Salle de classe de Shimizu Honda rénovée [X]

Une journée bien ennuyeuse aujourd'hui, comme par hasard la plupart de mes meilleurs élèves étaient absents. Motif ? Sortie scolaire ! Ils en ont bien le droit les malheureux à rester tout le temps enfermés dans ce lycée où presque rien ne se passe... du moins scolairement ! Car dans d'autres domaines, il s'en passait des choses ! Je peux en témoigner vu le nombre d'amantes avec qui j'ai eu des aventures dans ces murs ces derniers mois ! Je me demande s'il en serait de même pour aujourd'hui. D'un côté je pouvais au moins me satisfaire que ma classe toute pourrie ait été rénovée, c'est déjà ça ! Pour ma part, j'étais plutôt sceptique, il n'y avait pas grand monde aujourd'hui et je me demandais bien qui allait bien vouloir passer de tels instants avec moi... quand soudain, je vis une porte s'ouvrir... une jeune lycéenne ?

Bonjour mademoiselle, que puis-je faire pour vous ?

Quelle journée de merde ! J'avais français, la poisse, je détestais le français. Je trainais dans les couloirs et quand je vis le nom de ma salle un immense soupir se détacha de mes lèvres. Avec le plus grand ennui du monde j'ouvris la porte. Quand soudain une voix d'homme me demanda ce que je voulais. L'air complètement blasé je le regarda et répondis :

"Bah j'viens pour le cours de Français.''

Je me mis à le décortiquer du regard, si c'était bel et bien mon prof de français j'étais pas complètement déprimée. Mon dieu qu'il était chou ! Enfin quelque chose d'intéressent ! Je m'avançai vers son bureau, mes talons claquaient au sol, et tendis une feuille qu'on m'avait donné pour informer ma présence lors de ses prochains cours. Un Petit sourire avec pleins de sous-entendus vint se coller sur mes lèvres. L'homme prit le papier se trouvant dans mes mains, et moi pour ne pas faire de faux pas je regardai la salle encore vide.

Pauvre jeune beauté ! Elle se lassait déjà de venir en cours ! Mais apparemment, c'était une nouvelle... au moment où elle se rendit compte que j'étais son professeur, une sorte d'enthousiasme l'habita... ah le physique ! Cela peut changer tant de choses en si peu de temps parfois ! Je pris la feuille qu'elle me tendit et pu voir qu'en effet, c'était une nouvelle lycéenne... sauf qu'il n'y avait pas cours du fait de la sortie scolaire ! Ah l'administration ! Toujours aussi incompétente ! Bon, qu'allais-je faire avec elle ? Bon... autant la mettre à l'aise et ensuite on verra.

Je vois... je suis Shimizu Honda, ton professeur en effet... bienvenue, mais tu n'as pas de chance : ta classe est en sortie scolaire ! Donc je vais juste te demander de me remplir une petite fiche et ensuite tu pourras repartir. Lui dis-je en souriant.

Je la fis s'asseoir en face de moi et lui donna la fameuse fiche de présentation. Sauf que c'était mal connaitre ma malice, très discrètement, j'allais verrouiller la porte puis je me mis dans le dos de la jeune fille, lisant ce qu'elle écrivait sur sa fiche. Puis une fois qu'elle eût finit, je posais mes mains sur ses épaules puis fît glisser mes mains lentement sur son corps pour caresser lentement ses cuisses, puis je lui chuchotais :

Ou alors... nous pouvons nous amuser un peu, qu'en dis-tu ? Lui demandais-je malicieusement.

Shimizu Honda ? Japonais et pourtant prof de français, pourquoi pas. De sa bouche sortaient des propos concernant la classe qui n'allait pas être présente. Je n'avais même pas eu le temps de penser à quoi que ce soit qu'il m'avait déjà placée sur une chaise et me fit remplir une feuille. Une feuille de présentation avec nom, prénom et tout le tralala. Avec un stylo que « Mr Honda » m'avait gentiment prêtée j'inscris mon parcourt scolaire, ainsi que mon identité. Quatrième fois en deux ans que j'avais rempli la même chose :
« Nom : Sôma
Prénom : Sûrin
Âge : 17ans
Parcourt scolaire durant les deux dernières années : premier établissement ''Université Keiō'' ; second établissement ''Université Waseda'' ; troisième établissement ''Université Meiji''. »

Je m'étonnai moi-même lorsque je me rendis compte que jusqu'à présent je n'avais intégré que des écoles privées et aujourd'hui je me retrouvait dans un pensionnat quelconque. Mais les mains de mon professeur me firent frissonner. Dès lors mon regard se tourna vers le verrou de la porte d'entrée : il était fermé. Un léger sourire vint se plaquer sur mon visage et, malgré le jean qui séparait ma peau à celle de « Mr Honda » je senti une espèce de plaisir incontrôlable monter en moi.
« Ou alors... nous pouvons nous amuser un peu, qu'en dis-tu ? »
Il n'allait pas par quatre chemins celui-là ! C'était dommage, je voulais bien en savoir plus sur lui avant de m'amuser avec son corps. Et d'un français quasi parfait je lui répondis :

« Tiens donc ! On joue avec les nouvelles élèves ? C'est vilain « Mr Honda » ! »

Un second sourire se décrocha de mes lèvres quelque peu séduisantes. J'hésitais encore si coucher avec mon prof de français était correct, et puis jusqu'à présent je n'avais jamais joué avec un adulte.

Que cela soit "vilain" ou pas n'est pas la question... amusons-nous donc...

Ma main gauche remonta lentement pour s'installer derrière sa tête et je lui volais un baiser avide tandis que ma main droite remontait lentement pour aller caresser un de ses seins au dessus de ses vêtements, puis en dessous, malicieusement. Au vu de sa réponse, elle n'était pas contre. De toutes façons, dès son entrée, elle avait déjà eu des vues sur moi sauf qu'elle ne devait pas s'attendre à la réalisation de son fantasme aussi vite. Je n'aime pas tourner autour du pot, alors autant y aller directement et faire ce que l'on a à faire !

Mr Honda ? Appelle-moi donc Shimizu voyons... nous sommes proches maintenant...

Je la fis se mettre debout et mêla ma langue à la sienne alors que nous nous embrassions, tandis que ma main droite avait commencé à descendre lentement pour déboutonner son jean habilement et se faufiler sous ses vêtements pour caresser son intimité. Puis après quelques strophes de baisers et de caresses torrides, j'enlevais ma main de son intimité pour prendre l'une des siennes et la poser contre la bosse de mon pantalon.

Montre moi ce que tu sais faire maintenant, je sais que tu en as envie...

Alors comme ça il s'en foutait que ce ne soit pas bien, merveilleux ! Ses lèvres étaient esquisses, et son baiser entier était un véritable délice. Il me demanda de l'appeler par son prénom, appeler mon professeur par son prénom me semblait quelque peu étrange, mais après tout pourquoi pas :

« Seulement si tu m'appelles toi aussi Sû, mon chou »

Rapidement il me mis debout, pour continuer avec plus d'ardeur notre baiser... et plus même. Ah ! Shimizu qu'est-ce qu'il est rapide et efficace ! Mon plaisir montait en moi en si peu de temps, qu'à peine quelques secondes quelques petits gémissements s'évadaient de ma bouche. Mes mains étaient encore autour du coup de mon professeur lorsqu'il en chercha une pour me l'amener au niveau de son sexe. La bosse était déjà bien dure, et un sourire vint remonter mes lèvres. Ma seconde main rejoignit la première et toutes deux se mirent à défaire sa ceinture puis son pantalon. Avec beaucoup de finesse, et tout en caressant la peau de l'homme j'enlevai son boxer, avant de jouer avec son intimité je lui volai un baiser à mon tour. Enfin, je mis ma bouche au niveau de sa jolie bosse, et commençai une fellation, au début avec des va et viens longs, puis pour le pur plaisir je les faisais plus rapides, tout ça avec la plus grande sensualité possible. Pendant que je m'amusais avec son pénis, mes mains vinrent délaisser mon corset avec un peu de mal. C'est que d'habitude c'est les hommes qui l'enlèvent !

En voilà une amante qui savait ce qu'elle voulait ! Sachant être sensuelle et me voler un baiser à son tour alors que je regardais ses mains faire. Sans se faire attendre, elle s'accroupit et engloba mon sexe dans sa bouche sans hésitations ! Une femme qui savait ce qu'elle voulait faire, sans hésiter et aller droit au but : quel plaisir ! Une fellation bien longue et sensuelle puis rapide à souhait pour mon plus grand plaisir ! Je la regardais enlever son corset alors qu'elle me prodiguait cette merveilleuse fellation. De mon côté, je déboutonnais rapidement ma chemise et la jeta sur une table à côté de nous, posant ensuite mes mains sur sa tête appréciant la fellation dans toute sa splendeur.

Hum tu es douée dis donc... que sais-tu faire d'autre Sû ?

Mais je n'attendais pas sa réponse que je la fis se relever lentement et s'asseoir sur mon bureau, la déshabillant totalement et sensuellement, le tout en lui volant un ultime baiser puis en dévorant son cou. Une fois totalement nue, je lui caressais son intimité pendant quelques minutes de baisers torrides avant de venir la lécher suavement pendant cinq bonnes minutes. Maintenant, nous pouvions les choses sérieuses et dans ma malice, je la fis se pencher sur mon bureau pour la prendre en levrette. Je présentais mon sexe devant le sien et la pénétrais lentement avant de commencer des vas et viens langoureux.

Alors, tu aimes comment je te domine ? Ne t'en fais pas, je saurais te laisser jouer ton rôle d'amazone... pour le moment, hurle ton plaisir, personne ne peut t'entendre de toutes façons...

Hum tu es douée dis donc... que sais-tu faire d'autre Sû ?
Alors comme ça j'étais douée ? Flatteur pour un mec. Il me demanda ce que je savais faire d'autre... et bien mon chou tu le sauras au moment venu ! Mais je n'avais même pas eu le temps de lui répondre qu'il me fit asseoir sur mon bureau, je pu alors voir sa jouissance sur son visage, mais également plus bas. Il se mit à dévorer le creux de mon cou, il le faisait avec tant de passion que sûrement il aimait qu'on lui fasse de même, et je me hâtai d'en faire de même. Cependant j’eus du mal : il me procurait tellement de plaisir en me léchant que mon dos se cambrait de plus belle. Puis avec une détermination presque implacable il me mis en position soumise. Shimizu aimait tant que ça être le dominant ? Après tout, tant que ça ne m'empêchait pas d'apprécier. Mon intimité s'humidifiait au plus haut point. Cet homme-là était tout le contraire du professeur de français d'il y avait quelques minutes auparavant.
Des gémissements de plaisirs résonnaient dans toute la pièce, il disait que personne ne pouvait les entendre alors autant ne pas se retenir ! Le professeur se mit à accélérer le mouvement, tout en tenant gracieusement mon fessier. Des « oh oui ! Continue ! » s'échappaient de temps à autres de ma bouche. J'étais dans l'extase la plus totale, mais c'était pas dans cette position quelque peu confortable sur un bureau qui allait me créer un orgasme. De plus je voulais rejoindre ses magnifiques lèvres aux miennes. Doucement pour lui faire comprendre je me remis face à lui, ma seule envie au moment même c'était de jouir face à lui.

Elle se laissait faire et criait son plaisir sans retenue. Mais elle aimait le plaisir le vrai, celui d'être en véritable communion charnelle et passionnelle. Je l'aidais alors à se mettre face à moi et fis la conquête de ses lèvres aussitôt, reprenant le rythme des pénétrations lui tenant les fesses d'une main tandis que l'autre main remontait pour lui caresser les seins. Après avoir bien profité de ses lèvres et de sa langue, mes lèvres descendirent dans son cou, le dévorant de mes lèvres tout en la léchant avec appétit, prenant bien le temps de goûter à sa peau qui était très délicieuse, tellement que j'aurais voulu continuer pendant encore longtemps. Cependant, il fallait penser au plaisir de notre chère amie, donc je descendis encore plus bas pour embrasser ses seins et mordiller passionnément ses doux tétons... mmm elle était bien faite ! Mais je n'aimais pas trop la position de dominant en réalité...

Peut être préfèreras-tu cette position ?

Je la soulevais délicatement, lui donnant quelques doux coups de reins puis nous fis asseoir sur mon siège, la faisant régner sur mon trône, comme le dit la chanson. J'en profitais alors pour l'embrasser de nouveau et mêler nos langues ensemble tandis que mes mains pouvaient maintenant caresser et rester sur ses douces fesses que j'aimais toucher.

Ses mains douces au contact de ma poitrine ne faisait qu’accroître mon plaisir. Enfin ! Ses lèvres et sa langue au contact des miennes ! Elles étaient si divines ! Il savait ce que je voulais. Puis presque par regret je dû le laisser s'échapper, pour finalement trouver hébergement auprès des pointes de mes seins. Il mordillait extrêmement bien, ni trop fort ni pas assez.

« C'est si plaisant de coucher avec un homme qui sait s'y prendre ! Dis-moi ce que tu veux que je te fasse, j'le ferais rien que pour pouvoir te voir jouir grâce à moi. »

Aussitôt ces paroles évacuées il cessa la dominance. Déjà ? Il ne devait pas trouver ce genre de position pratique. C'est alors qu'il me souleva, et dans les airs je bondissait légèrement aux coups de ses reins : l’extase ! Puis je me suis retrouvée sur ses genoux, sur sa chaise de professeur, et c'était reparti pour une série de baisers tous plus ardant les uns que les autres. Sa main accolées à mes fesses me rapprochait quelque peu de lui, je ne pouvais m'empêcher de profiter de cette position lécher et embrasser vivement dans le creux de son cou, et mes mains créaient des dessins dans son dos, délicatement afin de ne pas le faire mal, mais c'était dur de se retenir, l’adrénaline montait en flèche et il fallait que je m'agrippe à quelque chose. Une de mes mains vint se cramponner à la racine de ses cheveux, je serrais le moins possible... Je voulais pas le blesser, je m'excusai alors :

« Excuse-moi si je te fais.... »

Un gémissement prit place dans ma bouche, je n'avais pas pu finir ma phrase.

Ah, quelle amante bien agréable ! J'appréciais ses compliments, mais j'aurais bien pu répliquer, qu'il n'était pas question que de savais m'y prendre, non, bien au contraire ! Mais plutôt, que j'étais un homme qui savait apprécier le corps d'une femme et qui ne négligeait aucune partie de son corps, tant le corps d'une femme m'est attirant mais surtout appréciable. Que dire de ma faim de chair quand je vois une femme ? La dévorer de passion de partout et surtout, l'entendre soupirer voire crier son plaisir à subir mes faveurs, en la rendant "heureuse" par ce moyen divin. Elle me rendait bien la pareille en m'embrassant dans le cou et m'y léchant très agréablement que je lâchais moi-même quelques soupirs de plaisir tant elle s'y prenait bien mais surtout avec application. Ses mains dans mon dos provoquaient de délicieux frissons alors que l'une de celles-ci s'aventura à se cramponner à mes cheveux tant le désir et le plaisir l'inondaient. Elle s'excusa mais fût coupée par son propre plaisir...

Pourquoi t'excuser ? Ce n'est que de la passion et j'aime la passion... pour le moment continue, nous avons tout le temps pour que je te demande certains services... mais saches que j'adore plus que tout, une femme qui sait m'embrasser comme il le faut dans le cou et l'oreille...

Aussitôt dit, je penchais légèrement en arrière, lui offrant mon cou... voire mon corps, pour lui laisser carte blanche, à elle de savoir ce qu'elle voulait faire de moi et de laisser la passion se consumer dans son corps et l'exprimer, quitte à me faire un tout petit peu mal, mais ce n'était pas un grand mal, à côté du plaisir qu'elle savait me procurer ! J'en oubliais presque que j'étais en elle, mais si elle ne voulait pas bouger et rester ainsi, c'était bien aussi, il y avait aussi du plaisir à ne pas bouger intimement et laisser une femme vous faire quelques petits plaisirs à côté...

Shimizu aimait donc le contact des lèvres sur ses oreilles, et en effet il aimait également dans le cou, j'avais vu juste. Il me laissa donc le champ libre, magnifique ! Mes lèvres vinrent mordiller précieusement ses lobes d'oreille, je les suçais comme si c'était de la porcelaine qu'il ne faut pas briser. Puis perce qu'il me tendait ouvertement son cou je me suis mise à le lécher ardemment, pour finalement créer un petit suçon dans le creux du cou à sa droite, je ne m'en étais même pas rendue compte peut-être qu'il n'aimait pas ça... Pourvu qu'il ne se « fâche » pas ! Après une dizaine de minutes à le lécher je me rendis compte que je demeurais toujours sur ses genoux et, lorsque je voulu descendre plus bas, sur son torse pour finir sur son sexe je lui mordillai une dernière fois son oreille et l'embrassai passionnément et entre-mêler nos deux langues. Doucement je me levai pour retirer son membre encore dur qui était resté en moi. Puis je descendis sur son torse tout en le léchant délicatement. Une fois arrivée au niveau d son intimité je me pourléchai et introduisais sa verge dans ma bouche. Dieu qu'elle était chaude et alléchante ! Je commençai des vas et viens posément et prise par le plaisir j’accélérai de plus belle, et du coin de l’œil je regardais mon amant pour le voir jouir à son tour. Que c'est beau de voir un homme rempli de plaisir ! Le voir ainsi me faisait activer les mouvements. Alors que j'étais à genoux aux pieds de la chaise du prof, je plaçai l'une de mes mains sur mon clitoris, et commençai à le titiller. Le plaisir montait de plus belle en moi. Quand je sentis son pénis devenir bien plus dur encore, et sa semence se dégagea de sa verge, et s'écoulait dans la bouche puis dans ma gorge, quelle délice ! Et je continuais davantage mes va et viens pour faire durer ce moment tant attendu.

Au vu de la qualité de mon traitement, je me demandais si c'était une simple jeune fille ou plutôt une véritable femme ? Elle sait vraiment comment s'occuper d'un homme et savait lui faire plaisir là où il le fallait. Elle ne faisait pas partie de ces femmes qui croyaient faussement que les hommes ne sont sensibles qu'au niveau du sexe. Et non ! Nous avons aussi d'autres plaisirs et nous les apprécions tout autant que certaines caresses intimes ! Elle prit bien soin de mes oreilles, me procurant de nombreux plaisirs et frissons, me volant ainsi quelques soupirs de plaisir que je ne pouvais retenir tant elle s'y prenait bien ! Et que dire de ses léchouilles dans mon cou et de ce suçon qui était plus qu'agréable ! J'étais au anges ! J'aimais avec quelle malice elle mordillait mon oreille pour ensuite venir m'embrasser et mêler nos langues ensemble, mêlant ainsi notre plaisir à jouir de nos corps ensemble. Puis elle se retira de délicatement puis elle me lécha le torse en commençant à descendre... où vas-tu donc ainsi jeune fille ? Malicieuse, je vois clair dans ton jeu ! Tu tire plaisir et orgueil de faire jouir un homme, n'est-ce pas ? Soit ! Pourvu que mon plaisir soit le tien et que tu le fasse bien... lentement elle commençait la fellation, s'y prenant toujours de manière experte et appliquée. Posant mes mains sur sa tête, je fermais mes yeux et me laissais aller sous cette caresse buccale qui était si jouissive... elle s'activa et en quelques minutes, elle me fit jouir dans sa bouche et avala bien sagement tout mon sperme... ah quelle merveilleuse femme, savait-elle tout le plaisir et tout le sentiment agréable qu'un homme ressent quand une femme accepte d'avaler la semence d'un homme, plutôt que de l'éviter ou de la recracher ? Nonobstant, je fus très surpris de voir que contrairement à d'autres femmes, elle continuait la fellation malgré tout ! Cette Sû savait (et voulait !) vraiment comment faire plaisir à un homme, ne pas s'arrêter à sa jouissance, mais le rendre fou, fou de plaisir, véritablement et y prendre plaisir à son tour...

Oh Oui Sû... oh... tu es vraiment merveilleuse, ah... je n'ai jamais connu une jeune fille comme toi... oh oui... oh... fais ce que tu veux... rends moi fou... Sû... oh oui...

Mais mains restaient sur sa tête et caressait très lentement ses cheveux qui étaient doux et procuraient ce plaisir qu'on les mains de toucher une chose aussi merveilleuse que la chevelure d'une femme... un autre plaisir, si négligé de certaines femmes, qui pensent qu'on fait semblant d'aimer leurs cheveux, mais pas du tout... on les adore... et surtout les toucher, les sentir sous nos mains... le plaisir dans toucher et être touché... caresser et être caresser... miam...

Oh Oui Sû... oh... tu es vraiment merveilleuse, ah... je n'ai jamais connu une jeune fille comme toi... oh oui... oh... fais ce que tu veux... rends moi fou... Sû... oh oui...

J'étais donc sa première jeune fille à le faire jouir autant ? Tant mieux ! Ses mains se posèrent sur ma chevelure bleue, il caressait tranquillement, c'était doux et agréable. Jamais un homme ne lui avait toucher ses cheveux pendant une fellation, ils étaient en général absorbés par le plaisir que je leur procurais. Je continuai mon ouvrage avec autant d'ardeur pendant un peu plus de trois minutes, il était coriace ce professeur ! Toujours autant de semence ! Mais mon plaisir à moi commençait à se dissiper, je cessai et avec ma langue nettoyai l'intérieur de ma bouche. Je voulais l'embrasser à nouveau, sentir ses lèvres contre les miennes, mais avec du sperme c'est pas l'extase. Mais avant tout je recommençai les baisers dans son cou, Shimizu aimait ça et moi de même, alors je repris mon suçon, lui donnai quelques coups de langue comme pour m'excuser. J'aimais les suçons, mais je ne savais toujours pas si lui il avait apprécié. Puis mes lèvres vinrent chatouiller ses oreilles, un soupire de plaisir sortit de la bouche de partenaire. Je me rassis sur lui et pénétrai son membre en moi une seconde fois, il était encore bien dur, et commençai de longs va et viens tout en l'embrassant ardemment. Quel amant formidable ! Décidément un jeune homme de tout juste 18 ans ne vaut rien à un homme bien plus mûr comme Shimizu ! JE pris l'une de ses mains se trouvant sur mes hanches pour la plaquer contre ma poitrine, tout à l'heure il avait si bien prit soin de mes seins que je voulais qu'il recommence à nouveau. Des gémissements s'échappaient de ma bouche, tous plus forts les uns que les autres. Après cinq bonnes minutes, je m'assieds sur son bureau, pour qu'il fasse lui-même les va et viens qu'il savait si bien faire.

Elle continua encore, provocants vibrations et frissons au niveau de mon sexe, qui faisaient que je sursautais de plaisir. Puis elle revint dans mon cou, me donnant encore des suçons très plaisants et donnant même quelques fois des coups de langues très agréables qui me faisaient sourire tant j'aimais ces petites attentions. Ah et mes oreilles... ah quelle femme, toujours aussi attentionnée... mais c'était pour ensuite s'empaler sur moi et me donner un baiser bien brûlant que j'appréciais, alors qu'elle commençait des vas et viens plus que jouissifs ! Prenant une de mes mains elle la déposa sur sa poitrine qui demandait qu'on s'occupe d'elle, je la laissais faire et pendant ce temps je léchais et embrassais ses seins, sans jamais oublier de mordiller ses tétons avec appétit. Ensuite, après quelques bonnes minutes de plaisir, elle se retira et s'assit sur le bureau, me faisant comprendre qu'elle voulait que j'y mette du mien maintenant.

Comme tu voudras petite Sû, lui dis-je en souriant.

Me rapprochant d'elle, j'introduisis de nouveau mon sexe dans le sien puis la prit dans mes bras pour l'embrasser. C'était une femme très sensuelle mais qui gardait malgré tout une sorte de romantisme, puisqu'elle aimait tout autant que moi embrasser. Alors pour notre plus grand plaisir, nous nous dévorions chacun en mêlant nos lèvres et nos langues dans ce baiser langoureux et passionné alors que je donnais de rapides mais profonds coup de reins, afin de lui donner le plaisir qu'elle méritait, mais surtout langoureusement et pas trop fort, afin qu'elle prenne vraiment son pied avec moi et non pas comme un mufle qui ne pensait qu'à son plaisir ! J'en avais eu des amantes, mais même Jade ne partageait pas une telle complicité avec moi... une petite partie à trois avec ces deux amantes là devrait être plus qu'intéressante je pense...

Han ! Merveilleux ! Ses coups de reins étaient tout simplement esquisses : rapides, langoureusement et surtout profonds ! Je sentais en moi l'adrénaline monter, monter extrêmement vite ! Mon intimité s'humidifia comme jamais. L'orgasme ? Je n'avais jamais atteins l'orgasme, les garçons étaient trop concentrés sur eux pour que puisse en profiter pleinement. Mais aujourd'hui j'allais l'avoir ! Je ferais tout, et j'y étais presque. Il ne me manquait plus qu'un tout petit truc. J'avais une main derrière moi posée sur le bureau et la deuxième vint s'agripper dans la nuque de mon professeur. Mon dos se cambrait et je hurlais de plaisir, hum que c'était bon ! Mais il en fallait encore, je n'étais pas encore au septième ciel !

« Encore ! Encore un peu mon chou ! Et après je ferais vraiment tout ce que tu... »

Pour le seconde fois je n'ai pu finir ma phrase coupée par ce même gémissement, mais cette fois-ci il était encore bien fort que précédemment. Je me demandais ce qu'il me manquait, et soudain je lui pris une de ses si jolies mains pour la replacer contre la poitrine. Ça devenait excessif mais j'en pouvais plus, je brûlais de désir, mais c'était pas encore l'orgasme, je le sentais. Quelque part je m'en voulais, je le laissais tout faire, et moi en contre partie je rugissais de plaisir sans rien lui rendre en échange.

« Haaan ! Ouiii ! Vas-y ! Encore, t'y es presque mon chou ! »

En espace de quelques ridicules seconde je venais de passer le septième ciel, le bureau devait être tout trempé maintenant. Cependant j'étais encore dans une autre dimension, une dimension qui m'était jusque là encore inconnue. Mes doigts s'empêchaient tant bien que mal d'arracher les beaux cheveux de mon amant. Les yeux fermés, la tête vers le haut et le dos cambré je hurlais de plaisir. Mmmm ! Que c'était bon !

Elle se laissa aller et apprécia chacun de mes mouvements de pénétration, ne se souciant plus de rien, sauf de communiquer son plaisir par sa voix et son corps. Je n'en avais pas l'habitude, mais j'aimais comment elle m’appelait... "mon chou", c'était peu commun mais cela donnait entre nous une proximité que nous n'avions pas il y a encore une heure... cette sorte d'affection dans l'étreinte charnelle que nous avions à présent... délicieux et motivant pour notre acte charnel, sensuel et sexuel... elle en voulait encore et m'était déjà reconnaissante du plaisir que je lui procurais... et le fait même que le plaisir l'empêche de tout dire, rajoutait beaucoup de goût, pour ne pas dire du piment, à notre entretien privé... j'en retirais beaucoup de plaisir et de malice, de voir le plaisir la submerger et l'empêcher de parler autant qu'elle le voudrait, cela montrait bien que je la satisfaisais et cela me faisait plaisir... elle mettait ma main sur sa poitrine et je comprenais son désir, alors je me penchais sur cette agréable poitrine que je dévorais passionnément et avec application, prenant bien le temps d'y faire bien glisser mes lèvres et ma langue tout en mordillant longuement ses tétons, répétant cette action autant de fois que possible, j'aimais cela aussi... presque ? Pourtant, il ne suffit que de quelques secondes après sa déclaration pour que je la vois trembler de plaisir et se laisser complètement aller sous les sensations de l'orgasme que je venais de lui donner... à en voir sa tête et son plaisir, c'était son premier orgasme ! Quelle tristesse ! Une femme si experte qui ne connaissait l'orgasme que maintenant ! Mais quel plaisir de sentir ses doigts se tordre de plaisir dans ma chevelure... j'avais fait le travail comme il le fallait et j'en étais plutôt fier... mais surtout, j'aime avoir les doigts d'une femme dans mes cheveux. Afin de lui procurer encore du plaisir, je continuais le rythme de mes pénétrations, mais beaucoup plus lentement et surtout sensuellement, l'embrassant dans le cou et lui faisant quelques suçons, lui montrant ainsi que j'avais aimé ses petites gâteries de tout à l'heure... et que j'attendais qu'elle recommence...

Un dieu ! C'est tout ce don je pouvais dire à propos de mon partenaire : un dieu ! Il savait s'y prendre, et ça faisait du bien de prendre plaisir quelques minutes sans que l'on te rappelle immédiatement à l'ordre. Il portait bien son nom « dieu », il est tout sauf comme tout le monde. Après mon orgasme il commençait à ralentir ses va et viens, et m'embrassait dans le creux de mon cou. Il fini par créer deux suçons : il avait aimé les suçons alors ? Tant mieux. Shimizu venait de me faire monter au septième ciel, pour le remercier je pris mes deux mains et les plaqua de chaque côté de son visage délicatement. Je créai une danse entre nos langues. Je l'ai regardé, heureuse, et je pu enfin finir ma phrase :

« J'ai eu de la chance de tomber sur toi mon chou, tu es le seul à m'avoir procurer l'orgasme. Tu es un Dieu. Qu'est-ce que tu veux faire maintenant ? Après ce qu'on vient de faire je te dois bien quelque chose »

En attendant la réponse de son amant je me mis à mordiller ses lobes d'oreille tranquillement et descendis dans son cou pour le lécher passionnément. Puis une main vint longer son torse et titilla légèrement ses tétons. Ma main qui avait dû lui arracher bien des cheveux se mis jouer avec les mèches de cheveux encore tenaces. Qu'ils étaient doux ces cheveux ! Je les enviais, les miens étaient quelques peu abîmés par les couleurs même si ça ne se sentait pas parce que bien évidemment j'appliquais chaque matin des lotions pour les entretenir. Lui, il les avait beaux de nature. Je décollai mes lèvres et vis un beau suçon bien gros, je le léchai. Puis cessai tout mes gestes, mon regard se tourna vers la pendule perchée au dessus de la porte, il nous restait encore bien plus de quarante-cinq minutes. Un soupire de soulagement se détacha de mes lèvres. Je pouvais encore profiter de mon extraordinaire amant ! Je le regardai, il était debout, depuis combien de temps ? Je bondis du bureau pour le pousser délicatement contre sa chaise pour qu'il puisse s'asseoir, il l'avait mérité après tout.

« Assieds-toi mon chou, j'aime pas te voir debout trop longtemps. »

Je m'assis à mon tour sur ses genoux, sa verge demeurait toujours aussi rigide, je la fis rentrer en moi sans forcer pour pouvoir mieux apprécier notre position.

Un dieu ? En voilà bien des paroles ! Mais je n'allais pas m'en moquer, ces paroles étaient affectueuses, reconnaissantes et agréables ! Je n'eus pas le temps de répondre que déjà, elle s'occupait de mon cou et de mes oreilles admirablement. Que dire de ses mains toujours attentionnées qui prenaient soin de mon torse et de mes cheveux. Au vu donc sa main s'occupait de ma chevelure, je comprenais qu'elle l'appréciait et cela me touchait... j'aimais qu'on apprécie mes cheveux... j'y étais assez sensible on va dire... soudain, elle eût l'attention de me faire asseoir, s'adressant toujours à moi affectueusement et me faisant savoir qu'elle n'aimait pas me voir rester debout trop longtemps... quelle agréable jeune fille ! Elle avait à peine fini de parler qu'elle s'assit aussitôt sur moi, m'introduisant de nouveau en elle. Enfin à l'aise sur moi, je lui dit :

J'aimerais juste que tu me rends fou avec tes baisers dans mon cou et mes oreilles... pour le reste, je te laisse aller à ton rythme... je ne prends plaisir à faire l'amour à une femme, que si elle sait comment me contenter et prendre le contrôle... et tout cela, tu sais le faire...

Lui souriant, je pris son visage entre mes mains et l'embrassa, dévorant ses lèvres puis faisant rencontrer nos langues ensemble, le temps de rallumer la passion et l'appétit de chair en elle, de manière à ce qu'elle se décide à me rendre totalement fou... mais surtout, à lui montrer toute la satisfaction d'avoir une amante comme elle... en attendant, mes mains voyageaient dans ses cheveux pour montrer que moi aussi j'appréciais grandement sa chevelure bleue... qui était aussi disons... érotique...

Je suis à toi ma belle...

Il ne se lassait donc jamais de mes baisers, magnifique. C'était là sa seule volonté, le reste je faisais comme bon me semble. Je remis mes mains dans la même position qu'il y avait à peine quelques secondes et me laissais embrasser. J'en étais dingue de ses lèvres ! Mon cœur valsait, je me mis à créer de nouveau des va et viens dans mon vagin encore humide de mon orgasme. Mes lèvres créèrent un second suçon mais cette fois-ci près de l'un de ses tétons. A ce stade-là de mes ébats, je serais déjà en train de me rhabiller, mais là je voulais continuer encore, encore et encore. Puis voyant que Shimizu semblait s'ennuyer en me caressant les cheveux, j'accélérai mes va et viens je voulais à tout pris le remercier, même s'il ne me le demandait pas j'étais sûre qu'il voulait pouvoir jouir sans avoir à donner des coups de reins. Et puis l'air de rien je voulais encore faire l'amour. J'accélérais, tout en essayant de faire rentrer sa verge en moi le plus profond possible. Des gémissements étouffés par les baisers voluptueux s'échappaient de temps à autres. Sans oublier de le chatouiller aux oreilles et dans le cou. Tantôt un baiser suivit d’emmêlement de langues prenait place. Et ça à duré un peu plus de dix minutes avant de sentir son pénis se durcir et éjaculer en moi. En moins d'une heure mon partenaire avait jouit plusieurs fois.

Elle s'exécuta et fit ce que je lui demandais. Elle commença à se déhancher sur moi tandis qu'elle me faisait un suçon près d'un de mes tétons... curieux et amusant de sa part... tandis qu'elle accélérait la cadence, elle voulait me faire jouir... trop vite peut être ? Dommage mais tant pis... cependant, je voyais bien dans ses gestes qu'elle faisait tout pour que la sensation soit la plus agréable mais surtout, au plus profond d'elle possible... tandis que la partie inférieure de mon corps était satisfaite, la partie supérieure pouvait profiter des baisers qu'elle me faisait dans le cou et les oreilles... mais elle semblait prendre goût surtout à mes lèvres alors elle m'embrassait de nouveau, faisant valser à nouveau nos langues ensemble... j'y prenais grand plaisir puisque moi aussi j'aimais embrasser mais aussi l'embrasser elle et goûter à sa langue surtout... puis après bien des minutes de passion charnelle, je finis par me libérer enfin en elle... elle m'avait tellement fait plaisir que je ne savais plus combien de fois elle m'avait fait jouir... mais j'en voulais encore...

Voyons ma petite Sû, tu ne crois quand même pas que je vais me contenter que nous en restions là ? Surtout que tu y es allée un peu vite... que vas-tu faire pour me dédommager de ma jouissance trop hâtive ?

Malicieux, je n'attendais pas qu'elle réponde pour lui voler à nouveau un baiser, tandis que mes mains caressaient ses fesses et les serrer contre moi, histoire de nous rappeler à tous les deux, que nous étions encore liés sexuellement et y trouver une sorte de plaisir malicieux. Je lui fis faire malgré elle de petit vas et viens en bougeant ses fesses d'une main, tandis que l'autre remontait pour caresser sa nuque, alors que nous continuions de nous embrasser, ma langue prenant bien le temps de goûter à la sienne, sans me soucier du temps qui passait. Je prenais surtout plaisir au fait que nos lèvres étaient liées et que nous nous embrassions sans fin, affamés l'un de l'autre...

Alors, que vas-tu faire maintenant ?

J'y étais allé trop rapidement ? Je lui étais tellement reconnaissante de m'avoir procurer un orgasme que j'en avais oublié que j'allais trop à la hâte. Qu'est-ce que j'allais lui faire... ? Je ne pouvais pas faire grand chose de plus, nous n'étions pas dans un lit. Pas grave, je continuai mes baisers ardant et commençai à réfléchir... Jusqu'à présent être dans une classe ne me gênait pas... mais là, quand j'étais en manque d'idée et de renouveau, le lit se faisait pressant. Je caressai avec sensualité son dos, ainsi que son torse, que sa peau était douce. Le professeur lui faisait des petits va et viens forcés mais ce n'était pas pour autant offensant ni blessant.

Alors, que vas-tu faire maintenant ?

Bonne question ! Je n'en avais aucune idée... Ça m'énervais ! D'habitude je cessais de faire l'amour avant même d'avoir jouer toutes cartes. Mais là... A demie-voix, et avec honte je lui déclarai :

« Te faire plaisir ? Parce que je dois avouer... que comme nous ne sommes pas dans un lit... je n'ai plus réellement d'idée... »

Ça y est ! J'avais honte ! Mon visage devint rouge. Pourquoi ? Je ne devrais pas, on avait bien joué et puis ce n'était pas la honte, j'avais mes excuses : j'avais que 17 ans ! En fait ce n'était que des excuses bidon. Je n'osais même plus le regarder. Putain c'est vachement troublant ! Ce n'était qu'un amant que si ça se trouve je ne recoucherais plus jamais avec lui. Je pris une grande inspiration, parce que l'air de rien, je venais de me prendre la tête pour... rien. Mais en fait cette image que je venais de donner à cet homme, celle d'une jeune fille encore dans l'adolescence qui savait déjà comment s'y prendre avec un homme, avait comme été brisée. Je me disais ça mais je ne savais pas de ce qu'il en était de Shimizu, et à vrai dire je n'osais même plus le regarder donc je ne risquais même pas de savoir à quoi il pensait.

La pauvre, elle semblait déboussolée... sûrement à cause de la passion qui s'était éprise d'elle durant nos ébats. Elle croyait bien faire en accélérant ainsi la cadence. Ensuite, il est vrai qu'une salle de classe n'a rien de romantique et encore moins d'érotique... tout comme moi, elle préférait être dans un lit pour cela... décidément, nos affinités étaient nombreuses... en tant que "mentor", je me devais d'empêcher cette jeune fille de se sentir gênée ou quoi que ce soit... donc oublions tout cela et gâtons là un peu...

Allons chez moi après alors...

Me souvenant qu'elle aimait être touchée à la poitrine, j'embrassais alors ses seins, les léchant avec appétit tout en les embrassant de mes lèvres, prenant bien mon temps pour toucher chaque parcelle de peau, puis je finissais en mordillant lentement et passionnément ses tétons que j'adorais. Pendant ce temps mes mains caressaient encore ses fesses et je reprenais un lent rythme de va et viens, tandis que mes lèvres remontaient dans son cou pour le lui lécher et l'embrasser. Maintenant, elle devait être suffisamment détendue pour continuer la discussion...

Alors, on va chez moi ou chez toi ?

[je crains le pire ! Et maintenant je vais pas pouvoir dormir >.<]

EDIT : Ce message sera édité pour mettre la suite.

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