À l'orée des bois (possibilité de X)

Depuis quelques temps je faisais des cauchemars soit quand j'étais seule dans ma chambre du lycée ou encore avec mon Shimizu. Pas de cris juste que je bougeai beaucoup et me réveillait en sursaut. Je savais bien qu'elle en était la cause: Ma rencontre avec Lyo. J'avais bien aimé jusqu'à ce que son autre personnalité prenne le dessus et me fasse mal. J'avais bien tenté de le cacher et de faire comme si de rien n'était mais je savais également que mon tendre n'était pas dupe. Je ne faisais pas l'amour de la même manière. Peut-être par peur d'avoir encore mal dans mon entre-jambe quoique la douleur était partie depuis un bon moment.

Toujours est-il que je me devais d'extérioriser tout ça mais comment le dire à mon amour sans qu'il ne parte dans une vendetta personnelle? Je savais qu'il n'était pas un violent mais il m'aimait avec une telle passion et une telle profondeur que je pouvais craindre qu'il ne se venge. Un peu du genre amoureux romantique que l'on pouvait voir dans les films que j'affectionnais beaucoup. Oui bien je suis une fille quand même! Comme j'avais congé ce jour là je décidai de m'éloigner un peu du lycée pour me permettre une balade tranquille et faire le vide et du même coup trouver une manière de parler de tout ça à mon amour.

Je me promenai en bordure de la forêt trop craintive de m'aventurer seule dans ce boisé qui cachai on ne sait pas quel détraqué. Je fis une longue balade et m'accordait une pause sous un pommier en fleur. Je m'assied sur le sol et regardai longuement les nuages m'imaginant toute sortes de formes pour le simple plaisir de m'apaiser. Après un moment je senti un calme m'envahir et mes paupière se fermèrent et je fis une sieste au soleil sous le pommier. Après un moment ce même cauchemar revint me faisant revivre les émotions que je tentais de fuir. Encore cette peur qui me tenaillait les entrailles. Je fus réveillée en sursaut par quelqu'un qui me touchai doucement et bien prise dans ce tourbillon de peur je levai un poing mais il s'arrêta en voyant le visage devant moi. Le souffle court et l'esprit encore embrouillé je ne pus rien faire d'autre que de le regarder longuement ne comprenant pas ce qu'il faisait là.

- Mon coeur? Qu'est-ce que...

J'étais horriblement confuse et lentement mon poing se baissa pour retomber sur le sol. Qu'allait-il penser de moi maintenant? Je poussai un soupir et baissait le regard.

Jade était tourmentée ces derniers jours. Je me demandais bien pourquoi, nos relations étaient harmonieuses, je lui donnais ce qu'elle voulait au lit sans poser de questions et nous débrouillions toujours pour manger ensemble. Nonobstant, il est vrai que parfois, elle semblait cacher certaines choses et ne pas vouloir en parler. En bon psychologue, je préférais patienter qu'elle veuille bien m'en parler. Mais ce jour là, elle était vraiment étrange, elle semblait dans un autre monde et rôdait partout comme une âme perdue hantant les endroits qu'elle avait connu. Je décidais donc de la suivre pour voir jusqu'où elle irait... par pure curiosité. Après bien quelques minutes de marche, elle finit par s'arrêter dans cette forêt et s'assit par terre. Voulant lui adresser la parole, je posais ma main délicatement sur son épaule. Mais soudain, elle m'envoya un coup de poing ! Grâce à mon entrainement au Wing Chun, je réussis à éviter le coup. Jade avait du croire qu'elle avait arrêté son geste au bon moment en me reconnaissant, mais ce n'était nullement le cas...

Euh... c'est moi... tu n'as pas l'air d'aller toi...

Je m'accroupis donc derrière elle et l'enlaça amoureusement, l'embrassant dans le cou. Elle devait certainement avoir été en train de se ressasser de bien mauvais souvenirs. Je décidais donc de m'y prendre de manière malicieuse pour lui faire avouer son secret douloureux... je fis descendre sensuellement une main dans sa culotte pour lui caresser son intimité, tandis que l'autre main lui caressait un sein alors que je l'embrassais sensuellement dans le cou simultanément. Il fallait la détendre et la mettre en état d'excitation avant tout...

Maintenant, tu vas tout me dire, d'accord mon amour ?

C'était une drôle de thérapie, mais cela m'intéressait de voir comment Jade allait réagir et surtout, la voir se laisser faire et se confesser à moi en toute confiance... je continuais donc mes caresses sensuelles tandis que ma main libre déshabillais Jade par le haut. Une fois l'avoir mise à moitié nue, je la fis s'allonger et me mis sur elle pour lui embrasser les seins, toujours en lui caressant son intimité sous sa culotte en dentelles. Puis, je me décidais à la pénétrer de deux doigts pour la faire se détendre encore plus, afin qu'elle s'ouvre encore plus à moi dans tous les sens du terme.

Allez, dis-moi tout, ton psychologue chéri prend soin de toi... libère ton fardeau... et moi... je te rendrai heureuse... vas-y, je t'écoute...

Je finis par remonter mes lèvres dans son cou, puis sur ses joue, l'y déposant milles baisers tandis que je l'écoutais attentivement. Qui a dit qu'on ne pouvait pas faire autre chose en même temps ? Surtout, que je ne supporte pas d'être inactif, donc autant faire certaines choses, pendant qu'on écoute l'autre dévoiler sa souffrance... et lui donner du plaisir à côté, afin d'équilibrer les sentiments dans un tel instant de douleur... enfin, je mis mes deux mains sous sa tête pour la soulever un peu, afin de pouvoir l'embrasser l'oreille plus confortablement...

Je suis là pour t'écouter... ne t'en fais pas... dis moi si ce que je fais ne te plais pas, afin que je passe à autre chose le cas échéant...

Mince je l'avais frappé? J'avais osé frappé mon amour, mon complice, mon tendre amour! Celui à qui j'avais confié mon coeur, mon âme et mon être? Celuiqui je devais aimer et chérir et prendre soin de lui? Moi j'avais osé faire ça? Quel être ignoble j'étais! Mais je me dis que tout ceci devait arrêter je devais lui dire. Il se glissa derrière moi et m'enlaça et déposa de petits bisous dans le cou mais sa main dans ma culotte me fit raidir. Non! Pas là je t'en prie! Je ne dis rien trop tendue. Mon haut quitta mon corps et les caresses s'accentuèrent. Je fermai les yeux tentant de me détendre un peu. Après tout il n'avait rien à voir avec moi, avec Lyo...

Je fus allongé et je plongeai mes yeux dans ceux d'un Shimizu amoureux et tendre qui ne voulait que mon bien et moi je restais là presque passive. Il me parlai pour me détendre, me rassurer. Oh! Mon amour si tu savais combien j'ai peine à dire ce que je ressens. Le dernier bout de phrase me fouetta telle une claque. Je me dégageai vivement de lui. Ce n'était pas sa faute! Lui pensait maintenant que c'était sa faute. Cependant en voyant son regard confus et probablement blessé, je me radoucit.

- Oh! Shimizu...ce n'est pas toi mon amour. Au contraire. C'est...

Je poussai un soupir et baissait les yeux vraiment honteuse et fixai le bout de mes doigts. Là je devais lui dire, je ne pouvais garder ça pour moi sinon se serait notre couple qui en écoperait. Je remontait mes yeux de saphir vers lui prête à me livrer.

- Je...j'ai revu quelqu'un dans les jardins avant notre rencontre. C'était un ancien petit ami. Lyo qu'il s'appelle et...bien...quand j'étais avec lui il était étudiant et moi jeune professeur. Nous nous aimions à la folie mais j'ai eu, disons peur de cet amour, de cet engagement....

Raaaaa comme c'était difficile. J'avais fait souffrir cet homme comme pas possible! Je passai une main dans mes cheveux d'ébène me demandant vraiment comment il allait réagir à ce qui s'en venait.

- Alors un jour je suis partie sans lui donner de nouvelles. Seulement voilà je l'ai revu et bon...tu me connaîs je croyais que ça allait déboucher en une nuit coquine mais... il a une autre personnalité et...cette...chose...

Je sentis une boule se former dans ma gorge juste à se souvenir. Les yeux, la voix et cette force...Je me relevai en prenant mon haut et le prit comme si c'était la doudou d'un enfant. Je marchai de long en large vraiment tourmentée. Je m'arrêtai et mes yeux s'emplirent de larmes.

- IL m'a plaqué sur un arbre et a introduit deux doigts en moi tellement violemment que j'avais peur de ce qu'il pouvait faire ensuite.... J'ai eu peur, j'ai eu mal... Comment ai-je pu rendre un homme comme...ça.... C'était horrible.... Je.... tu sais....

Mon récit était entrecoupé de sanglots. Les larmes roulaient sur mes joues je ne parvenait pas à reprendre le dessus. Je ne voulais pas qu'il crois que c'était sa faute. Il était le seul avec qui j'avais une réelle envie de rester, de ne pas fuir. Merde c'était horrible de voir son regard sur moi. Je me retournai et me cachai le visage entre mes mains.

J'avais écouté silencieusement le récit de Jade qui était larmoyante et tourmentée. Je n'étais qu'un second amour, comme elle pour moi... donc pourquoi se prenait-elle autant la tête ? Elle était trop cérébrale et ressassait bien trop son passé dans sa petite tête... je pris un mouchoir et essuya ses larmes puis la fis s'allonger à l'ombre de l'arbre qui était à côté de nous. Je m'allongeais de nouveau au dessus d'elle et l'embrassa puis je la rassurai en reprenant la parole :

Ma chère Jade, tout cela n'a plus d'importance... le passé, c'est mort et enterré, le futur, on ne le connait pas, donc à nous de prendre possession de notre présent... alors libères ton esprit et laisse moi faire, d'accord ? Pour moi ce qui compte, c'est que je suis avec toi aujourd'hui, le reste n'a vraiment pas d'importance à mes yeux... alors... laisse moi te rendre heureuse et te combler d'amour...

Je finis par la déshabiller totalement et commença par embrasser son intimité puis j'introduis ma langue en elle, lui volant quelques soupirs. Pendant ce temps, je me déshabillais progressivement pour me mettre nu à mon tour. Comme prévu, mon sexe était déjà au garde à vous. Une fois les étapes franchies convenablement, je revins au dessus de Jade, tout aussi nu qu'elle, lui donnant mille baisers sur les joues qui avaient été torturées par ses larmes...

C'est fini maintenant... je suis là... je vais te faire l'amour et tu oublieras tout...

Je pris alors mon sexe et l'introduisit dans le sien, tandis que je l'embrassais sur les joues, puis je me mis à commencer les vas et viens en elle. Maintenant, elle irait bien, je prenais soin d'elle. Il était temps pour elle de passer à autre chose... à moi ! Maintenant, c'était moi son centre du monde et pas un autre. Que je ne fusse pas son premier amour ou son amour tout court, je m'en fichais royalement, ce qui comptait pour moi, c'était d'être avec elle, rien de plus...

Je me fous de ce qui s'est passé entre toi et ce Lyo... tout ça c'est terminé, ainsi que cet incident... maintenant, je suis là et tu m'as moi...

Je lui volais un baiser faisant valser nos langues ensemble lui transmettant mon désir d'être avec elle et de la combler, lui prouvant que je ne me souciais nullement de son passé mais uniquement de son présent... notre présent, qui était celui-ci : nous étions unis charnellement par nos corps et nos sexes et c'était tout ce qui comptait à l'heure présente, alors que je lui volais des gémissements de plaisir malgré elle... mais il fallait la punir pour ne pas m'avoir laissé faire ma thérapie telle que je voulais le faire... nous étions censés être complices, or, elle s'était transformée en amante larmoyante, chose que je détestais, puisque je ne supporte pas de voir une femme souffrir...

Ton Lyo était un indélicat, regarde comment moi je te sanctionne amoureusement, connaitras-tu pareille sanction avec un autre homme ?

Je me retirais d'elle et la fit s'allonger sur le ventre. Je la repénétrais par derrière et pris appuis sur mes deux mains pour recommencer le rythme des vas et viens en elle. Puis, je trouvais cela ennuyeux, donc je finis par la mettre à quatre pattes, de manière à ce que nous soyons mieux positionnés par la chose. Je pris donc la décision de la prendre passionnément, sans être sauvage, lui tenant les fesses d'une main, tandis que l'autre lui caressait le clitoris...

Alors, tu aimes ta punition douce Jade ?

Oh! Mon tendre amour, déjà il essuyait mes larmes et ainsi me procurer un semblant de soulagement. Il me fis allongée une nouvelle fois sous l'arbre à l'ombre et il se mit par-dessus moi. Cette fois je n'avais pas envie de fuir juste ses mots suffirent à m'apaiser et me calmer et ainsi plonger dans son regard. Je hochai lentement de la tête en souriant. Oui prends-soin de moi mon coeur. Il me déshabilla enlevant chaque morceau lentement sensuellement et alla directement à mon antre de plaisir la léchant et introduisant sa langue en moi m'arrachant un soupir de plaisir. Malgré tout il savait s'y prendre! Il revint par-dessus moi nu comme un ver et embrassa mes joues tendrement et me dit qu'il me ferait oublier tout.

- Oui mon amour fais-moi oublier...

IL s'introduisit en moi et commença de léger va et viens m'arrachant quelques soupir et gémissements de plaisir dont lui seul avait le secret. Il me dit que tout était terminé ainsi que cet "incident", sur quoi j'haussai un sourcil mais il bloqua toute réplique en m'embrassant et faisant valser sa langue avec la mienne. Il mit fin au baiser en me disant que Lyo était un rustre et qu'il allait me sanctionner amoureusement. Hum...projet intéressant mon chéri!

- Aucun homme ne t'égalera mon amour...

Je me fis allonger sur le ventre et il me prit par-derrière mais disons que j'étais plutôt inconfortable et il semblait en être de même pour lui car il me releva pour me mettre à quatre pattes et ainsi me prendre dans une passion sans sauvagerie et il titilla mon clitoris qui m'arracha quelques gémissement de plaisir ponctué de petits cris. Si j'aimais ma sanction? Mais oui! J'adorais même! Je sentis sa main sur mes fesses et tout ça mit ensemble me rendit molle de plaisir pour lui.

- Oh! Oui.... J'aime mon chéri... Mais j'ai été méchante de...hum.... t'abandonner à mes....Aaaah! sombres pensées....

J'osai un regard quelque peu coquin par-dessus mon épaule pour lui signifier qu'il était celui que j'aimais plus que tout. Aucun homme n'aurait mon coeur. Mon corps peut-être mais pas mon coeur, je lui avait donné donc j'étais sienne.

- Aaaaah! Oui! Je suis à toi....

J'avais atteint mon but, la rassurer et la mettre de nouveau dans un état psychologique décent. Cela ne lui servait à rien de ressasser un passé inutile alors que j'étais là frais et dispo pour prendre soin d'elle dignement. Elle s'ouvrit immédiatement à ma passion et se laissa faire avec une soumission bien amoureuse... Lyo était son premier, mais moi, j'étais le suivant, donc à moi d'en profiter et de faire regretter à l'autre abruti de ne pas avoir su prendre soin de ma chère Jade...

Inutile de s'excuser très chère... l'heure est à l'amour... et à sa malice...

Mes mains quittèrent son clitoris et ses fesses pour remonter vers ses seins, les caresser et titiller ses tétons tandis que j'accélérais la cadence de notre petit tango bien digne du Libertango de Piazzolla... alors qu'elle était en souffrance, moi je lui offrais la jouissance de l'amour charnel, tout comme la souffrance et le plaisir se mélange dans le tango... je n'oublierai jamais mon premier tango... alors celui là, ELLE, ne risquait pas de le voir disparaitre de sa petite mémoire !

La prochaine fois, tu m'en parleras... et cela finira de manière plus romantique... comment un homme pourrait-il m'égaler ? Puisque je suis un dévot !

Pendant quelques minutes encore, je lui donnais de passionnés coups de reins, sentant le mon sexe toucher le fond du sien à chaque fois alors que mes mains ne se déliaient pas de ses doux seins alors que j'étais penché sur son dos... puis la jouissance finit par arriver et je me libérais ainsi en elle, appréciant la sortie du sperme de mon sexe et le remplissement de son sexe, se resserrant contre le mien de plaisir alors qu'elle me recevait librement sans se rebeller...

Tu as toujours été à moi et je vais te le prouver...

Je me retirais d'elle et la fit s'allonger sur le dos, puis, je lui écartais les jambes et fit monter ses genoux au dessus d'elle. Pas besoin de lui faire un dessin pour qu'elle sache ce que j'allais faire. Bien évidemment, je préparais son anus à me recevoir à l'aide de caresses sensuelles procurées par mes doigts, puis, je présentais enfin mon sexe face à son anus et la pénétra dans sa totalité puis, je m'allongeais définitivement sur elle, commençant de bien longs vas et viens langoureux sans la déchirer tout de suite...

C'est si bon d'être en toi et de faire les folies de ton corps... hurle ton plaisir, personne ne t'entendra... je sais que tu aimes être prise par là... ma chère libertine de Jade...

Bien que nous aimions nous donner tendrement et amoureusement comme un couple normal sait le faire, sa malice libertine réussissait toujours à m'exciter. Ses coups de reins me malaxait l'intérieur pendant que des cris sortaient de ma bouche. Il quitta mon clitoris pour venir saisir ma poitrine pour les pincer et les malaxer comme seul un malicieux dans son genre pouvait le faire. Son membre arrivait au fond de mon intimité ce qui me fit pousser de petits cris aïgus. Il se libéra en moi et je ne pus qu'apprécier le fait qu'il me prenne ainsi. Il me retourna en me disant que j'ai toujours été à lui et qu'il allait me le prouver.

Quand il me releva les genoux et que senti ses doigts mes reins se cambrèrent et je ne pus réprimer un sourire satisfait. Il entra en moi avec douceur mais je pus tout sentir son membre entrer et quand il se coucha sur moi la sensation était telle que je crispait mes doigts dans l'herbe tendre. Je suis une libertine c'est vrai et il est le premier qui m'est fait découvrir ce doux plaisir.

- C'est si bon de te sentir en moi...Hummmm.... J'aime quand tu es malicieux.... Aaah!! Mon amour! C'est si....bon....

J'aimais son côté malicieux à la limite du pervers et ce ton tout en élégance et en autorité. Oui il savait que j'étais à lui et que j'étais son joujou comme lui étais le mien. Il était mon amour, mon malicieux à moi. Ses va et viens en moi me faisait presque perdre la tête. Je posai une main dans son cou et mon autre main alla caresser mon petit bouton de chair. Pas qu'il ne me donnait pas de plaisir mais en coquine que je suis je savais qu'il aimait bien me voir me caresser...comme je savais que sa augmenterai son propre plaisir.

Tu es vraiment une petite libertine... tu aimes tout ce que je te fais... et regarde comment tu t'es laissée faire si facilement... tu aimes hein ? Quand je te prends ainsi par les fesses ? Et tu es encore plus excitée quand tu sens ma semence remplir ton petit anus, n'est-ce pas ? Ne t'en fais pas, ma bite va bien s'occuper de ton petit cul...

Ma malice avait pris le dessus, je la provoquais pour qu'elle s'exprime plus, qu'elle se libère encore plus, une vraie libertine, moins coincée et qui s'assume encore plus et qui n'hésite pas à prendre possession d'un homme ainsi qu'à lui demander les plaisirs qu'elle voulait recevoir. Je la voyais se caresser le clitoris et je savais bien que c'était pour me provoquer, j'en profitais donc pour lui donner des coups de reins encore plus puissants tout en dévorant son cou avec avidité tant j'aimais le goût et l'arôme de sa peau...

Tu le sens comme ma bite fait vibrer ton cul ? Et ton corps, regarde comme je m'en délecte ! Si délicieux ! Je te lècherai et t'embrasserai nuit et jour si je le pouvais ! Tu l'aimes bien comment elle te déchire ma bite hein ? Ne t'en fais pas, je suis loin d'en avoir fini !

Mon langage était certes cru, mais j'en avais marre de me servir de mots qui en réalité ne voulaient pas dire grand chose, alors autant nommer les choses telles qu'elles sont et assumer pleinement les plaisir que nous prenions ensemble dans ce genre de moment... d'ailleurs je sentais ma bite se détendre de plus en plus dans son anus alors que le rythme de mes pénétrations ne cessait de s'accélérer... la jouissance était proche et quelle ne fut pas mon plaisir quand je sentis un orgasme me ravager au moment d'éjaculer dans son doux petit cul...

Alors, il est bon mon sperme chaud hein ? Allez, je vais m'allonger, prends moi comme un amazone si tu en es capable...

Provocation, malice, libertinage... saurait-elle lire à travers le rôle que je faisais semblant de jouer ? Ou tomberait-elle dans le piège ? Nous finirons bien par le savoir...

(HRP: OMG!! Moi qui osait pas^^ Bon d'accord!)

Là je fus plus que surprise du ton et bien sûr du choix des mots qu'il prenait. Bien sûr ceci m'émoustilla. Je le connaissait malicieux et doux alors cette...seconde personnalité me ravi. Je me réservai de peur qu'il ne s'offusque de mon côté libertin. En le voyant presque autoritaire mon côté libertin américain prit le dessus. Il voulait m'entendre lui parler cru? Alors soit! Allons-y! Après tout qui nous entendrais? Nous étions deux amants seuls au monde alors...

- Oh! Oui j'aime me faire prendre par mon petit cul.... Ah!! Oui vas-y fais-moi voir ce que ta queue peut me faire!

Oui bien venant d'un autre contrée les mots était peut-être un peu plus cru mais toujours aussi cru. Je lâchai mon clitoris pour aller me saisir de ses fesses que j'agrippai pendant qu'il redoublait d'ardeur en moi. Je criai de plaisir tellement ça me faisait du bien pendant qu'il allait se nicher dans mon cou me faisant cambre les reins. Encore une fois il me parla dans un langage cru et provocateur augmentant ainsi mon côté "sauvage". Là je me demandais ce qu'il cherchait ou même souhaitait car de où j'étais c'était un peu difficile tout de même!

- Oh! Oui je la sens bien allez donne-moi ce que tu as... Viens en moi... À ce que ta queue peut m'exciter... Humm... et délecte-toi de mon corps qu'est-ce que tu attends!

Je le sentis qu'il allait jouir en moi car ses rythmes s'accélérèrent me faisant crier de délice. Non mais il se cachait où cet amant? Vraiment ce ton malicieux qu'il prit m'allumai à un point qu'il ne se doutait même pas! Les coups qu'il donnait en même temps que sa jouissance faisait rebondir ma poitrine que je saisis d'une main. Cependant la fin de sa phrase qui me mettait au défi de le prendre comme une amazone...si j'en était capable. Mais...il croyait quoi? Que j'allais lui donner raison? Han han pas question. Oui bien c'est que je suis orgueilleuse quand même! Il se retira de moi et aussitôt je me relevai sur mes genoux. IL n'eut même pas le temps de toucher le sol que d'une main je le plaquai au sol.

- Tu crois que je ne serais pas capable? Tu me connaît mal Shimizu Honda...très mal...

J'allai me saisir de son membre et le mit en bouche et le suçait avidement. J'étais totalement avide de lui faire comprendre que je pouvais me montrer aussi malicieuse que lui. J'allai profondément en bouche sans totalement au fond, pour ainsi qu'il puisse apprécier la chaleur de ma bouche, de mes lèvres qui parcourait son membre. Après un moment j'allai le chevaucher et m'empalai sur lui l'enfonçant en moi profondément. Est-ce qu'il souhaitait je ne savait pas mais s'il voulait le contraire bien...il s'y était mal prit. Peut-être cherchait-il à extérioriser mes démons du passé ainsi qui sait? Toujours est-il que je le chevauchai habilement faisant rouler mes hanches sauvagement. Parfois je ralentissais, car bon j'étais tout de même à bout de souffle, mais ma corps refusait de lui donner raison.

- Tu aimes me voir ainsi hein? Ma petite chatte toute humide entourant ta queue... Tu aimes sentir ma chatte devenir mouiller à cause de toi hein? Je vais te faire voir qui es Jade Connelly...

Je lui servit un sourire malicieux avant de continuer mon manège. J'étais emporté par tout ce que Shimizu m'avait fait et la "correction" dont j'avais été la victime. Maintenant monsieur le professeur voyons si vous apprécier mon libertinage...

Avant même que je ne songe à me mettre à l'aise, elle me plaqua au sol et répondit à mon défi. Magnifique, c'est tout ce que je voulais. Contrairement à ce qu'elle pensait, je la connais très bien, mais j'attendais qu'elle s'assume totalement avec moi, d'où mes nombreuses provocations orales durant notre ébat libertin d'il y a peu. Elle se saisit aussitôt de mon membre et me prodigua une fellation ô combien agréable à subir tant elle prenait bien soin de mon sexe dans sa bouche. Elle finit par venir s'empaler sur moi pour me chevaucher. Elle prenait des initiatives sans demander mon avis et j'appréciais cela aussi...

Oui, je l'aime ta chatte, j'aime la sentir entourer ma bite, j'aime la sentir mouillée à cause de moi... vas-y, montre moi donc qui tu es !

Elle me sourit de manière malicieuse et continua de se balancer sur moi en toute bonne libertine qu'elle était. Touchée dans son orgueil, elle voulait me prouver sa valeur malgré sa fatigue qui avait pu être perceptible mais qu'elle avait su cacher dans son dévouement à la tâche... mes mains se posèrent sagement sur ses fesses et je l'observais se déhancher au dessus de moi pour me donner l'orgasme que je désirais tant... un orgasme où je n'aurais rien eu à faire, me laissant faire par cette délicieuse amante...

Oh... ça se voit que tu aimes sentir ma bite en toi... regardes comment tu te déhanches... tu es toute excitée hein, petite coquine...

Mais quel amant malicieux il était! Ainsi il voulait me voir le prendre, le "dominer", m'occuper de lui. Vraiment comment il pouvait être coquin! Je me couchai sur lui ne faisant qu'entrer et sortir le bout de son sexe car il fallait bien le dire c'était une partie sensible et bien sûr je me délectais de ses soupirs. J'allai dévorer son cou à coup de baisers et de coup de langue. Je remontai pour mordiller ses oreilles après j'allai dévorer ses lèvres. Parfois je saisi une lèvre en la mordillant doucement.

Mes gémissements s'accentuaient comme mes cris d'ailleurs. Je décidai de monter et descendre sur son membre gorgée de plaisir pour moi. Je comptais bien ne pas le décevoir et ainsi lui montrer que j'étais aussi libertine qu'il le croyait.

- Comment ne pas aimer cette queue hein? Aaaah... Je suis tellement...excitée.... Tu me sens bien.... Ooooh...Je te sens tellement bien....

J'étais tellement excitée que mon liquide reluisait sur son membre bien droit. Quand je redescendais sur lui je sentais que mon nectar l'avait tout aussi humidifier. Mon intimité était tout aussi humide de l'intérieur que de l'extérieur. Je me remit bien sur lui et prit appui sur ses cuisses tout en faisant aller mes hanches et ainsi lui donner une vue imprenable sur mon corps. Ses mains étaient posées sur mon popotin sagement, dociles comme tout. Je vis dans son oeil qu'il aimait ce qu'il voyait, content à ce que j'ai répondu à son défi.

-Tu veux me voir venir...Sentir ma chatte se resserrer autour...de ta queue... Humm... Si tu es...sage tu le verras...

Après un moment de va et viens vigoureux et sauvage je sentis que mon orgasme était proche ce qui fit que je redoublait d'ardeur et un de mes mains glissa de mon cou à ma poitrine que je pinçai savamment pour glisser sur mon ventre plat et aboutir à mon bouton de chair. En même temps que je me balançai sur mon amour chéri je me caressai. Tout dans cette nature environnante était excitant. L'endroit, les odeurs même la brise fraîche caressant nos corps nus. Enfin vint l'apothéose final que me fit lâcher un cri, que dis-je un hurlement serait plus juste, quasi bestial.

Mon corps était saisi de soubresaut des assauts que mon corps avait subit avec plaisir. Projeter au-delà des cieux je retombai tranquillement vers la terre et dernier libertinage je l'embrassai avec fougue pour retourner à sa verge encore droite et le saisit en bouche. Alors monsieur Honda était-ce à votre goût?

Je la regardais monter et descendre sur moi alors qu'elle lvouait être excitée et aimer mon sexe... je la regardais se balancer de plaisir sur moi alors qu'elle me défiait du regard pour me montrer qu'elle était capable de me donner beaucoup de plaisir en un si petit laps de temps, mais je sentais bien que c'était surtout son excitation qui était à son comble... j'en déduisis que cela était certain au vu de sa dernière provocation... évidemment que je voulais la voir venir ! C'était jouissif de voir une femme atteindre l'orgasme !

Et je te contemplerai ma petite libertine...

Elle était vraiment excitée et était aux bords de l'orgasme... à en voir ses gestes, je voyais bien son impatience ! Elle s'occupait elle-même de ses seins et caressait son clitoris qui était offerte à ma vue... puis elle fini par jouir bruyamment et toute tremblante elle se laissa dominer par son orgasme pendant une belle poignée de secondes... c'était beau à voir... dommage qu'elle ne m'ait pas fait jouir en même temps, cela aurait été encore bien meilleur... puis elle vint m'embrasser et enfin, elle retourna prendre mon sexe en bouche...

Oh, alors c'est comme ça ? Bien, suce moi et avale mon sperme bien chaud, je sais que tu aimes ça petite libertine ! Allez, vas y ! Qu'attends-tu donc ? Qu'un autre homme vienne te prendre par derrière pendant que tu me suces ?

Malicieux un jour, malicieux toujours...

J'en étais à le sucer goulûment j'étais une assoiffée. Je voulais qu'il me vienne en bouche, je voulais sentir sa semence couler dans ma gorge. J'étais encore bien excitée malgré l'orgasme gigantesque que j'avais eu. Dans mon délire j'imaginais presque un promeneur nous voyant et excité par le vue il me prenait par derrière. Mon Dieu! Mais que se passait-il avec mon subconscient?? Jamais je n'avais eu envie d'un autre homme...enfin pas en même temps que je faisais l'amour à mon tendre.

Une de mes main alla se perdre sur mon intimité pour la caresser sensuellement. Mais j'étais insatiable en ce moment! Qu'est-ce qu'il avait fait de moi? BOn pas grand chose car on s'entend que je suis comme ça à la base non? Je montai et descendait sur sa verge presque vertigineuse luisante de salive et de nos liquides corporels que je me plaisais à "nettoyer". J'en trai un doigt en moi pour faire monter mon excitation encore plus pour peut-être ainsi avoir un orgasme en même temps que lui. De longs chapitres à le lécher, le sucer comme jamais j'avais fait encore.

Je le lâchai quelques secondes pour lui jeter un oeil et de le voir étendu à mon supplice et gémissant me fit sourire. J'activai mes doigts en moi et senti vraiment comment c'était humide et chaud. Comment avais-je pu laisser la rencontre de Lyo me pourrir la vie?

Alors qu'elle me suçait avec avidité, j'en profitais pour mettre mes mains sur sa tête et commençais à contrôler moi-même les mouvements de vas et viens. Elle voulait goûter à ma semence donc autant la lui faire avaler à notre rythme... sa tête devint le sexe que je devais contenter et je prenais bien du plaisir à faire des vas et viens dans sa bouche, sentant ses plaisantes lèvres et langue caresser si bien mon sexe... elle m'avait bien sucé et léché comme il le fallait, maintenant, tout ce que je voulais c'était jouir dans son adorable bouche... quelques minutes suffirent et je finis par me libérer enfin...

Oh oui... c'est bon... ah.... tu le voulais, donc maintenant avales-le bien ma petite libertine !

C'était comme d'une douleur dont elle me soulageait, je maintenait sa tête contre mon sexe le temps de bien lui faire tout avaler, puis je la fis s'allonger et revins en elle aussitôt. Je repris le rythme des pénétrations tout de suite en m'allongeant sur elle tout en venant la dévorer au niveau du cou... j'avais envie de plaisir mais surtout de chair... j'avais faim... et je n'allais pas me gêner pour la vampiriser d'amour...

J'aime te prendre et te dévorer... tu es si bonne... j'aime quand ma bite est dans ta chatte... je m'y sens chez moi...

J'étais encore active sur son sexe totalement submergée par le plaisir et l'excitation dont j'étais envahie. Je sentis ses mains sur ma tête reprenant le contrôle de mes mouvements. J'eus un petit gémissement de surprise avant de m'acquitter à ma tâche de manière sensuelle malgré que là j'avais peu de contrôle. Alors je continuai à me caresser pour ainsi augmenter mon plaisir et mon désir. Quelques minutes plus tard je le senti se libérer en moi et maintenir ma tête là. Qu'est-ce qu'il croyait? Que j'allais m'enfuir? Hé non monsieur! Je suis là alors profites-en! Bien qu'il me parla je ne pu répondre de où j'étais et tout ce que je fis fut un long "hum" de contentement.

Après bien avoir fait "ma tâche" il me fit allonger et juste le temps que j'enlève mes doigts qu'il revint en moi et je lâchai un long soupir de plaisir. Encore une fois il me dit, en langage cru, qu'il m'aimait et qu'il aimait me prendre. Je me saisi de ses fesses et enfonçai mes doigts signe de mon plaisir.

- Ahh... Oui prends-la ma petite chatte si tu l'aimes... J'aime ta queue et bien le sentir... Continue mon petit pervers...

Mon plaisir était à la limite de la sauvagerie enfin c'est ce qui se dégagea de mon regard. J'étais chaude, brûlante et j'étirais ma tête pour qu'il puisse avoir libre accès à mon cou qu'il vampirisait de bien belle manière. Comme il était proche je me saisi de son cou et parti à l'assaut de cette nuque dont j'étais folle pour le parcourir de baiser et le mordiller doucement.

hum... j'aime quand tu prends mes fesses entre mes mains... je compte sur toi pour t'en souvenir...

J'avais pris grand plaisir à sentir ses mains ici tandis qu'elle avait profité de ma position pour me rendre la politesse sur ma nuque... autant de sensualité me rendait presque vulnérable vu qu'elle n'était pas loin de mon point faible, mais heureusement, ce n'était pas avec sa bouche qu'elle pouvait me rendre à l'état de pantin, bien heureusement pour moi, sinon, c'en serait fini de moi et de mon indépendance ! Je revins alors vers ses lèvres alors que je prenais appui sur ses épaules pour mieux la dominer et envoyais ma langue rencontrer la sienne pour de nouvelles valses sensuelles entre nos bouches... plus bas, je m'activai à la pénétrer lentement mais profondément de manière assez brutale au moment de toucher au fond, de manière à la faire bien jouir et gémir comme elle se le devait...

Non, pas pervers... disons... passionné de tout ce qui fait une femme... oui, la passion des femmes, un passionné de femmes... hum... serait plus correct...

Après cela, je lui volais un autre baiser où je dévorais littéralement sa lèvre inférieure, l'embrassant passionnément au risque de lui faire mal à la lèvre sans m'en rendre compte tandis que j'accèlerais le rythme de la cadence sexuelle, toujours histoire d'augmenter son excitation et de la faire gémir de plus en plus fort, car oui, j'appréciais de l'entendre mais surtout, l'entendre m'excitait, alors autant se donner à l'ouvrage convenablement...

J'espère que tu aimes plus mon coeur que ma queue... sinon, je pourrais te sanctionner sexuellement même en cours... je suis un grand malicieux tu sais... et quand je dis en cours, je dis bien, devant tes élèves...

- Je m'en souviendrais...

Je lui fit un bref sourire avant qu'il vienne prendre appui sur mes épaules me rendant complètement soumise pendant qu'il vint dévorer mes lèvres et enfoncer sa langue dans ma bouche et les faire valser et mélanger nos salive le tout en s'enfonçant un peu plus en moi. Bien sûr ceci m'arracha des gémissements qui était bloqué par ses lèvres recouvrant la mienne. Décidément je n'avais pas vu ce côté malicieux de mon tendre il y a bien longtemps que c'était-il passé?

En fait ce n'était pas difficile à comprendre. J'étais loin de lui voilà pourquoi! Mais là j'étais tellement près de lui comme jamais je ne l'avais été. Il me révéla ensuite qu'il était un passionné des femmes ce qui me fit sourire. Qu'il soit passionné des femmes ça allait mais tant qu'il me gardait dans son coeur ça irait.

Alors nous sommes deux... Hum.... Passionné mon amour.... Mais ton coeur est à moi.... C'est bon...

IL continua de me mordiller la lèvre et s'adonner à sa tâche pour bien m'exciter et me faire crier et gémir. J'en étais à lâcher des cris de mon plaisir intense quand il me dit si j'aimais mieux son coeur que son sexe sinon se serait une sanction devant mes élèves. Tiens ça en rendrait un bande de jaloux ou encore les exciter davantage. Cependant malgré ma grande liberté me faire voir par des gens...Non pas vraiment.

- J'aime mieux ton coeur.... Ta queue est une merveilleuse sanction... Humm....

Les mots commençaient à me manquer. Je sentais chaque entrée et sortie de son membre et qui s'enfonçait toujours plus en moi. Folle de plaisir j'allai me saisir de son fessier et enfonçait encore une fois mes doigt dans sa chair. Muée par le plaisir, disons que les sons qui sortaient de mon corps équivalait les assaut que je subissait...avec plaisir. L'herbe fraîche sous moi me fournissait un merveilleux matelas. Heureusement que personne ne passait!

Comme j'aimais ce qu'elle faisait avec ses mains... peu de femmes savent qu'on aime qu'elle mettent leurs mains là, mais quel plaisir quand elles malmènent cet endroit... elles peuvent y faire ce qu'elles veulent, on ne peut qu'apprécier, même si on n'est pas pervers... au pire, on rougit et on n'ose rien dire de peur de passer pour un pervers ou un misérable obsédé... moi j'aimais tout ce qu'une femme pouvait faire à un homme, c'est tout...

Une merveilleuse sanction ? Bénédiction tu devrais dire...

Après ces dernières paroles, je finis par jouir en elle puis je m'écroulais lentement sur elle, lui dévorant son cou tendrement, attendant de voir ce qu'elle allait faire par la suite.

(idem u_u)

Oui bien là je devais lui donner raison car c'était un vraie bénédiction de se faire prendre par lui de toutes les manières possible. Ne m'en avait-il pas donné la preuve? Après bien des va et viens et des baisers il se libéra en moi tout en s'affalant sur mon petit corps brulant. C'est que c'est pesant un mec quand même! Enfin je le retournai sur le dos et allai me saisir de ses lèvres et ensuite de son cou que je mordillais doucement. J'aimais aller me nicher dans son cou ou toute les odeurs se trouvaient.

Son sexe sorti de moi était encore chaud et humide alors comme toute coquine qui se respecte, je frottai ma fleur sur celui-ci en gémissant doucement. Je parcouru son cou, ses oreilles, descendit à son torse que je parcourais de baiser, de mes mains et même de coup de langue bien placé. arrivé à son sexe je le saisi en bouche sans plus de cérémonie et entreprit des va et viens rapide et avide toujours en proie à une excitation que j'ai rarement connu. Une main alla m'exciter, comme si j'en avais besoin d'ailleurs, et je continuai mon manège de longues minutes parcourant chaque parcelle de son sexe et ses environs. Une fois bien certaine que rien ne flanchera, et comme il voulait que j'assume mon côté libertin, je l'enfonçait doucement entre mes fesses rebondies un sourire coquin sur mes lèvres.

Elle m'avait remis délicatement sur le dos et s'était emparée de mes lèvres puis de mon cou... ah cette Jade, elle sait comment traiter un homme et lui donner son affection elle... mais je sentis alors qu'elle se frottait de nouveau à mon sexe, comme si elle n'avait pas été encore satisfaite... elle gémissait doucement... cherchait-elle à me provoquer ou voulait-elle prendre du plaisir tout simplement ? Je préfèrais la laisser faire, prenant possession de mon corps... je l'aimais après tout... elle parcourut tout mon cou et mes oreilles, me rendant fou d'amour alors que j'avais déjà pris tant de plaisir, mais là, c'était "insupportable" tellement c'était bon... mais ce n'était pas terminé, elle s'en prit aussi à mon torse qu'elle couvrait de baisers, me caressant de ses mains et de sa langue aussi... puis, elle finit par arriver à mon sexe et le mit en bouche, commençant une douce fellation mais rapide, avide de mon sexe à mon propre étonnement... elle continua pendant encore de bien longues strophes alors qu'elle m'arrachait encore bien des soupirs alors que mes mains se reposaient difficilement sur sa tête... soudain, je fus surpris par ce qu'elle faisait, elle cessa sa fellation, se mit à califourchon sur mon et... m'introduisit entre ses fesses ! Elle aimait tant que cela la sodomie ? Bon... puisque c'est son plaisir et que son plaisir est le mien, laissons-la continuer...

Tu es vraiment la meilleure des amantes Jade...

Pas que j'aimais particulièrement ça mais j'étais tellement "allumée" que je l'avais introduit là simplement par coquinerie...bon d'accord parce que j'aimais ça aussi. Je me fie douce et coquine à la fois quand mon tendre me fit savoir comme j'étais une bonne maîtresse. Comment ne pas l'être alors qu'il était lui aussi un amant exceptionnel! Je lui fit un petit sourire coquin tout en faisant courir une main sur moi pour me caresser et de l'autre prenant appui sur lui.

- J'aime te faire plaisir mon amour...

Il était un insatiable et moi aussi alors pourquoi ne pas se satisfaire librement? Ma main qui parcourait mon corps se retrouva sur mon petit bouton de plaisir que je m'amusai à caresser se qui accentua mon plaisir et mes gémissements. De toute façon j'étais déjà bien excitée alors...Après de longues minutes de va et viens de caresses je joui une autre fois en lâchant mon cri de plaisir. Je restai sur lui encore quelques minutes pendant que les derniers soubresauts sortaient de mon corps. Je le sorti de moi et allai m'allonger à côté de lui fatiguée mais Ô combien heureuse! Je me lovai contre son corps le mien encore brûlant et mes joues bien rougies par le plaisir qu'il m'avait procuré.

Elle avait eu son orgasme mais elle avait oublié de me faire jouir aussi... je n'y fis pas attention, me disant que son orgasme avait dû lui faire perdre conscience de toute réalité. Je m'allongeais donc sur elle et commença de nouveau à lui dévorer le cou tout en caressant ses cuisses, puis, en lui écartant de nouveau les cuisses je m'introduisis de nouveau en elle et commença de lents vas et viens...

Tu m'as oublié ma chère...

J'accélérais un peu tandis que j'étais descendu vers sa poitrine, me délectant de chaque sein, les embrassant et les léchant tout en mordillant ses tétons par la suite, comme elle le méritait... mais comme j'en avais encore faim aussi ! J'adore la chair féminine, alors si je pouvais faire cela tous les jours, je serai assouvi à tout jamais...

Je ne suis pas le plus beau... mais je suis le meilleur des amoureux, hein mon amour ?

Mince qu'elle étourdie j'étais! Comment avais-je osé l'oublier? Mais il semblait que mon tendre amour s'occupait déjà d'aller quérir son dû. IL m'embrassa dans le cou et d'un geste habile écarta mes cuisses et s'introduit en moi et commença de long va et viens tout doux et tendre. Son souffle caressait ma peau et me faisait frissonner.

- Qu'elle vilaine je suis t'avoir oublié...

Je passai mes bras autour de son cou et ainsi le rapprocher de moi et l'embrasser tendrement et passionnément. Une fois libérer de mon étreinte il reprit ses mouvements qui me faisait gémir et cambrer les reins malgré tout. Ce fut ce qu'il dit qui me fit ouvrir les yeux et prendre son visage entre mes mains.

- Mais qu'est-ce que tu dis là? Tu es le plus beau, les plus merveilleux et le plus tendre des amoureux. Le meilleur...c'est moi qui l'ai

D'accord, souriais-je.

Je continuais mes pénétrations rapides alors que je dévorais son cou, ce cou à la chair si délicieuse et au parfum irrésistible... mais j'avais faim, faim de ses lèvres surtout ! Je les cherchais, montant lentement dans son cou, sur son menton puis enfin ses lèvres et l'embrassais enfin... la dévorant d'amour et de passion je faisais ce que j'aimais le plus au monde : embrasser... bien des strophes plus tard, je finissais par jouir en elle...

Oh Jade... fais ce que tu veux de moi, mais surtout, embrasse moi... partout... mais embrasse moi... avec tes lèvres si douces et délicieuses...

(HRP: Commence à être en panne d'idée là XDD)

Il me dévorait le cou me procurant de délicieux frissons et petits gémissements de plaisir. Ses lèvres brûlantes parcouraient la chair de mon cou et de mon menton pour remonter vers les miennes. Douces et brûlantes je les accueillies avec joie me laissant embrasser en répondant à ses tendre baiser. Bien que nous syons un couple libertin je me consummais d'amour pour lui. Il était mon tendre amour que je chéris.

Mon corps poussait de petits cris de plaisir aïgus en réponse aux va et viens de mon tendre qui était assoiffé d'amour. Mon corps était brûlant tel de la braise et mon intimité d'une sensibilité que je croyais à peine possible. Il se répandit en moi en émmettant un long râle et il me demanda de faire de lui ce que je voulais mais de l'embrasser.

Je ramassai nos vêtements épars et le prit par la main vers un petit ruisseau caché des passants. Je posais nos vêtement dans l'herbe tendre avant de m'assoir et d'enjoindre mon tendre à en faire de même. Aussitôt fait j'emprisonnais son visage entre mes mains et allait l'embrasser tendrement pour ainsi combler son besoin et le mien également. Je collai mon corps contre le sien et fit courir mes longs doigt le long de son échine.

Un fou ? Non, Contenu sponsorisé !

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