J'étais si bien, certes je découvrais des sentiments, des sensations inconnues mais j'adore ça, et j'en suis plus heureux encore qu'il s'agit de Kaï comme professeur. Au final, j'ai bien fait de demander des cours de cuisine. Même si les cours que j'ai au final s'agit d'une cuisine bien particulière. Mais cette recette ne me gêne pas, il s'agit même du meilleur plat que je n'ai encore jamais mangé et à vrai dire, j'espère que cette instant ne s'arrête pas encore, qu'à la fin, il ne partira pas et fera comme si rien ne s'était passé entre nous. C'est bien la première fois, que je fais dans le sentimental.

Les frissons, de doux frissons qui parcours me corps et me rendent tellement nerveux. Mais cette nervosité est tellement agréable. J'ai l'impression d'être une pile électrique qui ne sait pas comment faire pour vider son énergie, bien qu'ici, mon énergie soit simplement le désir que j'ai pour Kaï. Il me rend dingue, et ses caresses ne font qu’intensifié le résultat. Mais voilà que les choses sérieuses commencent. Sa jambe se serrant contre moi et surtout se collant contre cette bosse si sensible qu'il m'en échappe un gémissement. Les joues toutes rouges, je n'ai qu'une envie, finir nu. J'ai bien trop fort, et ce pantalon me sert bien trop. Pourtant je n'y pense pas pendant quelques secondes lorsqu'il parle de se mettre à genoux.

L'agenouiller ?

Je n'arrive plus à réfléchir. En temps normal je réfléchis vite et je réagis très vite mais là, je suis dans un tel état que je n'arrive plus à pensé à autre chose que lui. Dans ma tête, il n'y a que lui, sa voix, ses caresses, son corps. Uniquement lui. En plus de cela, il est devant moi, tout contre moi. Alors je dois le mettre à genoux, lui faire faire ce que je veux une fois qu'il est très excité ? Dans ces moment là, il faut donc ce montrer dominateur sans l’être de trop. Ce rôle devrait m'aller à merveille, moi qui à l'origine est un caractère assez stricte. Pourtant là, j'ai peur qu'il ne le prenne mal, mais après tout, s'il me dit cela c'est qu'il le veut un peu.

Dans ce cas.. Agenouille toi, et retire moi ce pantalon, j'arrive plus à respirer.

Ha oui, c'est la bonne occasion pour que mini-moi soit libéré et qu'il respire enfin hors de se pantalon qui l'emprisonne depuis tellement longtemps.

Ses caresses, ses mains sur mon torse me rendait plus fou encore de lui. Il avait une facon de faire si tendre et si sensuelle que moi même je ne pouvais pas y résister. Il finit par s'agenouiller comme gentiment demandé pour qu'il finisse de me dévêtir, de retirer ce pantalon qui serrer une parti encore montrer à personne. Ses mains sur mon torse et ses lèvres venant se poser de temps en temps comme des petits coups d'électricité dans mon corps ne me rendait que plus excité encore. Il finit par jouer le chevalier servant, un chevalier qui retire ma ceinture de cuir alors que les joues sont plus rouges encore. Puis le voilà qui veut jouer, au docteur apparemment. Moi qui est un doctorat de médecine, voilà que je pourrais le mettre en pratique pour des exercices sexuels. Mais pourtant, je préfère lui prêter le titre de médecin pour qu'il face de moi sa victime, son patient.

Alors sois mon docteur

Lui dis-je d'une petite voix susurrer alors que les yeux le fixent. Il retire mon pantalon pour me laisser dans un boxer noir mettant parfaitement bien cette bosse en valeur mais voilà que le sous vêtement s'échappe lui aussi pour laisser libre "mini-moi" et se montrer plus fort et plus viril que jamais. Je n'étais plus rouge là, mais complétement bruler par la chaleur entre l'envie et la gêne. Mini-moi était beau, fort. Tout lisse, sauvage, ne demandant qu'à être apprivoisé. C'est une belle bête, de quoi faire plaisir à la personne qui joue avec. mais ce moment n'ai pas encore venue.

Il se relève et le l'admire faire, moi je suis nu, totalement nu -j'aime même plus mes lunettes- et il se colle contre moi, venant capturer mes lèvres des siennes alors que je faire doucement les yeux. Nos langues se rejoignent, s’entremêlent, se caressent. Mais cette fois, mes mains savent quoi faire; Je les glisse dans son dos, le caressant doucement puis les descend sur ses fesses pour finalement venir enlever la ceinture puis le bouton de son pantalon. Oui Kaï à une ceinture, c'est vraiment plus sayks ainsi. Mais je quitte finalement, a regret ses lèvres pour rompre le baiser si divin qu'il venait de m'offrir. Je m'agenouille doucement, au fur et a mesure que je lui retire son pantalon. Les mains tremblantes, une fois le pantalon supprimer de la situation, je m'attaque à son sous-vêtement, tout comme lui venait de faire pour moi. Je n'ose même pas regarder, bien que, l'envie sois si fort qu'un œil traine pour admirer la beauté de son corps.

C'est mieux... Ainsi..

Oui, bien mieux de sentir son corps nu contre le mien, sentir sa virilité contre la mienne. Bien mieux de n'avoir plus rien qui nous gêne, de superficiel.

Il était nu, autant que moi. Nous étions dans une égalité parfaite. Il avait un corps parfait au point de ne plus pouvoir devenir plus rouge que je ne l'étais. Je voulais me calmer, remettre mes lunettes en place pour reprendre mon calme mais quand j'ai voulu, je me suis rappelais que j'avais plus mes lunettes sur mon nez. Il m'avait garder contre lui et je n'avais pas envie de me décoller de lui. Je me surpris même à poser sa tête au creu de son cou avant de l'écouter. Il avait raison et j'étais dans le même état que lui. J'étais surpris, redressant la tete en le regardant.

Ho..

Je ne savais pas quoi dire. A vrai dire, je me posais exactement la même question. Pourquoi quand je l'ai vu ce matin, j'étais ravi, pourquoi quand il m'effleure je rougissais ? Pourquoi quand l'autre sorcière l'a embrasser j'avais juste envie de le sauver ? Serais-je amoureux de lui ? Alors que cela fait pratiquement vingt ans qu'on ne sait pas vu. Etais-je déjà amoureux à cette époque sans même m'en rendre compte, est-ce pour cela que je suis resté vierge depuis tout ce temps. Je disais toujours que je voulais me garder pour mon mariage et pourtant, ce soir, avec lui, je n'hésite pas une seconde à me mettre nu devant lui. Je voulais qu'il me voit ainsi, qu'il découvre qu'en réalité je ne suis pas si insensible que cela.

Ses lèvres revenaient à la charge et celles ci capturaient mon cou. De doux baiser, tendre et pourtant si bouillant de désir que je n'arrivais plus à rester calme -quoi que ça depuis un moment déjà-, mes jambes tremblent, mon corps et en sueur et pourtant j'aime cette sensation d'être nu, entièrement nu, mais tout contre lui. Puis ses lèvres quittent mon cou pour s'aventurer ailleurs, mes épaules, mon torse pas si évoluer que ça mais un peu quand même. Et puis ses mains ne lâchant pas mes fesses, une sensation divine qu'il peut rapidement remarquer par quelques frétillement de tout le corps... j'ai bien dis tout, t'as compris quoi !

on se recule un peu pour se décoller au plan de travail ou nous étions collé depuis un bon moment déjà, puis il me lache, une moue déçue sur le visage alors que je fais calmement ce qu'il me demande. je m'installe, m'allonge sur le sol.. Glacial ! Des frissons qui rapidement passe vu la chaleur que dégage mon corps. La température de celui ci contre le froid du carrelage ont donner presque de la vapeur, des gouttelettes tombant au sol alors que je tends la main vers lui, l'invitant à me rejoindre en compagnie d'un sourire. Je voulais qu'il revienne contre moi, qu'il repose ses mains sur mon corps, le sentir, le gouter. Je voulais qu'il m'aime.. Oui c'est peut être ça au fond, je voulais simplement qu'il m'aime.

Il revient se coller contre lui, son torse, tout son corps contre le mien qui ne demande qu'à être touché. Sa main fait exactement ce que j’espèrais d'elle. Venant sur mon corps pour le caresser, descendant de plus en plus tout en jouant avec des parties qui me font soupirer de plaisir puis, alors qu'il était au niveau de mon bas ventre il se stoppant pour finalement reprendre sa caresse et venir saluer ce membre de chair et de sang qui ne demandait qu'à être présenter. Un frisson me parcourra et un gémissement timide s’échappe lorsqu'il masse doucement cette partie. C'était du pur plaisir, un bonheur immense que de voir Kaï jouer avec mon anatomie. Quelques gémissement s'en suivit mais les baisers de Kai ettoufe doucement mes soupirs.

Puis ses lèvres quittent les mienne pour s'attaquer à mon cou. Le sourire béa que j'avais sur mon visage s'agrandit encore plus à cela alors que je me crispais doucement sous les décharge de plaisir que me donne ces caresses si intimes. Mais les baisers suivent le parcourt qu'à emprunter peu de temps avant sa mains. Sur le cou, le torse et il vient embrasser mes tétons très sensible par mon excitation. Les soupirs s'enchainaient et le désir ne faisait que s'accroitre. Comment est-ce possible d'avoir encore plus envie de lui que maintenant ? Finalement il se redresse un peu pour venir me glisser à l'oreille quelques mots.

D'accord.

Puis il vient jouer avec mon lob. Autant dire que j'adore ca et que ca m’excite énormément, mais pas plus que ses caresses, sa respiration sur ma peau, sa voix suave. Mes mains passe dans son dos, glissant sur ses fesses pour les caresser doucement alors que finalement, je décide de mettre les leçons en exécution pour finalement glisser une main venir à la rencontre de son mini-lui à Lui. J'étais assez gêné mais ca me faisait plaisir de le caresser, de le masser et de l'entendre respirer si fort.

On était en train de se caresser mutuellement et rien que cela me donner encore de plus encore. Les soupirs, les gémissement que l'ont avait me conforter dans l'idée que j'avais bien fait de ne pas attendre son autorisation. Tout en s'embrassant comme des fauves - mais des fauves trop sexy- je continuais sans relâche à prendre soin de ce gros bout de chair et de sang qui donnait tant de plaisir à celui que j'aimais.

...

Aucun mot ne sorti ne ma bouge alors que j'avais entre ouverte les lèvres pour lui répondre. Je voulais lui dire, que moi aussi je l'aimais, que je l'aime depuis aussi longtemps que lui, que, finalement c'est peut etre cet amour qui a fait que je suis encore puceau jusqu'à aujourd’hui mais rien ne réussit à sortir, pour était bloquer. IL m'offrit le plus fou des baiser, ses lèvres, sa langue, elles étaient si bouillante et si délicieuse que je prolongeais et savourer son baiser jusqu'à reculer la tête.

Cette déclaration m'a donner des elles. Je ne veux plus être élève, je ne veux plus qu'il m'apprenne des choses, je veux les apprendre par moi même et tant pis si je me ridiculise, tant pis si je fais des erreurs mais c'est de par mes erreur que j'apprendrais le plus de chose. Je lâche finalement sa virilité si impressionnante pour venir saisir ses poignets, lui relevant les bras alors que je nous bascule pour venir me mettre sur lui, et lui, sous moi en lui tenant fermement les poignets afin qu'il ne puisse plus bouger comme il le souhaiterait. Je me sentais sauvage, près a affronter le danger, a affronter l'amour que j'avais pour lui en réalité. Toutes les fois ou je le traitais d’imbécile, c'était en vérité pour lui dire que j'étais la, que je le regardais, que je l'aimais. Mais aujourd'hui tout va changer. Je vais lui montrer que le mec coincé et pas doué que je suis aujourd'hui peut encore le surprendre car chez les Urami, on apprend très vite. Je viens poser mes lèvres sur les siennes pour reprendre ce baiser que j'avais interrompu dans mon élan de sauvagerie. A présent, c'est moi qui tiens les renes et je ne lui laisserais les reprendre qu'un peu plus tard.

Je tiens ses poignets d'une main alors que l'autre vient se poser sur sa nuque pendant le baiser fougueux puis doucement, elle descend, repartant sur son torse, ses fesses puis ses cuisses ou je m'attarde un peu. je relâche ses mains et mes lèvres fond finalement le même chemin de la main quelques secondes plutôt, mais mes lèvres s'attardent un peu a quelques endroits stratégiques : son cou, ses tétons, ses abdos et le bas ventre sans pour autant toucher à Mini-Kaï. Cette fois, je n'étais pas rouge au contraire, j'étais un peu plus sur de moi, parce que je savais que quoi que je fasse comme erreur, il sera là pour m'aider et me guider.

Il avait les yeux planté vers moi. Était-ce bien ou non ? Finalement je pense que cette entraint lui ait faire plaisir et même que ça l'a surprit. Il pensait surement que je l'aurais laisser me guider jusqu'au bout, qu'il aurait pu me rendre totalement dingue et finalement c'est moi qui décide de le rendre dingue directement. Mais au fond, je pense qu'il savait que ça finirait ainsi a un moment, je suis de nature dominateur dans la vie et ça se reflète surement un peu dans la vie intime.

Je suis là, à l'embrasser, à embrasser son corps alors qu'il s'offre à moi totalement. Ne cherchant pas à discuter plus que cela le fait que je sois sur lui, que mon corps colle le sien si fort qu'il peut entendre et sentir mon coeur battre, le sentir raisonner sur sa peau.

Mais qu'est-ce que j'avais fait ? J'avais pris le dessus, pour lui montrer que ces paroles m'avait pousser a prendre un peu d'assurance dans cette situation. J'ai parcouru son corps de mes lèvres et une fois au niveau de son bas ventre je bloque. Je sais plus quoi faire, ni comment faire. Est-ce que je tente, est-ce que je tente pas ? Au final, je me dis qu'il n'y a qu'en tentant de faire la bise à Mini Kaî que je verrais si je pouvais ou pas. De cette façon, voilà que j'y pose mes lèvres doucement et timidement. La fougue de mes mouvements avait disparut pour que la timidité et la non confiance en soi revienne au galop. Au début, se n'était que des petits baisers, des effleurements de lèvres avant que ma langue ne s'en mêle. un coups de langue ici, puis un autre là alors que je masse doucement ce nouveau jouer face à moi. Mais j'en veux plus, je veux gouter sa peau, je veux le gouter entièrement. Les lèvres s'entre-ouvrent à nouveau pour accueillit le bout rosé de se jouer si appétissant. Le sursautant doucement et maladroitement surement. Mes mains elles, alors que l'une d'elle caresse la chose que j'embrasse, l'autre caresses sa cuisse doucement.

il avait l'air d'aimer ça, ses soupirs, ses gémissements qu'il lâchait me motive d'avantages sur cette fois. J'étais fier de moi, j'avais réussit a lui faire plaisir sans faire d'erreur bien que je sais pertinemment que mes manières ne sont pas très adroites. Cependant, je m'en fichais bien. J'étais simplement ravie de lui avoir fait plaisir. il se redresse et ses yeux posaient ainsi sur moi me gênait un peu. J'avais pas envie qu'il me voit faire ca, faire mes erreurs.

Puis il me fait m'arrêter dans mes petits coups de langues, mes baisers et autres attentions. J'ai eu peur d'avoir fait une erreur, d'avoir fait un truc qui aurait pu lui faire du mal. Mais au final, il m'attire contre lui pour me prendre un baiser avant de me faire changer de position. Je viens enfin de comprendre son plan. Il voulait, tout comme moi, apprendre à connaitre Mini Moi -sauf que pour moi c'est Mini Lui-. Je lui souris, trouvant l'idée génial alors que je me remis en position. Une fois de nouveau sur lui et de façon a ce qu'il est mon bas ventre qui pendouille devant ses lèvres de manière à dire "mange moi" -lol- je me remis au travail.; Bien que c'était surtout un plaisir et non un véritable travail que de lui faire plaisir. Je repris mes baisers et il en fit de même. Le premier coup de langue de Kai m’électrise immédiatement au point que j'arrête pendant quelques secondes tout mouvement. C'était.. Si bon, si excitant, si divin. Je ne pensais pas que ca puisse faire autant d'effet avant d'en subir moi même les effets. Je rougis soudainement lorsqu'il prend Mini Moi pour un esquimau mais j'aime ça. De par ses sensations, je tente de faire comme lui en un peu moins doué évidement. J'étais à la fois concentré à lui faire plaisir, et déconcentré par mon propre plaisir que j'en glisse quelques gémissements de surprise à chaque sensations divines.

Mini Kai entrait et sortait de ma bouche. Je trouvais bien cela étrange au début mais le gout de Kaï est divin, légèrement sucré -ouai Kai a du manger un gâteau fort sucré avant de venir chez moi XD-. j’accélère un peu la cadence par la suite, bien qu'avec le peu d'expérience que j'ai, il doit surement sentir mes dents, espérant que cela ne lui fasse pas mal.

Ses mains sur mon corps, et une partie de mon corps dans sa bouche. Jamais je n'aurais cru cela possible un jour, ni avec lui, ni avec qui que ce soit. Il me fait chaviré le cœur, me rend totalement hors de mon état naturel. Il arrive à me faire sourire, à me faire gémir. Je tremble au contact de sa peau, de ses mains sur mes fesses qui remontent par la suite le long de mon dos en me donnant de délicieux frissons.

Je ne pouvais plus me retenir. Je fais ca depuis tellement longtemps que ça en deviens atrocement douloureux. C'est ainsi qu'au final, j'explose entre les lèvres de Kaï alors qu'une honte profonde m'envahir. J'avais envie de m'excuser, de lui dire que j'étais désolé et que j'aurais du le prévenir mais c'était si intense, si rapide que pendant ces quelques instants je ne pus bouger un seul doigt. J'étais en train de trembler comme une feuille, en sueur et grognant de plaisir. J'étais sur un nuage tout la haut et à la fois dans les flammes tout en bas. J'avais si chaud, et c'était si bon de sentir ses lèvres ainsi sur moi.

Pour me faire pardonner, je redoublais d'effort et après un moment, quand la faculté de bouger était revenue, je me repris à faire glisser mes lèvres et ma langue sur sa sucette, cette pomme d'amour si rouge qui ne demandait qu'à être dévoré. J’accélère les mouvements en essayant en même temps de trouver la meilleure façon de ne pas lui faire mal avec mes dents si blanches, si belles, si fortes.. Laver avec Colgate blancheur XD. Puis quand le moment final arriva, il était hors de question de l'enlever du nid d'amour créé par mes lèvres. C'était chaud, c'était sucré et je ne pu m’empêcher de venir chercher avec ma langue les gouttes qui rester sur cette sucette au cœur liquide.

Il était toujours sous moi, et je repris ma place initial, son visage face au mien pour venir lui prendre un baiser, une main me retenant au sol et l'autre venant se glisser sur sa joue et sa nuque afin de les lui caresser délicatement. Puis, sans vraiment m'en rendre compte, des mots qui, je croyais, ne seraient jamais sorti de mes lèvres finissent par arriver à ses oreilles.

Je t'aime.

Je l'aime, je me fiche complétement de ce que les autres pourraient dire de moi, car je l'aime.

J'avais enfin avouer ce que je ressentais, je l'aimais et je voulais l'aimer pour longtemps encore. Je ne sais pas ce que l'avenir à prévu pour moi mais je donnais ma fortune s'il le fallait afin de rester près de lui pour longtemps encore. Il avait passé ses bras autour de moi, me rapprochant de lui sans que je ne me retienne au carrelages qui semblaient si brulant à présent. Je me colle à lui, posant ma tête contre lui avant qu'il ne vienne m'embrasser. Le baiser était long, doux et tendre, remplit d'amour et de passion. Je ne pouvais espérer mieux que lui pour m'apprendre à devenir un homme, un vrai de vrai cette fois.

Il faut dire que tout cela creuse l’appétit il a bien raison et pourtant je ne voulais en aucun cas quitter ces bras, je pourrais me laisser mourir de faim s'il le fallait vraiment. Je ferme les yeux pour apprécier un peu plus le moment présent, ne pensant pas à ce que pourrais ressemble le lendemain. Je faisais le vide autour de moi et il n'y avait plus que Kaï qui comptait, le repas, je m'en moque bien, les gens qui pourraient entrer aussi. Si on devrait être surpris, la seule chose qui m’ennuierais c'est que quelqu'un puisse voir mon Kaï nu, quelqu'un d'autre que moi pouvant admirer ce corps viril et si délicat.

Mais bien que tout ça soit surement la plus belle nuit de ma vie, j'en voulais plus. Je voulais qu'il reste près de moi toute la nuit, qu'il fasse de moi ce qu'il voulait. A toute ses pensées, Mini Moi reprend doucement du service alors que finalement je lui répond avec un air taquin.

Si tu as faim.. Manges moi.

Et sans attendre de répondre je lui vole un baiser. Passant ma langue sur ses lèvres pour m'amuser alors que mes mains glissent le long de son corps. Je pose quelques baisers sur sa joue tout en remontant à ses oreilles avec laquelle je joue avant de lui murmurer d'une voix calme mais remplit de désir.

Fais de moi un homme.. Un vrai.

Le message était clair.. Enfin, pour moi.

Je continue de jouer avec son oreille, je ne savais pas vraiment ce que je devais en faire alors je laissais mon envie prendre le dessus : je l'embrassais, le léchais, je mordillais délicatement pour ne pas lui faire de mal, mais juste pouvoir le faire frissonner comme il sait si bien le faire avec moi. Je m'étais surpris de lui demander tant de chose mais je voulais tellement apprendre, connaitre les choses qui lui font plaisir, savoir quoi faire pour juste le rendre heureux. Moi, le fait qu'il soit à mes cotés suffit à me faire sourire. Pourtant je sais que demain au lycée, si je le croise, je ferais comme ci rien ne s'était passé entre nous, pourtant, je tenterais désespérément je le voir seul pour lui prendre un baiser. Parce que tout ce que je veux...

Tout ce que je veux.. C'est toi.

Mon amour ? Entendre ça me fait alors sourire. Je me fichais bien de ce qu'il pouvait m'arriver ensuite, j'étais son amour et c'est tout ce qui était important à mes yeux. Je finis à plat ventre sur le carrelage et je le laissait modeler ma position. Après tout je ne savais absolument pas comment me mettre et je préfère de loin le laisser faire cette fois. Mais à notre prochaine nuit à deux, la prochaine fois qu'on finira dans un tel état, c'est lui que je mettrais au sol. Il posait des baisers le long de ma colonne vertébral et cela me fit le même effet que des coups d’électricité dans le corps, des coups de jus qui permet à mini moi d'actionner le mode vibreur. Ses mains et ses caresses parcourant mon corps ne font qu'intenficier ce désir ardent. Il parle, j'écoute et je lui réponds d'une voix saccadée.

Oui, je te le dirais.

Je ne comptais pas souffrir pour qu'il ai le plaisir de culpabiliser ensuite. Cependant, je comptais bien soufrir un peu pour qu'il est tout simplement du plaisir. Depuis le début il se montre doux et tendre avec moi, compréhensif dans mes actions maladroites alors je sais qu'il ne ferait rien qui pourrait me faire mal. J'étais tout excité, j'allais enfin n'être que plus qu'un avec lui. Ça peut paraitre idiot et pourtant je me fichais totalement de souffrir pendant cinq minutes si le reste de la nuit a ces cotés est magique. j'avais tout de même quelques appréhension. Il commença a tâter le terrain voir si la porte l'entrée tiendrait le coups puis il l'ouvre doucement. Une grimace arriva sur mon visage alors que doucement, tout en serrant les dents sous cette douleur qui me parut atroce, il se glisse à l’intérieur de ma petite maison intime. Rapidement je commençais à m'habituer à la douleur malgré quelques petits grincements de dents qui pouvait dire le contraire.

Je me moque d'avoir mal si lui prend son plaisir. Je savais très bien que lui allait s'inquieter et c'est pour ça que je retenais quelques gémissement du à la douleur ou alors quelques jurons qui auraient pu s’échapper de mes lèvres. Je ne voulais juste pas qu'il s’inquiète et que cela gâche son plaisir bien que je sois touché de savoir qu'il s’inquiète ainsi pour moi. Pourtant, il m'a vu, serrer des dents et grimacer. Je soupir un peu pour finalement tenter de le rassurer.

T'en fait pas pour moi.

C'est bien ce dont j'ai peur, qu'il s'envole et que demain, tout ça ne soit qu'un rêve. Grâce à lui, à ce soir, j'ai réussit a éprouver autre chose que.. rien. De l'amour, de l'envie, du désir, de la passion, de la jalousie, du plaisir.. Tant de chose encore qu'il me reste à découvrir et je ne veux le découvrir qu'avec lui. Pourtant, il y a bien une chose que je ne veux pas ressentir, c'est le sentiment de peur et de tristesse quand l'être qu'on aime vous abandonne.

Ça va, je t'assure.

Ca allait très bien parce qu'il était là. Et en plus, la douleur commençait à se dissiper pour laisser un sentiment de plaisir et de honte malheureusement pour moi. Je ne pouvais pas imaginer avant pouvoir faire ça, encore moins le demander de moi même. Certes c'était loin d'être agréable au début mais maintenant ca se passe moins douloureusement et bientôt, avec l'habitude -que j'ai bien envie de prendre tout de même- tout ce passera mieux. Je tourne doucement la tete vers lui en lui souriant. Mini Moi était encore tout ravi de la situation et semblait bien se moquait de la douleur que j'ai pu ressentir un peu plus tot. Lui, il adore ca.

Tu dois bien me montrer pour que je le refasse non ?

Et oui, tu y passeras un jour à la casserole, pas ce soir non, mais un jour c'est certain.

Et j'aime.. Que tu sois en moi.

Bon ok c'est pas très glamour mais tout de même, j'étais tout rouge de honte à avouer cela. Mais pourtant j'aimais vraiment cette sensation et rien que le fait de savoir que c'était lui et personne donne me comblait de joie.

Confiance ? Il était bien la première personne à qui je faisais autant confiance. Je lui offre mon cœur, mon corps et tout les parties intimes, et je lui offre ma vie. Je sais qu'il fera de son mieux pour les garder intacte et je ferais de même pour lui. Je n'avais pas besoin de lui répondre, un simple sourire confirmerait les propos.

Apparemment Kaï ne se sentait pas à l'aise car il passa son bras autour de moi pour me redresser et ainsi, pour profiter encore plus de mon corps et de cette virilité si forte. Ainsi j'avais mon dos contre son torse, on était si humide que je collais complétement contre lui. Le sourire était pourtant présent, j'avais beaucoup moins mal et le plaisir arriver doucement. c'était agréable de le sentir ainsi, et le climat environnant ne faisait que m'exciter d'avantages. Ses baisers, ses caresses, sa peau. Je pouvais entendre son cœur raisonner contre sa poitrine et raisonner ainsi dans mon dos, il battait si vite, aussi vite que le mien.

Ça ne faisait pas si longtemps et pourtant je sentais déjà que ça allait arriver. Je me contrôle, je respire correctement -autant que je peux- je fais attention a mes gestes. J'attrapais sa main pour sa serrer dans la mienne, la serrant parfois forcement sous les quelques coups de reins qu'il donnait avec attention. Je frissonnais de tout mon être, caressant sa main alors que mon autre main glisse dans mon dos pour se poser sur ses fesses, ses cuisses humides par la chaleur de nos corps et de nos exercices très physique.

[désolée c'est court :s]

Il jouait avec Mini moi, ce qui faisait accélérer le plaisir que je prenais. J'en lâcha quelques gémissement, et parfois quelques grognements de plaisir tandis que je faisais tout pour être discret. Mais comment être discret alors que je prends autant de plaisir grâce à lui. Il finit par atteindre le septième ciel un peu avant moi mais malgré cela il redoublait d'effort pour que je le rejoigne rapidement. Mini Moi adorait que Kai joue avec lui, il adore sentir sa mains autour de lui. Plus encore, il adore sentir sa langue et ses lèvres l'embrasser bien que là, le massage procurer par Kaï était bien suffisant pour le garder dur comme une barre de métal. J'étais en sueur, j'avais du mal à respirer et là, encore quelques secondes... Encore un peu.. Et voilà, j'étais au paradis, Kai contre moi, je venais de découvrir le plus incroyable des plaisirs. C'était certes douloureux au début mais au final, c'était juste merveilleux et jamais je n'aurais cru connaitre ça un jour. Sa phrase, je ressentais la même chose mais je ne répondis pas. Nous étions épuiser et je n'avais qu'une envie, me retrouver dans mon lit avec lui, l'enlacer et le serrer contre moi pour fermer les yeux et le découvrir au petit matin, toujours avec moi. Voilà pourquoi je finis simplement par dire

Tu dors.. Avec moi, n'est-ce pas ?

Je ne voulais pas qu'il s'en aille après tout ça, je voulais en profiter encore et pouvoir le regarder dormir, le voir sourire au réveil. Sans vraiment attendre de réponse, je me décolle doucement de lui, bien qu'à regret pour aller ramasser nos affaires d'une main. De l'autre, j'attrapais la main de Kai et l'entraina dehors

T'en fais pas, à cette heure ci il n'y a plus personne.

Enfin, je l'espère.

(Tu peux cloturer ou continuer c'est toi qui voit )