Hall d'entrée du lycée.

Invité Un fou ? Non, Invité !

Je voyais bien le regard d'Ambre. Celui des personnes dégoûtées et complètement imbues de sa personne. Natsuki m'avait prévenue. Cette starlette de collège prenaient les autres filles pour des sorcières, tandis qu'elle était la pauvre petite fée perdue dans un marécage. Le genre de filles qui me tapent sur les nerfs, en résumé. Elle n'était vraiment pas belle en rouge. Voir cramoisi. Horrible. Ambre me toisa et me dit de sa petite taille (pour moi) :

- Moi, pas à la mode ? Tu as vraiment rien à dire pour dire de telles choses.
- Rien à dire ? Mince je suis désolée "princesse", ma phrase doit être trop longue. Tu n'as pas imprimé le sens. Tu veux que je te fasses un bref résumé ? Alors : Me prend pas la tête, choupette, sinon je te fais ta fête. Tiens, c'est bien comme paroles. Je note" , dis-je en sortant mon carnet et mon crayon.

Oui je me paye sa tête. Elle se croit sortir de la cuisse de Jupiter, cette fille. Je regarde à nouveau le garçon, ignorant complètement la petite blonde hystérique. Le garçon me fit une référence et je me mis à rire doucement. Il se présenta : *Eden. Ah...Eden...alléchant, comme prénom...comme son porteur...mais je suis bête avec mes idées de vierges d'un mètre quatre-vingt. Natsuki me casserait la tête si elle me voyait.* Eden me dit qu'il n'avait pas peur d'Ambre. En même temps, je le comprenais. Eden me posa alors la question suivante :

- En faite Estelle les japonaises n'étant pas très grandes et vu que toi tu fais un bon mètre quatre vingt tu ne serais pas anglaise par hasard?
- Loupé. J'ai toujours vécu au Japon. Oui je suis une mi-jap'. Mon père est le célèbre karatéka anglais James Mac-Leod. "The Fire Killer !" Je tiens de lui niveau carrure...sauf que je suis une fille, et j'ai pris là où il faut, grâce à mes gènes... je me mis à rire. Mes frères sont fous quand je sors seule le soir, mais je sais me défendre, dis-je en faisant une moue cynique.

Je détachais mon regard d'Eden car Ambre regardait sa montre, inquiète. Elle attendait ses amies, tandis que son pauvre majordome tenait à bout de bras les valises. Je soupirais et je m'avançais vers le majordome et prenais deux des valises, en souriant...ou pas. Les valises pesaient une tonne. Il y avait des briques là dedans, ou quoi ? Ma douleur à la cheville se fit plus vive. Je n'ai vraiment pas de chance. Je posais une valise sur mon épaule droite et j'essayais de traîner l'autre, une valise aussi grande que moi. Cette fille a des idées de grandeur, quand même. Je me tournais vers le majordome :

"Je vous montre le chemin, monsieur. Venez, je vous aide...à moins qu'Eden, en grand gentleman, nous aide ? ", dis-je en faisant un clin d'oeil amical, malgré ma douleur à la cheville.

- J'ai pas l'intention de te regiffler et surtout pas de me battre avec toi.
Finalement cette confrontation allait peut être se terminer sur une note positive. Ça me faisait plaisir parce que sans mentir Ambre était vraiment jolie, un peu trop superficiel mais belle, elle avait un jolie corps surtout ses seins qui titillaient légèrement la perfection. Je ne comprendrai jamais les filles qui portent deux ou trois kilos de bijoux sur elle, je trouve les bijoux moches dépassés, c'est trop bling bling.

- Moi, pas à la mode ? Tu as vraiment rien à dire pour dire de telles choses.
- Rien à dire ? Mince je suis désolée "princesse", ma phrase doit être trop longue. Tu n'as pas imprimé le sens. Tu veux que je te fasses un bref résumé ? Alors : Me prend pas la tête, choupette, sinon je te fais ta fête. Tiens, c'est bien comme paroles. Je note"

Ça chauffé entre les filles et ca allait surement finir en crêpage de cheveux vu que chacune d'entre elle voulait prendre le dessus sur l'autre. Pour ma part je me sentais Zen, la brunette avait comme qui dirait réussi à me calmer, Eden le fou était a nouveau endormi je me sentais même d'humeur à draguer un peu j'avais quand même deux sublimes créature devant moi.

- Loupé. J'ai toujours vécu au Japon. Oui je suis une mi-jap'. Mon père est le célèbre karatéka anglais James Mac-Leod. "The Fire Killer !" Je tiens de lui niveau carrure...sauf que je suis une fille, et j'ai pris là où il faut, grâce à mes gènes... je me mis à rire. Mes frères sont fous quand je sors seule le soir, mais je sais me défendre.

James Mac-Leod!! J'avais la fille de "The Fire Killer !" sous les yeux, j'aurais voulu appeler mon père pour lui annoncer cela mais je passerai pour un fou surexcité. Papa était un vrai fan de James il m'obligeait a suivre ses combats qu'il enregistré soigneusement grâce a un lecteur K7, il y avait d'ailleurs tout une armoire dédié au Karaté et un étage était réservé aux exploits de Mac Leod.Non je lui annoncerai la nouvelle le soir sinon il risquait de prendre l'avion d'Angleterre jusqu'ici pour rencontrer Estelle. Je restai un bon moment sans réaction avant de répondre : Je n'en doute pas tu sembles d'ailleurs avoir un caractère bien trempé.

Estelle s'éloigna finalement de nous je cru pendant un moment qu'elle s'en allait exaspérée par Ambre,durant deux ou trois seconde je fus même déçu je n'allais peut être plus jamais la voir, en même temps comme tout homme je pus m'empêcher de regarder son derrière, elle aussi était très belle. Elle finit par s'arrêter a hauteur du majordome, elle l'aida une vrai fille qui a le cœur sur la main cette Estelle.

"Je vous montre le chemin, monsieur. Venez, je vous aide...à moins qu'Eden, en grand gentleman, nous aide ? "

Je souris un moment j'étais vraiment content qu'elle nous quitte pas, je courus vers sa direction et lui pris les deux valises qu'elles essayaient de soulever. Je sentais vraiment qu'elle avait mal quelques part et je n'allais surement pas la laisser souffrir c'était moi l'homme dans le trio et en temps qu'anglais j'avais une certaine éducation. Je grimaçai légèrement car les valises étaient vraiment lourdes. Chacune d'entre elle devait peser dans les dix kilos et je devais en prendre trois pour soulager entièrement Estelle. C'est a ca que sert le sport, je retirai ma chemise que je mis dans mon cartable. Hum tu peux me prendre mon sac a dos comme ca tu resteras un peu plus avec nous hein * sourire* il pèse pas très lourd et puis je préfère le terme de Dandy a celui de gentleman dis je a Estelle en rigolant.

Un débardeur noir plein de sueur comme seul habit je soulevai les trois valises, mon visage vira rapidement de la couleur blanche a celle de rouge, un rouge qui s'atténua au bout de quelques seconde. Je me retournai vers Ambre : Euh Ambre c'est ca, on fait la paix ok? Moi aussi je ne veux pas me battre et puis pourquoi nous battre pour une petite chute de rien du tout..... Sinon ses valises tu as mis quoi dedans du béton?.

Soudain une bande constituée de trois filles passa devant moi. Elles me sourirent tout en rigolant, elles se retournèrent une fois puis deux fois et elles s'arrêtèrent l'une d'elle me fit un petit signe, je lâchai les valises je dis a Estelle : Huum deux secondes je reviens.

Je m'avançai légèrement vers le petit groupe un sourire au lèvre, on discuta deux voir trois minutes et je revins vers Estelle et Ambre avec une petite carte dans la main. Je mis soigneusement la carte dans ma sacoche car je venais d'empocher mon premier rendez vous galant c'est donc tout naturellement que j'arborais une mine réjouie, je soulevai les valises sans aucune difficulté et je regardai Ambre : Bon tu veux que je te les déposes quelques parts?

Invité Un fou ? Non, Invité !

Eden m'aida à soulever des valises. Lui aussi avait un peu de mal malgré sa carrure. Alors que je récupérais les valises précédemment, je sentais le regard d'Eden courir le long de mon corps. Un petit coquin...ça faisait longtemps. Eden prit mes deux valises, gentiment. Vraiment, il faisait le grand dragueur. Bon, je rougissais un peu, mais quand même... Il fit cependant la paix avec Ambre, ce qui ne pouvait pas être mon cas, et puis je m'en fiche. Avant de reprendre les valises, il alla voir un groupe de filles qui le regardaient avec envie. Il eut un rendez-vous galant. J'étais un peu jalouse. Moi qui voulait lui proposer, c'est raté. Je pris une grosse valise, que je soulevais sous le coup de la frustration. J'étais rouge de colère. Je le sentais. Mais tant pis. Je montais la valise en direction du dortoir des étudiantes, laissant un peu en plan Ambre et Eden.

*Vraiment, est-ce que je dois m'intéresser à ce mec ? Je suis trop truffe, aller, encore trois marches et j'y suis. Aller, ne pense plus à lui. Il a un rendez-vous, non ? Tant mieux pour lui.*

Que s'était il passé? A mon retour Estelle prit une grosse valise et décampa. Encore un problème avec Ambre, c'était fort peu probable parce que la blonde était resté impassible,elle était même étonnée . Et puis Estelle était une personne forte, quelques choses de grave venait de se passer; peut être un problème personnelle. Mais je ne pouvais pas la laisser partir, pas maintenant en tout cas. Je voulais la revoir, je voulais mieux la connaitre, je ne savais vraiment pas se qui me poussait a faire ca, mais je fis un petit signe de main a Ambre pour lui dire de me suivre, j'empoignai les valises et je me mis a la poursuite d'Estelle. A chaque pas que je faisais je ressentais le poids des valises qui devenaient de plus en plus important, j'en lâchai une puis deux puis les trois, les gens me prenaient surement pour un fou mais je m'en foutais carrément.Je me retournai et je dis au majordome que j'allais revenir l'aider une fois que j'aurais finis un petit quelques chose, un petit quelque chose qui était pour moi très important.

Au bout de quelques secondes je pus enfin la voir et là je souris, j'avais mal partout j'étais affreusement fatigué mais je souriais rien qu'a la vue de cette fille, elle avait vraiment un pouvoir sur moi. J'accélérai le rythme et je la rattrapai quand il ne lui restait plus que trois marche, je me mis devant elle pour l'empêcher de partir. Elle semblait vraiment énervée mais en même temps étonnée elle ne s'attendait surement pas à me voir enfin pas maintenant. Je posai ma main sur son épaule et je soufflai un bon coup avant de lui dire : Pourquoi es tu parti c'est a cause d'Ambre?...... Un moment de silence suivit, un moment de silence où je compris pourquoi elle était énervé c'était logique se n'était pas a cause d'Ambre c'était a cause de moi. Je sortis le bout de papier où était marqué le numéro de ma poche et je lui montrai: Euh c'est a cause de ca hein? Avant de déchirer le papier en mille morceau: Ce n'est pas se que tu crois ...... enfin si cette fille m'avait donné un rendez vous mais je t'assure que je n'avais aucune envie d'y aller.....Non je n'ai pas envie de te mentir enfaite j'avais envie d'y aller mais cette envie est beaucoup moins forte que l'envie de te revoir, j'aimerais mieux te connaitre alors voila sur cette carte est écrit mon numéro si tu la veux tu n'as ca la prendre mais sache que si tu ne m'appelles pas dans moins de deux jours je serais affreusement déçu.....lui dis en rougissant et en lui tendant un petit papier espérant de tout mon cœur qu'elle le prenne.

Invité Un fou ? Non, Invité !

J'avais posé la valise dans les escaliers, bloquée à peine trois marche avant le couloir par Eden. J'étais énervée. Mais pourquoi ? A cause d'Eden ? C'est vrai que c'est un charmant garçon, on se laisse emporter par ses yeux, totalement hypnotisé. Mais et puis quoi encore ? Reprend-toi, Estelle Mac-Leod ! Si ton père te voyait...il hurlerait de rire. Moi qui n'étais jamais restée longtemps avec un garçon, moi qui n'avais jamais voulu les laisser aller jusqu'au bout, moi qui en avait tabassé plus d'un, je...j'étais amoureuse de lui ? ! Je secouais ma tête, comme pour chasser l'évidence, puis je me mis à faire des va et viens sur la marche, tandis qu'Eden me demandait ce que j'avais. Je voulais répondre, je voulais même exploser devant lui, mais rien ne sortait. Ma bouche était paralysée. Je m'en mordais les ongles.

"Pourquoi tu es partie, c'est à cause d'Ambre ?, me dit Eden
- .........", rien ne sortait de ma bouche. Etais-ce la colère ou l'angoisse qui me taraudait ? Les deux ?

Eden sortit le bout de papier...enfin le papier où était marqué le numéro de cette fille, celle du hall. Il le déchira face à moi et j'ouvrais de grands yeux qui roulèrent sur mes orbites. Eden ajouta :

"Ce n'est pas se que tu crois ...... enfin si cette fille m'avait donné un rendez vous mais je t'assure que je n'avais aucune envie d'y aller (et moi je suis marilyn manson, pensais-je) .....Non je n'ai pas envie de te mentir (ah bon ?) enfaite j'avais envie d'y aller mais cette envie est beaucoup moins forte que l'envie de te revoir (.....j'ai mal imprimé, là), j'aimerais mieux te connaitre alors voila sur cette carte est écrit mon numéro si tu la veux tu n'as ca la prendre mais sache que si tu ne m'appelles pas dans moins de deux jours je serais affreusement déçu....(impossible...lui, déçu alors que tout à l'heure...), me dit-il en rougissant.
- D-d'accord, c'est bon, ne t'agenouille pas, non plus. J-je t'appellerai, enfin...non...si ! Sinon, j-je suis souvent au terrain de sport, pour m'entraîner ou composer. Dans l'après-midi, c'est le meilleur moment pour éliminer. Bon il faut que j'aille à l'infirmerie, pour ma fichue cheville. Demain, si tu veux, je serai sur le terrain d'athlétisme, ok ? Bon, à plus, Eden."

J'avais complètement oublié Ambre en disant cela. Je m'approchais d'Eden pour l'embrasser sur la joue, mais je n'avais pas envie de rajouter de l'huile sur le feu. Je lui touchais juste l'épaule et partais rapidement en direction de l'infirmerie.

*Estelle Mac-Leod...espèce de...communiste....! Mais qu'est-ce que je raconte ? ! Raaaaah !!!!!*

Je m'enfuyais en frappant sur un mur, ce qui laissa une petite marque.

Il faisait chaud. Elle n'en pouvait plus. A son arrivée, Kagome était déjà perdue. Elle ne savait plus où donner de la tête, avec ses grosses valises, ses cheveux en bataille. Elle décida de chercher un plan du lycée pour pouvoir se diriger vers les chambres, ou le bureau de la directrice (du directeur), pour au moins se présenter, parce qu'elle n'osait pas demander à quelqu'un, tellement elle était timide et ne voulait pas se sentir trop idiote.

Elle continua son chemin, espérant toujours ne tomber sur personne, et pourtant, ses craintes s'avérèrent vraies. Quelqu'un s'approcha d'elle...

[dsl petit post mais c'est pour clore ^^]

Eden tu es quelqu'un de démoniaque, je rigolais en mon fort intérieur, la mise en scène le petit papier vierge déchiré tout était parfait. C'est aussi a ca que servait l'intelligence a tromper les gens a jouer avec et avec leur sentiment. J'eus pour récompenser ma manipulation un petit bisou c'était déjà bien. J'attendis qu'Estelle soit bien loin avant d'éclater de rire se que je venais de faire me ressembler pas du tout et en plus elle y a crut, c'était a peine si j'en avais les larmes aux yeux. Je retournai donc chez le majordome et je l'aidai a soulever les valises tout en ricanant par a coup, puis je remarquai qu'Ambre aussi était plutôt grognon je m'avançai vers elle et je lui dit: Huuum Ambre euuh je crois que je vais m'en aller je te laisse mon numéro tu m'appelles quand tu veux ok? J'aimerais bien te revoir

Je fis un petit sourire à Eden pour cacher mon inquiétude et lui répondis d'un ton inquiète.

- J'aimerais te revoir aussi.

Je commencais à être très inquiète, j'arrêtais pas de regarder ma montre. Peut être que Charlotte et Li ne viendraient pas finalement ? C'est à ce moment que je vis une limousine arrivée sur la rue qui était face à moi, Charlotte et Li en sortèrent. Je me mis à courir vers mes deux amies d'un air très heureuse.

- Je commencais à être inquiète les filles, c'étais long.

En sortant de la limousine avec Charlotte, j'étais très heureuse de voir Ambre. Je lui donna un calin puis lui dis d'une mine heureuse.

- Je suis contente d'être arrivée, c'est magnifique.

Je regarda au tour de moi avec un sourire aux lèvres.

Après Li, je donna un calin à Ambre puis regarda Li d'un air émerveillée.

- Tu as raison Li, je sens que je vais me plaire avec vous ici.

Je pointa les couloirs à mes amies avec un sourire aux lèvres et leurs dis.

- J'espère qu'on partagera la même chambre.

Topic suivant > [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] (Désolée, c'est court)

Toujours en cours de route , je constata que les deux mains de Sana était prises.L'une avec une valise , et l'autre avec un sac...Je ne l'avais pas remarqué avant.Sa valise contenait sûrement ses diverses vêtement et son sac , probablement ses affaires de cours.Cela devait être très lourd pour elle , et sa carrure ne l'aidait pas..Je ne pouvais la laisser avec sa...Cela blesserait grandement ma fierté d'homme..Un homme doit toujours avant tout être galant auprès d'une femme.Si il ne le fait pas , il ne peut pas s'autoproclamer être un homme..

- Cette valise et ce sac..Sa doit être lourd pour toi , tu ne veux pas que je les portes a ta place ? T'inquiète pas pour moi , j'ai l'habitude...

J'insistais vraiment , il fallait toujours galant dans ce genre de situation et ce à n'importe quel fille.Même si je n'étais pas du genre , coureur de jupons.Je finit donc par les porter jusqu'au lieu ou l'on s'inscrit.

- On y est preque..

Oui, ma valise était particulièrement lourde, mais j'ai l'habitude de porter des choses lourdes, comme des cartons de livres ou autres, car à l'orphelinat, je suis la plus âgée après les dames de l'orphelinat, donc, je me dois de les aider dans leur taches ménagères. Alors que l'on marche tranquillement vers le hall d'entrée, Alto me propose son aide pour porter mes valises, ce n'est pas que ça me dérange, mais je n'ose pas vraiment lui confié...Mais tout en rougissant finalement, je lui confie ma valise, qui est beaucoup plus lourde que mon sac.

"Encore merci Alto-kun"

Décidément, les garçons que je rencontre ici, sont vraiment très gentil !
Je suis contente d'être dans ce lycée et d'être une fille normal.
On arrive finalement et c'est vraiment immense ! je me sens ridiculement petite ici, des garçons m'observent, je sens qu'on va encore m’embêter sur ma petite taille...Une bande de garçon arrivent vers nous et déclarent en ricanant :

"hé tu sais, même si tu es attaché à ta petite soeur, elle n'a pas le droit d'être dans le lycée, les élèves de primaire ne sont pas autorisé à être ici"

Je sers alors les poings, j'ai vraiment très envie de les frapper,mais je crois bien que Alto, va le faire à ma place, en vue du regard qu'il leur lance...

Nous étions presque arrivé au lieu de l'inscription..Pleins d'autres lycéens et lycéenne était présent dans le hall entrée. Je regarda Sana du coin de l'oeil.Elle semblait émerveillait par le lycée.En même temps , c'est vrai que la première fois , c'est toujours beau a voir.Un petit sourire ré-apparût sur son visage mais cela s'effaça a l'instant même.Oui , une autre bande de voyous se rapprochait vers nous...Mon regard changea subitement..Rien qu'en les voyant , je n'avais qu'une chose en tête : Les buter.Arrivé devant Sana et moi , l'un des voyous prononça :

- hé tu sais, même si tu es attaché à ta petite soeur, elle n'a pas le droit d'être dans le lycée, les élèves de primaire ne sont pas autorisé à être ici

Effectivement , je voulais les sauter dessus tout de suite , sans réfléchir..Je leur lança un regard menaçant mais ils continuèrent de ricaner comme si de rien était.J'en avait plus que marre de ces types.Ils croyaient êtres les boss du lycée mais je me préparait a les mettre en tort..Je baissa légèrement ma tête , je posa en douceur la valise , ainsi que le sac de sana , et je lui dit de reculer car la baston va éclater.Plusieurs lycéen présents se regroupa pour voir la bagarre qui allait avoir lieu. Quelques-un disaient que j'aurai aucune chance car ils sont trois.Mais je n'avait plus d'un tour dans mon sac.

- HAHAHAHAHAHAH !!! Tu veux nous battre , nous trois ?! Tu veux juste montrer a ta petite soeur que t'a pas froid aux yeux c'est sa ?! Allez viens , tu va moins faire le malin a la fin !

Les trois mec se rua vers moi , mais , sur de moi , je leur flanqua leur correction de leur vie.Ils firent marche-arrière en courant et en disant que je vais le payer...Ridicule.Sana était on va dire assez traumatisé..Mais bon , c'est toujours étonnant de regarder une baston.Soit , on était finalement arrivé au lieu de l'inscription. Je fit un léger soupire avant de prononcer a voix basse :

- Petite soeur...Franchement.

Oui, à chaque fois que des garçons ou même d'autres personnes me font passer pour une petite fille de primaire, cela me fait très mal, car ce n'est tout de même pas de ma faute, si je suis si petite et si mon corps ne se développe pas correctement, la faute à qui ? à ma mère ? à mon père ? peut être... je ne me suis jamais réellement posé la question en vérité. Avant que j'eus dire quoi que ce soit, Alto avait déjà posé délicatement mes affaires sur le sol et me demanda gentiment de reculer, ce que je fis sans plus tarder, j'étais sur de ce qui allait se passer.
Des élèves arrivèrent au fur et à mesure pour voir la bagarre, je trouve ça débile ! ils devraient plutôt appeler de l'aide au lieu de regarder comme si c'était un spectacle. Cela ne dura pas longtemps et j'étais comme apeuré par la force que dégagé Alto. J'en tremblais, mais j'avais aussi très peur pour lui. On était finalement arrivé au lieu indiqué pour m'inscrire convenablement et je vis alors un peu de sang coulé le long de la joue de Alto, j'ouvris de grands yeux et j'ouvris l'intérieur de mon sac pour en sortir un tissu, du désinféctant et des pansements, je lui demanda de se baisser à ma hauteur pour que je puisse soigner ça, ce n'était pas bien grave, mais il fallait tout de même le faire.
Après lui avoir soigneusement passé le désinfectant et collé un pansement sur son "égratignure" je l'embrassa sur la joue, avec un sourire sur mon visage.

"Merci Alto-kun, décidément, tu m'auras beaucoup aidé aujourd'hui, mais s'il te plait évite de te battre, j'ai eu peur pour toi tout à l'heure."

Mince , la queue était trop grande ! Beaucoup de nouveaux venaient s'inscrire ici.. Mais ce lycée avait quoi de spécial ? C'est un lycée basique pourtant...Je ne comprenais pas. Si je pouvais m'en aller , je l'aurais fait tout de suite , mais d'autres voyous vont taquiner Sana. Je dois la protéger. Toujours dans la queue , elle avait remarqué que j'avais une blessure sur la joue a cause de la baston. Elle prit immédiatement de quoi soigner ma blessure en me baissant a sa hauteur comme elle me l'a dit. Après le pansement collé sur ma joue , Elle m'embrassa soudainement tout en affichant un sourire d'une toute gentillesse..Je posa exactement ma main ou Sana a posé ses lèvres sur ma joue et je ne pouvais m'empêcher de rougir.Tout en la fixant droit dans les yeux , je dit d'un air très gêné :

- Merci Sana..

Quelques lycéens et lycéenne qui était derrière nous regardaient la scène.Je détestais les gens comme sa..Toujours as regardé fixement quand une scène se passe...20 minutes sont passés , c'était enfin le tour de Sana de s'inscrire. Mais avant quelle ne s'inscrive , je lui ai dit que je devais partir car une chose urgente m'étais venu a l'esprit.Je lui passa mon numéro de téléphone sur un petit bout de papier. Comme sa , si une chose de grave lui arrive , elle n'aura qu'a m'appeler et je viendrai la secourir. Je la remercia encore une fois pour le pansement. C'était très gentil de sa part.

- Si tu as des problèmes , ne pose pas de question et appelle moi , ok ? Allez , salut Sana.

Silence de mort dans le taxi. Odeur de café mêlée a des relents de sueur et de vieux parfum. La radio crachote quelques paroles inintelligibles, puis repart de plus belle dans un discours monotone. Je pose mon regard noir sur le paysage défilant rapidement devant mes yeux, puis je soupire en me rendant vite compte que le décor ne vaut rien de plus qu'une pâle copie d'une copie de mon ancien foyer j'y repense : mon foyer c'était la banlieu, et nous voilà sur l'autoroute... Un autre soupir rompt l'ambiance morne régnant dans l'habitacle. Le chauffeur pose son regard sur moi, et j'y décèle un certain mépris... a moins que ça ne soit du dégout... j'hausse les épaules pour moi-même : j'y suis habituée après tout... Une mèche noir tombe devant mes yeux, et je la replace nonchalamment, ce qui intensifie le mépris du chauffeur. J'hausse de nouveau les épaules, puis me concentrer sur les parcelles d'espaces verts devant moi qui défile.

J'ai eu 18 ans, et pourtant, j'ai l'impression d'en avoir 25... C'est vrai, j'ai rarement connu des gens qui avaient vécu ce que j'ai vécu... Mais je reste convaincu que ma place en ce bas monde n'est pas celle que tous croient... on vient de cogner quelque chose. À moins que ça ne soit le taxi qui ses arrêté... J'hausse encore une fois les épaules, je paie le chauffeur, ramasse mes effets personnels, puis je m'avance vers l'imposant édifice...un soupire passe entre mes lèvre

Je chasse ces pensées monotones d'un geste de la tête, puis je me fraie un chemin dans le paquet de monde entassé devant les lourdes portes... Je soupire encore, Voilà donc où j'en suis. J'en suis à rester immobile devant mon nouvel lycée. Pourquoi ma telle inscrite là ? Rien de très clair juste le faite de pouvoir de débarrasser de moi, je soupire Je ne sais pas si je vais me plaire ici, j'espère simplement qu'il n'y aura pas trop de casse-pieds. Dans le cas contraire, je les remettrez en place. Je reprends mes valises posées par terre et fait quelques pas. j'ouvre la porte de l'entrée et observe les alentours, mon regard dénudé d'expression. Il n'y a pas beaucoup de monde. Je me dirige tranquillement vers les vestiaires quand je manque de tomber à cause du plancher mouillé qui, apparemment, vient d'être nettoyé. Heureusement je suis toujours debout. Je sens un fort regard fixé sur moi, qui commence a m`énerve sérieusement, on m'observe on dirait bien. Je continue tout de même ma route vers les chambres réservées aux garçon qui ne sont pas très loin son dire un mot.

Le lycée est sympa. Ça ne change pas beaucoup d'un lycée américain, en fait. Est-ce-que tout les lycées du monde sont pareils ?
Par contre, il faudra porter un uniforme. Megumi déteste ça. Un point en faveur des USA...
Prendre une photo. Elle pourra l'envoyer à son frère. Et à Andrew et Sally.
Megumi est devant les portes. Elle n'a qu'un sac. Elle n'a pas emporté grand chose de chez elle, à cause de l'avion. Seulement des vêtements, quelques objets auxquels elle tient et des photos. Et l'appareil-photo, bien sur. Peut être qu'il y a un journal dans ce lycée là aussi...
Cette perspective sort la jeune fille de ses pensées.
C'est parti. Ça va être cool.
Et pour commencer, il faut trouver les dortoirs des filles.

Il n'y a pas beaucoup de monde dans l'entrée.
Le plancher brille, il a du être nettoyé il y a peu. C'est joli. On pourrait prendre une photo, juste au raz du sol...
Megumi s'allonge, fait sa mise au point, tiens, c'est sympa, ces pieds, au second plan, mail il faudrait qu'elle soit un peu plus sur la droite, ça équilibrerait mieux l'image... Parfait !

Les pieds glissent, ce type a failli se casser la figure.
C'est rigolo.
Megumi lève les yeux, histoire de voir à quoi ressemble l’énergumène aux pieds malicieux.
Qu'est ce qu'il est fin ! Une vrai allumette.
*Je pèse peut être même plus lourd que lui....*
Mais il a de très beaux cheveux. Noirs. Long.
Du coup, elle a envie de passer sa main dans les cheveux de ce type. De lui faire des couettes ?

Megumi décide de le prendre en photo. Elle se lève, le suit (sans trop savoir où il va...) et cherche un angle
de vue sympa.
Zut, il y a un blondinet dans le cadre, ça va pas du tout.
Ah, là c'est bon.
En un clic, la photo est prise.
Megumi n'a pas demandé d'autorisation, ça détruirait tout le naturel du sujet.

je me dirige tranquillement vers les vestiaires des garçon mais je sen un ombre qui me suis pas a pas, le genre de truque qui a le don de m`énervez et moi qui pence être tranquille ici sa commence bien, je me retourne un flache m`ébloui, de mon regard noir lui dit

" sa t`arrive souvent de prendre des photo son l`acore des gens "

Le grand chevelu se retourne au dernier moment.
C'est parfait, la photo sera vraiment bien.
Il fronce les sourcils.

" Ça t'arrive souvent de prendre des photos sans l'accord des gens ?"

Megumi sourit :
" Tout le temps. En fait, si tu demandes aux gens, ils veulent prendre la pose, te montrer leur meilleur profil, changer de place parce qu'ils n'aiment pas le lieu... Au final, ça donne l'impression de faire une photo de mode, c'est fatigant... Là, au moins, t'es naturel !"

Après coup, elle se dit qu'elle n'aurait peut être pas du être si familière. Dans son souvenir, les japonais sont un peu coincés... Enfin, peut être pas coincés, mais difficiles à apprivoiser...
Du coup, la jeune fille tente une seconde approche, et montre l'écran à son interlocuteur :
"Tu veux voir ?"

La photo est vraiment cool. C'est une contre plongée (logique, Megumi est plus petite que lui), et le sujet est en train de se tourner, alors ses cheveux sont en mouvement. Il tire déjà un peu la tronche mais pas trop.
Ça donne un genre.

( hrp le français ça va tu arrive a bien me lire )

a mes mot elle me souri, je rêve il ni a rien de gentil a se que je lui dit, de mon regard noir je la regarde, elle continu a me sourire et de ces mot me dit

" Tout le temps. En fait, si tu demandes aux gens, ils veulent prendre la pose, te montrer leur meilleur profil, changer de place parce qu'ils n'aiment pas le lieu... Au final, ça donne l'impression de faire une photo de mode, c'est fatigant... Là, au moins, t'es naturel !"

elle s`approche de moi, et me montre l'écran de son pierraille photo ou ji suit et de ces mot me dit

"Tu veux voir ?"

de me yeux noir la regarde se genre de familiarité me dérange moi qui n`aime pas les gans en générale, et d`un geste repousse son pierraille photo et de mes mot lui dit

" désole sa ne m’intéresse pas "

je prend mes valise et commence a partire son un mot de plusse.

Il repousse l'appareil.
Megumi DÉTESTE qu'on touche à SON appareil photo.

" Désolé, ça ne m’intéresse pas "

Qu'il soit pas intéressé, soit, tout le monde n'est pas attiré par les même choses, mais enfin, il pourrait se conduire convenablement.
Megumi range son précieux appareil, bien décidé à rattraper ce grand dadais, par les cheveux si il le faut.
Elle le double d'un pas décidé, se plante devant lui les mains sur les hanches et le toise :
"Dis donc, mon coco, t'as le droit d'être de mauvaise humeur, et de dire que je te dérange, mais tu y mets les formes s'il te plait !"
Il est hors de question que la première journée de Megumi dans ce lycée, que le premier jour de sa nouvelle vie commence de la sorte, ça serait de mauvais augure pour la suite.
La jeune fille est bien décidée à reprendre les choses en main.
Son regard est sérieux lorsqu'elle continue :
"Tu as vu jouer où qu'on pouvait parler aux gens sur ce ton ?
Ne recommence pas."
Elle sourit en disant cette dernière phrase, avec l'air indulgent d'une maitresse d'école face à un gamin têtu, et ajoute :
"Je ne suis pas vraiment fâchée, mais bon..."

Megumi laisse sa phrase en suspend et recule de quelque pas.
Le savon a assez duré. Si il veut qu'elle le laisse seul, elle peut repartir le cœur tranquille. Elle remet son sac correctement sur son épaule et sourit de nouveau.
"Sur ce, je vais te laisser, je suppose. Ah, au fait, je suis Megumi !" ajoute t-elle de loin.

dans me pas je mavense mes valise a la mais, elle me suis et se plante devant moi les mains sur les hanches et de ces mot me dit

"Dis donc, mon coco, t'as le droit d'être de mauvaise humeur, et de dire que je te dérange, mais tu y mets les formes s'il te plait !"

de Son regard sérieux me dit

"Tu as vu jouer où qu'on pouvait parler aux gens sur ce ton ?
Ne recommence pas."

elle me souri, de mes yeux noir la regarde de ces mot me dit

"Je ne suis pas vraiment fâchée, mais bon..."

de ces pas elle aussi se mais a partire mais de login elle me crie son nom Megumi, je marée te en colère je suis, je me retourne et de mes mot lui dit

" moi ces kanda "

je continu mon chemin.

La mère de Ui n'avait pas encore de nouvel emploi dans la ville. Elle en profita donc pour amener sa fille au lycée, pour son premier jour. Ui était impatiente de voir son nouvel établissement. Mais pour ce qui était de ses nouveaux camarades, c'était autre chose. Elle n'avait toujours pas prit cette habitude de socialiser avec les gens. *Ils vont bien venir vers moi... enfin je pense! Et puis, c'est pas tous les jours qu'il y a une nouvelle.*
Une fois arrivée devant le grand portail, Ui fit la bise à sa mère et sortit de la voiture, son cartable dans les mains. Pour ne pas changer, elle avait une jolie fleur rose dans ses cheveux, et sa frange masquant son front trop grand. Elle avança dans l'enceinte. Ne voyant personne, elle commençait à s'inquièter. *Mince... elle est où la vie scolaire? Ou le concierge? Il devrait savoir et être à l'extérieur non?* Elle continuait à regarder aux alentours mais rien... encore et toujours rien. Elle se reprit une marche plus lente. *Aaaaaah c'est quoi ce bahut?! Y a pas le moindre panneau ou le moindre plan!*

L'accord avait était très simple. Si la jeune fille voulait voir sa mère, son semestre devait être à la hauteur des espérances du clan Hito.

Et c'est ainsi que nous retrouvons la jeune Suki Yûsei, devant les portes du lycée Tsubasa. Lentement elle poussa une des portes de la grille afin de pénétrer dans l'enceinte de l'établissement. La cour était vide. *Bizarre à cette heure...*.Elle s'avança plus profondément, à la recherche d'un quelconque panneau pouvant lui indiquer un bureau où elle pourrait finaliser son inscription.

C'était sur maintenant, elle était définitivement perdue. Troisième fois qu'elle faisait le tour, elle n'avait pas trouvé la moindre indication, et la cours était toujours déserte!
Complétement perdue elle s'adossa contre un mur à côté d'une des entrées dans l'espoir de croiser une personne qui pourrait l'aider.

*Ce lycée est un vrai labyrinthe... Et je n'ai encore croiser personne! C'est comme si tout le monde dormait encore...*

Mais un éclair vert la tira de ses pensées. En effet, une jeune fille d'environ son age était passé près d'elle. Elle portait une simple robe blanche, une paire de sandale beige et une fleur rose dans ses incroyable cheveux vert.

"Hey! Excuse moi... la héla-t-elle.

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Hall d'entrée du lycée.

Hall d'entrée du lycée.

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