Vero Vero Vero ! T'es la plus belle la plus intelligente la plus habile mais t'as un sens de l'orientation pourriiii ! La blondeur ça rattrape toujours c'est la malediction de la famille adams ! Mais comment cette fille faisait pour se paumer aussi facilement dans l'étage dortoirs garçons en plus ! Elle a fait comment pour vivre aussi longtemps dans les favelas. L'instinct mortel de survie qu'elle avait développé. Mais celui-ci était comme endormi dans le cerveau de la belle blonde. Pourquoi ? "Seul Dieu le sait" lui disait mama Elena quand elle ne connaissait pas la réponse. La réponse divinement débile pour Vero. Mais là n'était pas son problème à la mexicaine. Là elle se retrouvait dans une pièce une fois le couloir fait de long en large. Première porte testée et première porte ouverte. En fait Vero cherchait l'infirmerie. Elle avait tout gagné, c'était... Le bureau du psy. Vous avez gagné Vero à être......la risée de l'établissement. Youpi son mal de tête la relançait. C'était la joie comme d'habitude dans son cerveau. Car oui elle avait quelque chose de logé dans son cerveau qui la faisait soufrir. Sa veine temporale ressortait sous l'agression de ce truc et Vero se plaqua au mur de tout son dos pour éviter de tomber. Elle observa la salle un moment. Une salle de psy, mais pas de boîte à pharmacie. Elle lâcha une insulte en espagnol avant de fermer les yeux et se retrouver avec ses petites fesses rondes épouser le sol du couloir. C'est à demi-consciente qu'elle vit au loin un flou violet. Ce flou se rapprochait et Vero leva à peine la main en regardant faiblement la personne. Elle demanda :

"¡ Holà ! Tu pourrais m'aider ? Chuis paumée et ma douleur à cause de ce truc en fer dans ma tête me relance. Tu serais sympa et puis je te remercierait comme il se doit si tu veux. Mais punaise aide-moi à m'allonger et prendre des médocs. Ça me saoule."

Toujours un langage aussi emprunté Vero, tu es sur la voie de la sagesse....

J'avais fini mon entrainement que j'avais fais au Dojo du lycée. J'avais du passer au moins deux heures d'entrainement. Je révisai de nombreux Kata et de technique pour pouvoir me battre. Puis je regardais la lettre d'une organisation qui vouler me voir. Je ne sais pas qu'est que c'était mais je voyais l'emblème de l'état Japonais,des nations Unis et de l'organisation. Ce que je savais c'est que cette organisation était dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. Mh peut être c'est pour voir ma compétence mais bon sur ceux je ne me préoccupais pas de ça. Je me changeai et je rentrais dans la hall d'entrer du bahut pour aller récuperer un travail que je devais faire dans la classe de math. Juste au moments je trouvais une femme sur le couloir avec une horrible mal au crâne. Elle me donna l'ordre de vite trouver des médicament a l'infermerie.

*Voila prenais ça, ca va calmé votre mal de crâne. De plus, pas besoin de me dire avec autorité. Vous pouvez me le dire gentiment*

Elle était magnifiquement belle pour une blonde. Je la fis allonger et je la regardais en étant un peu inquiete pour la jeune demoiselle.En même temps de quoi de plus humain de voir une personne souffrir devant vos yeux et de rester impassible

*JE m'appelle Ayane. C'est quoi votre truc dans la tête?*

Je la carressais tendrement sur ses cheveux et je fis un petit sourire Amical.

La fille tendit à Vero un medoc. Mais lequel aussi ? Oh et puis la mexicaine s'en fichait sur le moment. Ce qui l'importait c'était pas ça, elle faisait confiance à la fille...qui la caressait un peu zarbement. Wowowow ! Ok, elle est bi, la Vero, mais c'est elle qui choisit et pas l'inverse, sinon le grand matou des plateaux mexicaines sort ses méga griffes acérées ! 'Faut pas la prendre pour la fille fastoche non plus. Mais peut-être que la fille essayait juste d'être gentille. Auquel cas, Vero pouvait se prendre un poteau pour ce qu'elle venait de penser précédemment. Elle prit d'un coup sec le médoc et sentit la douleur se calmer un peu. Ce sale truc, ça lui rappelait bien trop de souvenirs sur le moment et ça lui tuait pour preuve le crâne. Elle ferma les yeux en mettant un bras sur son visage, cachant ainsi ses yeux. Elle dit à la dite Ayane :

"Gracias, Muchacha. Mais sache que je peux pas m'empêcher de parler comme ça. Je suis pas de la grande rue bourge aussi. Et mon truc dans ma tête ? C'est une longue histoire..."

Elle rit doucement, toujours son bras sur le visage. Longue histoire on pouvait le dire. Mais avoir ce truc en métal qui a pas pu être enlevé, comme un rappel de vos crimes. Crimes qui pourtant étaient justes...Elle enleva enfin son bras et se releva un peu en ironisant :

"Dans le bureau du psy...t'es pas le psy que je sache. Mais bon je m'en fiche grave. Le truc dans ma tête je l'ai reçu quand j'ai voulu venger mon oncle et ma tante, durant une lutte à la vie à la mort. Ils étaient six et moi j'avais comme seule arme une statue de marbre. J'en étalais un après l'autre, sauf qu'un d'eux avait un flingue et je me suis pris la balle dans la caboche. À l'opération, ils ont essayé de l'enlever. Mais le métal était trop incrusté dans la boîte crânienne, donc impossible. Ah et chuis Veronica, la nouvelle secrétaire du directeur. Enchantée."

Elle lui serra la main fortement, mais ne se rendit pas compte de la force qu'elle mettait dans ses moments de douleurs, contracter ses muscles était un réflexe, alors broyer la main allait être facile si elle ne retirait pas. Ce qu'elle fit avant de se rallonger pour calmer un peu sa douleur.

Je la regardais en faisant un petit sourire. Mais une seule chose que je n'aimais c'est qu'elle parlait Espagnol. Bon sang nous sommes au Japon mais bon c'est une fille qui vient de l'amérique Latine. Malgre mon arrogance je me souciais un peu pour la femme. Elle dit

"Gracias, Muchacha. Mais sache que je peux pas m'empêcher de parler comme ça. Je suis pas de la grande rue bourge aussi. Et mon truc dans ma tête ? C'est une longue histoire..."

Elle aussi une histoire qui était très difficile. Je me rends compte que ce Lycée a plein de gens qui ont un passé difficile. Je l'écoutais attentivement

"Dans le bureau du psy...t'es pas le psy que je sache. Mais bon je m'en fiche grave. Le truc dans ma tête je l'ai reçu quand j'ai voulu venger mon oncle et ma tante, durant une lutte à la vie à la mort. Ils étaient six et moi j'avais comme seule arme une statue de marbre. J'en étalais un après l'autre, sauf qu'un d'eux avait un flingue et je me suis pris la balle dans la caboche. À l'opération, ils ont essayé de l'enlever. Mais le métal était trop incrusté dans la boîte crânienne, donc impossible. Ah et chuis Veronica, la nouvelle secrétaire du directeur. Enchantée."

Et bien la jeune demoiselle a une balle dans son crâne. Je me sentais un peu comme elle avec une histoire de famille et la vengeance. Etait-elle plus puissante que moi ? Je ne pense pas je crois qu'on ma tellement formé et je repense encore a cette lettre. Je le regardais d'un air serieuse et moin enjoleuse.

"Mhh toi aussi tu as vécu dans une vie difficile. Toi aussi tu as connue la misère et de tout faire pour sa famille. Je te comprends, on va dire que je suis un peu comme toi.C'est vrai que je ne suis pas une psy mais je suis largement mieux qu'eux. "

Je sortis ma lettre de l'armé et je le lisais attentivement.

"Mais sache une chose. Tu étais juste une femme stupide d'aller casser la tête des gens qui avaient des armes. Car surement dans les bidonville comme leMmexique il y'a plein d'arme. Ta rage a pris le dessus et la preuve tu as une balle dans ton crâne. Tu aurais du attendre avant de l'attaquer. Je suis comme toi j'ai une personne que j'ai envie de tuer et cela fait deux ans que j'attends ce moments et je me prépare pour que ce jour arrive.Mais bon je pense que tu as déjà compris ma petite Veronica. Comparant a toi , j'ai devellopé mon état d'esprit et je fais peur a mes ennemie. Tu aurais du faire de même. "

Je me mis a sourire et je m'approchais d'elle.

"En tout cas ces médicaments va calmé ton maux de crâne et va te faire opérer par des Japonais.Je ne veux pas insulté les mexicain mais ils sont mauvais en matière médicale.Car une fille jolie comme toi ne devrais pas souffrir"

Vero écoutait les paroles de la petite effrontée qui se croyait sortie de la cuisse de Jupiter. En fait, la fille se disaitpsy sur le moment, mais elle faisait qu'étaler son histoire avec comme prétexte pour la sortir ce qu'avait dit Vero. Ça avait gravement le don de l'agacer le discours de "raconte moi une histoire même si je vais te raconter la mienne qui est mille fois plus intéressante que la tienne". Bon sang mais où était passé le respect chez ces fichus jeunes ? Même le pire des traumatismes leur servait à redorer leur fierté. Vero avait fait des choses plus horribles que ce qu'elle avait dit à mademoiselle je crois briller. Elle, au moins la Vero elle étalait pas tout son malheur comme un trophée. Et en plus elle lui faisait des leçons de morale sur la façon dont elle s'y était prise. Cette fille ne savait rien de A à Z mais elle continuait de déblatérer son discours qui ne tenait pas du tout la route. Vero se mit à rire. Oui la première étape quand elle était agacée, c'était le rire. Mais un rire plus que bizarre car ce qu'elle avait vécu lui tapait dans la tête. Elle releva brusquement de là où elle était allongée et attrapa dans la volée le cou de la jeune fille quand elle parla à mal de sa patrie. Comment fallait-elle qu'elle comprenne cette idiote que la balle était enfoncée de façon complexe et que même un jap' de chirurgien experimenté y arriverait pas ?

L'idiotie de la fille commençait sérieusement à gonfler Vero. Elle souleva d'une main la fille avec les yeux qu'elle détestait le plus, ceux d'une tueuse à gages. Le regard froid, sans sentiment, les sourcils droits. Elle sortit par réflexe sa bobine de fil de fer dont elle enroula ses doigts et en mit un bout entre ses dents. Elle voulait la massacrer pour qu'elle comprenne, mais elle se contenta juste de la balancer avec sa force digne des héros mythiques vers le bureau qui se fracassa en deux sous l'impact. Elle s'approcha à pas de chats vers la jeune Ayane, doucement, sans briser sa garde. Elle se pencha vers elle et l'attrapa de nouveau au col en faisant un rire glaçant le sang et en lui crachant légèrement à la figure. Vero la tueuse à gages mexicaine était de retour. Elle dit doucement avec une voix vide et terrible à Ayane :

"Je hais les gens comme toi. Tu sais pourquoi ? Parce qu'ils se croient au dessus des autres avec leur passé. Sauf que tu vas déchanter gringa. On vit tous sur un même pied d'égalité. Alors que tu me demandes pourquoi j'ai mal pour ensuite me sortir sous prétexte ton passé, ça me fait bien marrer. Alors je vais être claire. J'ai aussi ma part de souffrances plus ou moins forte, mais moi je l'étale pas dans toutes les rues en le chantant comme un air de flamenco ! Alors si j'avais envie de te dire ce que j'ai vécu juste pour le fun de me marrer en te découpant avec ce fil de fer un morceau de tes jolies phalanges comme je le faisais mais avec un cou de mafieux, un bon cou gras de mafieux que tu approches par derrière sans bruit. Quand aux mecs qui m'ont tiré une bastos dans la tête, je vais te dire que...c'était des gentils petits toutous comme toi qui ont voulu me tuer au terme de ma fuite de leur organisation. Je suis tueuse à gages entraînée et sache que des morts, des atrocités j'en ai vu bien plus que tu le crois. Alors redescends de ton piédestal et arrête de faire la mariole avec ce genre de trucs."

Elle lâcha sur ces mots la fille et pour bien lui montrer qu'elle avait à apprendre, elle lui ficela de manière experte le corps avec le fil de fer de façon à ce que si elle essaie de bouger, ça la coupe. La seule option qu'elle avait était que quelqu'un passe avec une pince coupante pour lui enlever le matériel. Jouer avec Vero avait un prix et là pour Ayane ce serait le prix de la peau. Elle s'en alla doucement avec son déhanché endiablé en direction de la porte, faisant claquer doucement les talons de ses bottes en chantant de la salsa.

"Adios gringa. Qué la luz te illumina en tu vida."

"Falta bailar" avait frappé et se dirigeait dans les couloirs comme si de rien n'était, repartant vers le bureau du directeur. Elle entra dans celui-ci où justement, celui dont elle était l'ombre maintenant l'attendait avec une pile de dossiers. Elle sourit de toutes ses dents blanches de la situation. Elle parla de la Ayane avec précision et droitesse en dressant un portrait psychologique élogieux dans certains points. Tueuse sans sentiments, elle allait devoir faire face à des élèves qui se croyaient forts et invincibles. Mais elle serait là pour les rappeler à leur triste réalité. Car le lycée, c'est pas la favela ou un autre quartier pourri. Ils allaient devoir se plier à un tout autre jeu...

musique: [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]
Je me laissais faire et je voyais dans ses yeux un peu comme Estelle. C'est vrai elle était forte pour une Mexicaine. Je m'étais trompé sur quelque point mais bon elle ne sait pas tout de ma vie et elle dit que j'étais fier certainement pas ,cependant tout cela m'avais rendu puissante et plus mature. Je me laissais faire sans exprimé la moindre émotions ou plutot je faisais semblant d'être une fille surprise mais en faite non pas du tout. Lorsque elle était parti je réfléchissais comment j'allais enlevait ses fils de fer qui était assez coupante. Mhh pas mal l'idée vraiment pas mal. Serieusement je peux te dire bravo ma petite Vero.

JE pris mon couteau dans ma ceinture a l'interieur de mon chemisier et je découpai fil par fil et enfin je retrouvais ma liberté de mouvement. En tout cas c'est vrai qu'elle ma bien eu et je suis bien ravie de voir une fille de cette trempe mais en tout cas elle me connait assez mal si je peux dire.


je pris mon téléphone et j'appellais le U.F.D.I ( UNITE FANTOME DE DEFENCE INTERNATIONAL)

"C'est Ayane Tsukane et j'accepte de me joindre dans votre escouade."

Elle commença a se réveiller et elle me vis

"C'est maintenant que je commence. Bien envoyer moi tout les coordonnés je vous pris.Au revoir."

RP ANNulé car je refais toute l'histoire d'aya ou plutot une grande partis XD