défaisait petit à petit, puis son doigt qui se mit à tracer des lignes sur mon torse, un délicieux frisson se fit ressentir du plus profond de mes entrailles. Mon coeur qui battait d'une légère peur, cogna plus fort dans ma poitrine, plus de peur, mais d'excitation, une douce chaleur qui fit rosir mes joues, je décollais mes lèvres de force...

"Non... On devrait pas faire ça... Je..."

Mais mon corps affirmait le contraire. Un petit filet de salive coulait du coin de mes lèvres, mes pommettes qui présentaient un rose léger, ma respiration haletante, mon corps qui tremblait d'envie...

"Je..."

J'approchais mon visage du sien sans la regarder vraiment dans les yeux...

"Apprenez-moi... C'est tout ce que je demande..."

Je repris ses lèvres, timidement, lui caressant le dos d'une main et portant l'autre à sa nuque, pressant mon corps contre le sien, je frottais ma jambe contre la sienne sans vraiment m'en rendre compte...

IL m'écarta de lui en me disant qu'on ne devrait pas. Pas quoi? Combien de profs c'étaient envoyé en l'air ici? Bien il y a moi d'abord mais il y en avait sûrement d'autres la réputation du lycée était déjà faite. Pendant son hésitation j'essuyai le petit filet de bave mais je sentais bien que son corps réclamait le contraire de se qu'il me disait.

- D'accord je vais t'apprendre. Laisse-toi aller mon cher.

Il revint prendre possession de mes lèvres timidement et ses mains s'aventurèrent timidement sur moi tandis que sa jambe se frottait à la mienne. Je continuai donc mes caresses où j'en étais rendue. Je sorti sa chemise de son pantalon pour la faire glisser de ses épaules et la saisi pour la mettre sur une table non loin. D'une main je caressai son dos et de l'autre je descendis vers son entre-jambe et le caressai lentement, tendrement. Je ne voulais pas qu'il hésite encore. Je bougeai lentement mon bassin pour qu'il se frotte au sien et ainsi lui donner l'envie d'en voir plus.

Après de longues minutes, je m'écartai de lui pour enlever mon chandail et ainsi dévoiler ma généreuse poitrine. Je me rapprochai de lui et défit sa boucle de ceinture et son bouton de pantalon pour aller glisser ma main dans son pantalon et caresser son membre par-dessus son boxer. Visiblement son sex gonflait peu à peu. Ses mains étaient toujours sur moi mais elles semblaient hésitantes et timide.

- Laisse-toi aller, guide-toi à tes envies...

Enlevant ma chemise et la lançant sur la table, caressant mon dos à présent dénudé, faisant sentir son bassin contre le mien, elle enleva son chandail me laissant voir sa généreuse poitrine, mais avant que je ne pus réagir, glissant sa main dans mon pantalon, elle commença à caresser mon membre qui se mettait petit à petit à gonfler.

Je tentais d'écouter son conseil, et de le mettre en oeuvre. Dans un état légèrement second, je posais une de mes mains sur son sein et commençait doucement à le masser, c'était moelleux et chaud à la fois, la regardant droit dans les yeux, je faisais de petits mouvements en cercle ainsi pendant quelques minutes, puis commençait à rapprocher mon visage de son cou, y collant mes lèvres, je la titillais avec de petits coups de langue, laissant parfois mon souffle passer au travers de ma bouche...

"Est-ce que je... m'y prends bien...?"

Je lui murmurais cette question, restant le visage fourré dans le creux formé par le bas de sa mâchoire et son épaule.

Malgré sa timidité il parvint tout de même à diriger ses mains vers ma poitrine et à m'embrasser et aller se lover dans mon cou. Ses coups de langues et son souffle chaud me fit frissonner. S'il s'y prenait bien? Mais s'il était nul je ne serais pas encore ici non?

- Tout à fait! Fais ce qui te plaît ne sois pas timide. Personne ne nous dérangera...Hummm....

Il fallait bien que je l'encourage un peu non? Non non je ne feint rien car c'était vraiment délicieux. Des petits frissons parcourait mon corps. Bien sûr je senti que son sexe commençait tranquillement à se gonfler. Rien de majeur à m'en faire perdre la tête mais bon. Après de longues minutes je fini par détacher son pantalon et le laisser glisser sur le sol.

Son membre était aussi timide que son propriétaire ma foi! Quel homme ne souhaiterait pas se retrouver avec une femme comme moi? Bon je ne suis pas vantarde mais bien consciente de mes charmes quand même! Finalement je glissai ma main dans son boxer et malgré la timidité de sa verge je pu constater qu'elle était de grosseur appréciable tout de même! Bon il fallait passer au choses sérieuses maintenant! Je continuai de le caresser doucement pendant que mon autre main s'occupait de son boxer. Dieu que c'était sexy un homme en boxer moulant! Enfin pendant ce temps je me régalai des caresses qu'il me procurait et après de longues minutes je m'accroupis devant lui et allai prendre son membre et fit courir ma langue sur toute sa longueur avant de le prendre en bouche et commencer de longs va et viens tout en gémissant doucement pour faire monter son désir.

Elle défit mon pantalon qui tomba au sol en un léger bruissement, curieusement, je n'en ressentis aucune gêne, seulement la sensation que ce pantalon était de trop à présent, plusieurs minutes, elle s'accroupit au niveau de mon membre le léchant tout d'abord, je sentais sa langue qui s'y déplaçait tout le long, me crispant légèrement fasse à cette sensation peu familière, puis elle le prit en bouche, faisant de long va-et-vient, je levais la tête au plafond face au plaisir que je ressentais.

Je baissais ma figure pour la regarder accomplir ce geste, je passais doucement ma main dans sa chevelure, accompagnant ses mouvements, je me baissais légèrement au-dessus d'elle, puis dirigeais mes mains vers son dos, dans l'intention de retirer son soutien-gorge. Passant mes doigts sur le lien, je l'enlevais, tremblant légèrement sous les sensations que l'intérieur de sa bouche pouvait me donner, durcissant mon membre au possible.

Je caressais et serrais tendrement ses seins à présent mis à nus, pinçant parfois, d'un geste rapide, ses tétons entre mes doigts.

Je m'acquittai à ma tâche mais j'ai cru sentir un relâchement de sa tension comme je mis son membre dans ma bouche. Visiblement il n'avait pas eu souvent l'occasion de goûter à ce genre de gâterie. Malgré tout c'était excitant de le voir et de l'entendre. Je senti mon intimité s'humidifier légèrement et je continuai mélangeant les rythmes.

Je pus sentir ses mains sur ma tête suivant les mouvements de la fellation que je lui faisait. Ses mains glissèrent sur mon dos pour arriver à mon soutien-gorge et le détacher libérant ainsi ma poitrine. Il me caressa ensuite pendant que je continuai. Malgré tout il savait s'y prendre avec une femme! Je lâchai son membre et me relevai lentement et pris sa main pour la glisser entre mes cuisses pendant que j'allai m'emparer de sa bouche. Il voulait que je lui montre mon "savoir" alors il allait apprendre. Je le laissai faire pour qu'il prenne de la confiance et de l'assurance. Il fallait qu'il chasse cette timidité tout de même.

Continuant ses gestes, je ressentais de nombreux frissons dans tout le corps, puis elle s'arrêta pour m'embrasser tout en plaçant ma main entre ses cuisses.

Partageant pendant un moment mes lèvres avec les siennes, je rapprochais ma main de son intimité en traçant des lignes avec ma main à l'intérieur de sa cuisse. Détachant mes lèvres, je les portais à son cou, la suçant légèrement, je commençais à caresser, avec de petits mouvements circulaires, son entrejambe à travers son pantalon.

Après quelques minutes, je fis balader mes doigt sur le bouton qui fermait tout cela, je l'ouvris lentement, puis descendit la braguette d'un geste tout aussi lent, glissant deux doigts à l'intérieur, contre le tissu de son sous-vêtement, j'effleurais doucement l'extrémité de son antre , traçant, du bout de mon doigt, une ligne qui suivait sa fente. Continuant mon suçon, je ramenais mon autre main au niveau de sa poitrine pour y pincer à nouveau ses tétons, un peu plus fortement que tout à l'heure.

Koyomi y allait timidement mais c'était tout de même excitant car pourquoi commencer en force? Ses mouvements circulaire me firent gémir doucement. Mes lèvres étaient toujours emprisonnées entre les siennes et mes mains parcoururent sa peau, son sexe bien dressé pour ne pas qu'on l'oublie quand même. Après un moment il descendit dans mon cou non sans avoir défait mon pantalon. Ses doigts frottèrent par-dessus ma culotte ce qui me fit "mouillée" un peu plus.

Son autre main remonta à ma poitrine et la pétrissait plus fermement et le tout en pinçant mes tétons. Je ne pus m'empêcher de pousser un petit soupir de plaisir en sentant ses caresses, ses baisers dans mon cou. Un de mes mains alla s'égarer sur son sexe et descendit à ses bourses que je caressai doucement. Excitée mon bassin se balançait doucement en même temps que ses doigts qui frottait mon intimité. Est-ce que j'ai dit qu'il était timide? Bien je crois que j'avais tout faux!

Elle se mit à me caresser doucement, je ne pus m'empêcher de laisser échapper un léger soupir de satisfaction, sentant sa main si chaleureuse.

Je m'entrepris de lui faire sentir les mêmes sensations, rentrant doucement ma propre main dans sa culotte, je descendais lentement vers son intimité, je la touchais, elle était humide. Je faisais de petits mouvements massant son antre féminine. Puis quelques instants plus tard, je fis doucement pénétrer un doigt à l'intérieur, sentant sa chaleur, la chaleur qu'elle dégageait intérieurement, je fis de petits va-et-viens, autant que je le pouvais avec le petit espace que j'avais.

Au bout de quelques minutes, j'y introduis un second doigt, augmentant sensiblement le rythme des mouvements que je donnais à ma main, passant ma langue le long de son cou

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