La journée s’achevait, j’avais passé toute la journée à me faire chier en cours. Non ce n’est pas vrai ! Comme tous les jours je m’étais éclatée ! J’avais fait le pitre en cours et je m’amusais à coller mes stylos au plafond. A la récréation j’avais fait un concours de bulle de chewing-gum et j’avais passé mon temps à toucher les fesses des filles. Elles n’ont pas arrêté de ses plaindre mais dans le fond je sais qu’elles sont toutes folles de moi… Enfin voila quoi. J’avais tout simplement passé une journée Lewis Carroll.

Sur le chemin du retour je cherchais mon frère des yeux, cette machine à sexe devait surement être partie avec une fille… Je soupirais à cette pensée. C’est donc avec un haussement d’épaule que je continuais ma route, j’avais besoin de me changer les idées, de penser à autre chose que mon imbécile de frère en train de se taper je ne sais qui… Cette idée m’horripilait vraiment !
Je levais la tête au ciel et soupirais. Le soleil tapait sur mon visage et se reflétait dans sur mes lunettes rose. Bah quoi, j’ai toujours était un excentrique. Quoi je ne suis pas la plus sexy dans mon pantacour blanc, ma chemise rose, ma cravate verte, mes tong rose et mon rouge à ongle vert ?
J’ai toujours eu un look dégentait, au grand drame de mon frère. Il trouve que je devrais me faire plus sexy. Or moi j’adore mon look, il est très…Lewis quoi. Tout dans ma vie est très Lewis de toute façon !

Après mes longues minutes à m’admirer dans une vitrine je décidais qu’il était temps de montrer aux autres ma perfection. Je me dirigeais donc vers la plage, sanctuaire des chasseurs de filles, des couples amoureux et des gosses mal élevés. On allait s’éclater ! Une fois arrivé je respirais l’odeur du sel et du soleil. C’était vraiment une belle journée, je sortis mon paquet de cigarette et bifurqua mon regard de trois à gauche quand soudain…. Mazette ce ne serait pas une prof du lycée ca ! Et bhein elle plus jolie dans cette tenue… Elle ne restait toujours pas à mon gout mais bon elle était plus sexy comme ca !

Je m’approchais d’elle pour faire une action totalement Lewis. Je pris une bonne poignée de sable mouillé, j’en fis une grosse boule et la BAM ! En plein dans le mil ! Je regardais la prof avec un sourire niais sachant qu’elle devait surement me prendre pour un fou.

« Salut, je m’appelle Lewis Carroll. »

Si j’étais fière de moi ? Et comment ! Bien sur que j’étais fier de moi ! Embêter les gens c’est le but de ma vie. Bhein quoi ? Je ne vous l’avais pas dit ? Bonjour je suis Lewis la tête à claque, enchantée !
Je venais surement de lui casser son délire à celle la, elle devait surement se dire qu’elle était bien où elle était, que c’était bon de sentir le soleil lui caresser le dos… Et le sable te piquant la peau ca fait quel effet ? Mouhahaha je suis diabolique. Je lui affichais mon sourire de tête à claque, mon sourire spéciale Lewis quoi, puis elle me demanda si j’avais cours ou non. Non mais c’est quoi cette question à la con ! Bien sur que j’ai cours !

« Hum…Non pas, pas à ma souvenance. »

Je repensais à mon emploie du temps. Alors, si ma mémoire est bonne j’étais en train de rater, maths, anglais et sport. Sport…Comme si c’était une matière ! Non mais franchement !
J’affichais toujours mon sourire ahuri et je m’assis ensuite sur sa serviette à coté d’elle. Culotée ? Mais nooooon.

« Et vous ? Vous séchez ? »

Je haussais un sourcil, je savais que je l’avais mise en colère. Enfin pas vraiment en colère mais bon…
J’aime bien embêter les gens c’est une certitude ! Je n’ai pas besoin de grand-chose pour m’amuser !
En classe je rigole avec tout, je suis le clown du lycée mais ce n’est pas de ma faute c’est plus fort que moi, j’ai toujours le sourire ! Je suis une pile électrique, je ne vais jamais mal ! Enfin bref on s’en fiche.
Pour en revenir à ma prof elle avait l’air furax mais elle le cachait bien en tout cas, peut être ne voulait elle pas faire une scène devant tout ses regards indiscrets…

Je ne séchais pas vraiment le cours d’anglais vue que la jeune femme devant moi était ma prof d’anglais, mais en lui disant cela je voulais lui faire comprendre que si j’avais pu sécher son cours et bien je ne me serais gêné mouhahahaha. Hum. Du calme. Bon donc moi je m’allonge tranquillement sur la serviette pendant que mademoiselle va faire trempette. Bhein quoi. Vous m’avez bien regardé ? Je ne vais pas aller ruiner ma coiffure !

« Non non ma belle, moi je reste ici, va ploufer toute seule ! »

Petit clin d’œil sexy puis grillade au soleil. Voila une action totalement Lewis.

Je la regardais se lever l’espace de quelques secondes puis je me mis à regardait le ciel, elle avait beau être plus sexy en maillot elle ne m’intéressait toujours pas. Donc je n’accordais aucun regard à ses formes, j’espérais au fond de moi qu’elle est remarquée que je ne la regardais pas juste pour qu’elle se sente vexée. Bah quoi ? Oui je suis une peste et alors ? C’est interdit ?
Enfin bref, donc elle va nager. Moi je sors mon paquet de cigarette et je commence à fumer. Puis là, pour gâcher mon moment parfait de pure détente au soleil, une saleté d’abeille se met à tourner autour de moi ! Non mais que fous une abeille sur la place ? Où est Greenpeace quand on a besoin d’eux !! J’agite ma main pour la faire partir me redressant pour lui faire comprendre qu’elle me gêne. L’abeille se mit dans mon champ de vision m’obligeant à regarder l’eau. J’agitais encore ma main puis l’abeille s’en alla encore et je pus enfin me rallonger !

Au bout de quelques minutes je sentis des gouttes tomber sur mes vêtements. En ouvrant les yeux j’ai vue qu’elle s’était allongée à coté de moi. Elle me regardait aussi, alors pour me moquer d’elle je lui fis un sourire d’imbécile.
Elle me proposa de lui mettre de la crème solaire dans le dos. Les femmes… Vous êtes tellement prévisible… Et ce qui est encore plus prévisible c’est que vous croyez que l’on est prévisible ! Je la regardais avec un sourire niais aux lèvres et lui dit.

« Vous avez des bras non ? Mettez vous en vous-même, ca va être drôle. »

Quand je vous disiez que je suis une tête à claque ! Je m’allongeais une nouvelle fois sur la serviette et sourit. Je la regardais du con de l’œil pour voir sa réaction.

Et voila ! J’avais gagné, elle était folle de rage ! Mouhahaha je suis réellement diabolique quand je m’y mets. Avec un sourire victorieux aux lèvres je la regardais discrètement. Elle grogna un bon coup pour évacuer toute sa colère puis se mit sur le ventre pour bronzer, ou plutôt cramer avec ce soleil, puis elle défit le haut de son maillot pour ne pas avoir la marque du bronzage. Bah…Je ne comprendrais jamais les nanas. Enfin qu’importe.

Une fois qu’elle fut bien installée j’attendis un peu, je remuais dans tout les sens pour l’embêter puis je basculai sur elle et prit le tube de crème solaire et lui badigeonna généreusement le dos. J’étalais la crème tout en la massant. Je commençais fermement pour détendre chaque muscle puis plus doucement pour lui donner du plaisir. Je soupirais c’était agréable de la massait mais relativement chiant, j’avais hâte de l’embêter de nouveau… Ou en tout cas faire quelque chose de plus intéressant.

Je continuais encore et toujours de la masser, mes doigts glissant sur sa peau. C’était agréable surtout que le soleil tapait dans mon corps et me réchauffait la colonne vertébrale. J’aurais pu rester là encore un petit moment, pas trop quand même hein, mais un petit moment de plus ne m’aurais pas fait de mal.
Je déplaçais mes mains sur son dos et lui pelotais les seins en faisant comme si de rien était. Bah quoi ? Je la masse, j’ai droit à un bonus et plus en plus ca n’avait pas l’air de lui déplaire d’après la phrase qu’elle m’a sortie ensuite…. Coquine !

Alors que je commençais à trouver le temps long, elle me regarda et me sourit tout en me disant que si je voulais on pouvait faire quelque chose de plus « productif » et bien… Mes doutes étaient donc fondés. C’était bien une coquine. Enfin. Moi ca me fit sourire et je feints l’innocence.

« Hum…Vous voulez faire du ski nautique ? »

Je lui affichais un sourire de débile profond et continua mon massage sur le bord de ses seins, plus fermement cette fois, pour la prendre par surprise.
Bhein quoi ? Il n’y avait pas de mal à essayer de provoquer volontairement son désir !

J’avais fait le malin pour voir mon enseignante voulait vraiment ce que j’avais supposé qu’elle voulait. Et la réponse était oui. Je savais que c’était une coquine ! N’empêche l’idée ne m’emballait pas tant que ca… Bhein quoi ? Je vous avez dit qu’elle ne m’intéressait pas ! Mais je sais qu’une occasion ne se représentera peut être pas deux fois. Puis qui avait la chance de se voir attribué le privilège de coucher avec sa prof ? Ce genre de chose arrive que dans les films ! En plus je ne savais pas vraiment si c’était permis de faire ca avec une prof… M’enfin. Depuis quand je suivais les règles ?!

Bien que j’étais perdue dans mes pensée la jeune femme me parlais, naturellement je n’entendis pas ses paroles. Mais ! Je compris tout à fait le geste qui suivit, car en effet elle s’avança vers moi et m’embrassa. Hum…Voila qui risquait d’être intéressant. Je la serrais donc dans mes bras et lui rendit son baiser. Je l’embrasser chaleureusement en la serrant contre mon torse, je n’étais pas musclor mais bon j’avais quelque petit abdos qui poussait sous ma peau d’albâtre. D’une main je lui caressais le dos de bas en haut, du bout des doigts je lui chatouillais la colonne vertébrale pour lui procurer des petits frissons. Nos lèvres étaient toujours liées alors j’en profiter pour faire rentrer ma langue à l’intérieur. Je pris les devants et caressa sa langue avec la mienne, avant qu’elle n’ait eu le temps de dire ouf le baiser s’arrêta. Bhein quoi ? Fallait se faire désirer dans la vie.

Je la regardais malicieusement puis baissa mon regard sur ses seins nus. J’étais tellement absorbée par mes pensées tout à l’heure que je n’avais même pas remarqué qu’elle avait fait tomber son haut de bikini. Je suis devenu aussi rouge qu’une tomate. Bhein quoi ? J’ai beau être une tête à claque je n’en reste pas moins un homme ! Je levais donc les yeux au ciel pour reprendre un peu de couleur. Je commençais à avoir chaud à force de rougir et du soleil qui tapait dans mon dos. Je défis donc un bouton de ma chemise et commença à desserrer ma cravate. Je ne savais pas vraiment ce qu’elle voulait qu’on fasse ni où elle voulait qu’on le fasse. Je la laissais donc réfléchir et moi je trainais mon regard sur les environs. Personne ne nous avait remarqués. C’est alors que je vis une cabine d’essayage, ce genre de petite cabine qui était faite exprès pour que les filles se change. Hum…C’était une idée comme une autre…

Oh ! Je le savais ! Je le savais ! Je le savais ! C’est une coquine ! Bah là il n’y avait plus aucun doute à avoir. Elle voulait mon corps, comme toute les autres filles d’ailleurs, mais allais je lui donner ou non ? Hum…J’allais y réfléchir. En tout cas je la suivi volontiers jusqu’à la cabane où elle commença à me déshabiller. Entreprenante ? Hum…On allait y remédier. J’aimais garder le contrôle sur tout ce que je faisais donc forcément je repris très vite les reines et commença à la tripoter. Au début mes gestes étaient maladroits et pas organiser. Bhein quoi, je suis un emerdeur pas un peloteur ! Mais très vite je pris de l’assurance et mes doigts glissèrent sur sa peau en rythme.

J’espérais la faire frissonner et lui donner du plaisir. Je penchai ma tête sur le coté et la nicha dans le creux de son cou pour l’embrasser et le lécher du bout de la langue. Hum…Elle avait le gout de la mer et du soleil. Ce n’était…Pas mauvais. Tout en l’embrassant je touchais ses seins avec mes mains, le rose me monta aux joues mais j’essayais de ne pas lui montrer, timidement je pris ses tétons entre mes doigts et commença à les caresser doucement, lentement afin de réveiller son excitation.
Une chose est sûre c’est que moi j’étais bien excitait en tout cas et pou preuve mon pantalon en frétillait déjà. J’avais hâte de passer à la suite mais je ne voulais pas précipité les choses. Tout vient à point à qui sait attendre.

Bon d’accord, je ne savais pas très bien ce que j’étais en train de faire. Tout ce que je savais c’est que je le faisais. Et dire qu’il y avait dans ma classe des garçons qui auraient vendu leur âme au Diable pour faire ce que je suis en train de faire et que moi je m’en foutais un peu. Bhein quoi c’est vrai. Madame Connelly ne me plait toujours pas. Ce n’est pas parce qu’en ce moment j’ai ma main entre ses cuisses, que je lui caresse gentiment mais surement l’intimité tout en posant délicatement mes lèvres sur ses tétons rosés qu’elle en devient attirante pour moi, pour autant !

Je trouvais le moment agréable tout de même. Il faut l’avouer, c’est une belle femme. Elle est très bien proportionner c’est incontestable. M’enfin. J’adorais vraiment ce moment et voulais le prolonger jusqu’au moment où elle posa sa main sur mon entre jambe ! Je m’écartais direct !

« On ne touche pas ! »

Je ne suis pas pudique mais je n’aime pas que l’on me touche l’entre jambe, surtout quand je ne connais pas la personne. Enfin je la connais mais en tant que prof quoi ! Donc pour moi il était exclu qu’elle me touche, je pouvais très bien prendre du plaisir sans ca. D’ailleurs en parlant de plaisir j’avais vraiment envie de lui en donner ! Je m’agenouillai alors devant elle et écarta rapidement son bas de maillot afin de poser ma bouche sur son intimité humide et de la dévorer à grand coup de langue. Je sais, c’est cru. Mais que voulez vous. C’était vraiment une envie pressante !

Je m’activais toujours à lui fournir tout le plaisir qu’elle me réclamait lorsque je l’entendis gémir. Un gémissement qui n’avait rien à voir avec ce que ma langue faisait à son antre. En levant les yeux je remarquais que mon enseignante se touchait, oh la cochonne !
Je souris et passa donc à la vitesse avant qu’elle s’ennuie.

Ramassant mon sac à dos sur le coté, je me mis à chercher quelque chose à l’intérieur. Au bout de quelques secondes, un god pointé fièrement faire le haut, il était rose et brillait dans le noir. Oui même mes sex toy sont des originaux.
Je regardais la brunette avec un sourire sadique.

« Je crois madame qu’il est temps que les choses changes »

J’affichais toujours le même sourire et m’approchais d’elle dangereusement. Je soulevais une de ses jambes sans lui demander son avis et enfonça violemment l’objet en elle. Je me plaçais ensuite derrière elle, frottant mon torse contre son dos, une main malicieuse caressant ses fesses, pendant que l’objet faisait encore des siennes dans le vagin de la jolie femme.
J’approchais ma bouche de son oreille « C’est une journée que vous n’êtes pas prêtes d’oublier, croyez moi… » je léchais celle-ci puis descendis ma langue sur son cou, une de mes mains touchant l’objet de plaisir pour l’enfoncer plus loin.