Le ciel d’encre émailla de brillants éclats stellaires surplombant ce lycée offrait un enjôleur spectacle à quiconque posait les yeux sur lui. Sorti de sa sieste continue, Shin à la blanche tenue émergea sans exsuder la moindre énergie. Baillant aux corneilles, le jeune homme finit par ouvrir ses paupières et poser ses iris clairvoyant sur le lycée. Comme il aimerait se recoucher lui-même… Il regarda sa montre d'un geste maladroit et sortit l'emploi du temps que lui avait fournit son professeur principal. Il venait de manqué deux heures de cours, il s'empressa donc de se rendre à son prochain cours mais, étant un nouvel élève il se perdit dans les couloirs.
Sa première matinée de cours fut donc un échec non seulement il était perdu mais, il continuait à manquer des secondes, des minutes, des heures de cours. Ne sachant toujours pas où est la sortie, il se posa et s'assit au sol. Les cours ne semblaient pas être passionnant de toute façon, étant en été il ne reste plus que des élèves en cours de rattrapage. Ne croyait pas que Shin est un mauvais élève, cependant venant tout juste d'arriver il était dans l'obligation d'aller à ces heures de cauchemars. Il commença à somnoler, n'ayant eu que quelques heures de sommeils. Oui, notre jeune homme est quelqu'un qui stresse pour un rien, ce côté n'est pas vraiment amusant mais, plus navrant.
Quelques peu endormit, il ne remarqua pas l'arriver d'une silhouette qui s'approchait lentement mais surement de lui. Qui était-ce donc ?
Dernière édition par Shin Yushii le Dim 17 Juil - 19:06, édité 1 fois
Ce jour-là, c’était ma première journée au lycée Tsubasa et déjà je ressentais l’envie de brosser les cours. Il y avait de quoi se faire mal voir, mais je m’en fichais ; il faisait un temps radieux dehors et se rendre en classe gâcherait un certains nombre d’opportunités. Et qui sait, peut-être de beaux jeunes hommes se promenaient-ils dans les rues à cette heure-là.
Je traversai un long couloir, éclairé par la seule lumière du jour, en sautillant sur un pied puis sur l’autre. J’arrivai bientôt à hauteur d’un jeune homme. Il devait avoir le même âge que moi et semblait perdu. Il était plutôt grand, large d’épaules ; ses cheveux étaient d’un brun éclatant ; habillé simplement, il portait jeans et t-shirt.
Je m’approchai un peu plus de lui, mordillant mes lèvres sensuellement. Je plongeai mes yeux noisette dans les siens et posai ma main sur sa joue.
« Alors, mon mignon, qu’est-ce que tu fais ici, tout seul ? »
Dernière édition par Akuro Marubeni le Lun 18 Juil - 9:51, édité 2 fois
* { Sushis-Kun } *
Un fou ? Non, Shin Yoshii !
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Perdu dans un de ses souvenirs, il remémorait son passé si lointain. Une fenêtre était ouverte et le vent soufflait à vive allure.
I. Etrange :
<< Au secours ! >> Tels étaient les mots et les pensées, à l'instant où les chiens des parents adoptifs étaient lâchés sur Shin , le monde lui semblait être arrêtait du moins jusqu'à l'arrivait de deux ombres qui chassèrent les chiens et prirent Shin dans leurs dos et l'emmenèrent dans une grotte sombre où il s'était passé des choses dont-il ne s'en souvenait plus. Seulement le retour vers le présent était inévitable.
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Nous revoilà donc dans la réalité, ne sachant par quel miracle il venait de se réveiller. Pendant les quelques secondes de merveilles, et d'innocence que son regard portait dans le vide. Il remarqua la main douce sur sa joue d'une jeune demoiselle. N'ayant pas encore repris c'est esprit, il pensait que c'était un prof' ou bien une infirmière. Il prenait une posture bien étrange pour essayait de se réveiller totalement, quand ce fut le cas il sauta de lui-même. Qu'est-ce qu'elle lui veut? Une malchance pour ce jeune homme qui ne voulait absolument pas se faire remarquait dès les premiers jours de son entré.
- Je ne dormais pas et je ne suis pas perdu ! Non, non pas du tout.
Je ne comprenais pas la réaction du jeune homme. J’étais frustrée, comme jamais. Il venait tout juste de repousser mes avances, non ?
« Moi, c’est Akuro, et toi, c’est quoi ton petit nom ? »
Je remarquai alors qu’il avait l’air apeuré par quelque chose, mais quoi ? Il semblait aussi très fatigué. Je retiré ma main de sa joue et la posai sur son épaule.
« Cela te dirait de prendre un peu de bon temps avec moi, mon chou ? »
Comme à mon habitude, je n’y étais pas allée dans la dentelle, et après tout, pourquoi faire ? Tout ce que je voulais, s’était coucher avec lui ; alors à quoi bon tourner autour du pot ?
Dernière édition par Akuro Marubeni le Lun 18 Juil - 9:55, édité 1 fois
* { Sushis-Kun } *
Un fou ? Non, Shin Yoshii !
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Malgré le ton assez neutre du jeune homme, un grand sourire naquit sur ses lèvres. Akuro, de son prénom, traita Shin de menteur. C'est vrai que c'est un grand menteur, le plus grand au monde quand il s'agit de sujet délicat mais, bon elle ne semblait pas lui en tenir rancune. Il se sentit soulagé, elle lui demanda aussi son prénom. Étant un gentleman, il s'empressa de donner son prénom.
" Je m'appelle Shin."
Ensuite, après les mots qu'elle venait de prononcer Shin devint tout rouge. Il n'est pas de ce genre là, en fait il ne dirait pas non afin, de prendre du bon temps mais, ce n'est pas bon pour ça conscience. De plus, elle avait appelé "mon chou". Même, sa mère adoptif ne l'appelle pas comme cela. Cette situation est drôlement comique et plutôt mal placé.
A contre-cœur, il s’éloigna rapidement de Akuro. Et plaça ses deux main à l'horizontal et détourna le regard. Que c'est triste de voir Shin comme ça, un autre jeune homme lui aurait sauté dessus mais pas lui.
" Hum... Non, je n'ai pas très bien compris et je ne veux pas comprendre. Je veux juste sortir d'ici !"
EDIT Lily : Merci de modifier le titre du sujet, il n'est pas conforme au réglement & Maria vient de te faire la remarque :3.
Shin me tournait le dos et j’en profitai pour me glisser discrètement derrière lui. Je passai mes deux mains sous ses bras et le serrai contre moi, posant ma tête sur l’une de ses épaules.
« Je suis désolée, je ne voulais pas… »
Je m’interrompis, caressant son torse.
« Tu es sûr que tout va bien ? »
En tant normal, je serais déjà partie sans me soucier de lui, mais cette fois-là, c’était différent ; il n’y avait que lui et moi dans le couloir, personne d’autre à qui faire des avances.
Dernière édition par Akuro Marubeni le Lun 18 Juil - 9:58, édité 1 fois
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Un fou ? Non, Shin Yoshii !
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On se croirait dans une des revues de Shin. Elle lui tient donc le dos, il est maintenant prit au piège. Il ne se connaissait même pas, et ils y sont déjà là. Quelle lycée extraordinaire, ou plutôt quelle malchance pour ce pauvre garçon qui doit résister le plus possible à ses avances.
- Ah, c'est rien... Ce n'est pas toi !
Elle commença à lui caresser le torse. Et, il ne s'empêcha pas de crier de rire. Était-ce la fin, pour ce petit puceau qui n'a pas encore gouter à la vie ?
- Ne me caresse pas ! Je crains cette endroit ! Qu'est-ce que je t'ai fait ? Tu veux vraiment pas me lâcher ?
Il était en fait très heureux mais, Shin ne veut pas continuer !
Je le lâchai et me reculai doucement. Je m’adossai au mur en face de lui et m’assis en tailleur.
« C’est bizarre, vu ton physique, cela m’étonne. »
Je l’observai durant un long moment, me mordillant les lèvres, consciente d’avoir fait une bêtise.
« Tu sais, si tu ne veux pas le faire, ce n’est pas grave, c’est juste que… »
Je n’achevai pas ma phrase tout simplement parce que je n’avais pas vraiment envie de raconter ma vie à qui que se soit et encore moins à un sinistre inconnu.
Dernière édition par Akuro Marubeni le Lun 18 Juil - 10:01, édité 1 fois
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C'est un éternel puceau si j'ose dire, non pas vraiment. Il le fera en temps voulu mais rencontrer une personne qui ose lui faire ça ? C'est la première fois.
- Je ne l'ai jamais fait ! Héhé
Avec un grand sourire, il savait, il pouvait le faire cependant, il n'était pas de ce genre là. L'amour est la plus grande passion. La passion amène au sexe !
- Ben, c'est vrai mais, je veux le faire avec quelqu'un que j'aime.
Puis, en quoi ça la regarde. Normalement on en parle avec des amis, des garçons pas des filles, cela le rendit encore plus rouge qu'il ne l'était auparavant.
- Je n'ai rien contre toi mais, restons en là. Restons amis si tu le veux bien ?
Et c'est ainsi que naquis la naïveté de Shin. C'est quelqu'un étant fragile, il pense que l'on peut devenir ami après ça. C'est un pauvre garçon !
Je ne comprenais pas. Que signifiait le verbe « aimer » ? Je posai ma tête sur mes genoux, la cachant sous mes bras. Je ne comprenais pas.
« Shi-Shin, c’est-c’est quoi ai-aimer une personne ? »
Je voulais savoir, je devais savoir pourquoi il avait refusé de coucher avec moi parce qu’il voulait le faire avec la personne qu’il aime. A partir de quel moment aime-t-on une personne ?
« Si-Si je deviens ton amie, alors tu-tu m’aimeras ? »
C’était bizarre, je n’étais pas dans mon état normal. Son refus n’avait pas causé de la haine en moi, mais plutôt… pourrait-on parler d’une prise de conscience ? Oui, c’était cela, sa réponse m’avait fait réagir anormalement. J’étais alors en train de réfléchir à ce qu’avait été ma vie avant mon arrivée au lycée.
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Le destin. Nous croyons conduire le destin, mais c'est toujours lui qui nous mène. Phrase forte en sens, n'est-il pas ? Phrase que chaque entité devrait doctrine que chaque homme devrait s'assurer de suivre. Sentence complètement stupide mais, Shin le suit. Il y croyait. L’existence d'un être supérieur, guidant chacun de ses pas. C'est peut-être pour ça qu'il venait de faire cette rencontre. Pour faire partager l'amour, un sentiment que beaucoup de personnes ignorent ! Aimer c'est difficile de donner une définition.
- Aimer, c'est ... Prenons un homme et une femme. Ils s'aiment. Mais qui aime qui ? L'homme aime la femme parce qu'elle lui renvoit une image de lui qu'il aime. Ce n'est pas l'autre que l'on aime mais soi au travers de l'autre. Egoiste ? Non ! Réciproquement la femme aimera l'autre en fonction de cette image qui lui plait à recevoir de l'homme. On en revient au phénomène du miroir. L'autre est un miroir de soi, il nous renvoit une image, bien souvent inconnu, inconsciente pourrait-on dire...
Wooww ! Shin semble-t-être un philosophe? Non, il est loin de là. C'est juste une partie du dictionnaire modifier par ses soins. Cependant, cela pourrait faire réfléchir Akuro.
- Je pense que nous sommes déjà amis, tu ne penses pas?
Il est d'un naturel comme ça Shin. C'est ce qui lui fait une bonne réputation.
Jeme levai, attrapai la main de Shin et gambadai joyeusement dans le couloir.
« Shin est l’ami d’Akuro. »
Je m’étais mise à parler comme un enfant, sans trop savoir pourquoi. Je m’arrêtai, n’étant pas sûre d’avoir tout compris. Je ne lâchai pas sa main.
« Est-ce qu’Akuro est le miroir de Shin ? »
Je ne parvenais décidemment pas à parler comme il le fallait. Etait-ce là Shin qui me faisait cet effet ? Etait-ce simplement dû au fait que je m’étais enfin fait un ami ?
Dernière édition par Akuro Marubeni le Lun 18 Juil - 11:51, édité 1 fois
* { Sushis-Kun } *
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Suite à son attitude, qui pouvait légèrement passer pour imprudent, il souligna qu'il était véritablement son ami. Maintenant, qu'il était prit dans un cercle sans fin il ne pouvait donc plus reculer. Ce n'était nullement de l'impolitesse - du moins, de son point de vue - ou d'un manque de confiance. Simplement qu'il était comme ça. La seule chose qui mettait mal à l'aise Shin, c'était la question de Akuro. Déjà, qu'il était piégé par cette jeune demoiselle, il était obligé de répondre à la question.
- Ben... Tu peux me voir comme tu le veux. Tu es la première personne que je rencontre et, que je trouve sympas. Tu es mon ami.
Faisant mine de faire une mise au point, il continua son chemin main dans la main.
Nous marchâmes dans le couloir, main dans la main. Je ne pouvais m’empêcher de sourire.
« Shin tout à l’heure, tu étais perdu ? »
Je venais enfin de reprendre mes esprits et parvint à nouveau à parler comme une adolescente normale.
« Où allons-nous, maintenant ? »
Je ne voulais pas m’éterniser dans ce couloir car, après tout, les cours avaient déjà commencé et l’heure de la pause allait bientôt sonner et je ne voyais pas vraiment comment nous pourrions justifier notre absence en classe.
* { Sushis-Kun } *
Un fou ? Non, Shin Yoshii !
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Dans la vie, nombreuses sont les choses susceptibles de vous contrarier. Cependant, quand on connait Akuro je ne pense pas qu'il est possible d'être contrarié. C'est ce que ressent Shin. Durant cette discussion, il n'avait pas remarquer qu'il était perdu et que les minutes passaient très vite. Les heures de colles étaient quelque chose de magnifique, selon le jeune homme. Du moins, quand c’était pas lui qui les récoltait ! En l’occurrence, Shin allait être collé mais bon il faut voir la vie d'un autre côté.
- Hum... Ouais... J'étais perdu ! Je pense qu'il faudrait qu'on aille manger. Tu as quelque chose ?
Le gentleman est de retour et son porte-feuille aussi ! Il était temps d'aller mangé ! Le ventre de Shin grognait comme un éléphant !
« Euh, non, je… c’est pour cela que je voulais… euh, enfin tu vois. »
Je lâchai la main de Shin et baissai la tête, soudainement gênée. Je ne voulais surtout pas abuser de sa gentillesse.
« Mais bon, ce n’est pas grave, je n’ai pas très faim. »
Comme pour me trahir, mon ventre se mit à gargouiller aussitôt.
« Euh, je… »
Je ne savais plus quoi dire. Pourquoi ne pouvais-je décidemment pas mentir sans que quelque chose ne fasse que je sois découverte aussitôt ? Je repris la main de Shin dans la mienne et recommençai à marcher à ses côtés tout en lui souriant.
* { Sushis-Kun } *
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Fermant les yeux, plongé dans une imagination... Il rêvait de nourritures, un grand sourire aux lèvres... Il était temps de sortir d'ici et d'aller manger un bout ! Voyant que elle n'avait rien préparé pour déjeuner, Shin s'empressa de reprendre la main de Akuro. Son ventre gargouillait aussi. C'était mignon de voir ça de la part d'une jeune fille.
- Allons manger ensemble ! C'est moi qui régale !
Temps qu'il ne mangeait pas seul, Shin s'en foutait royalement de payer. De plus, c'est un bon moyen de passer inaperçu.
Muruta venait de sortir de l'infirmerie après une brève discution avec sa tendre femme sur les notes qu'avaient obtenu Maria. L'un était pour la récompenser, l'autre, trouvait que ce n'était pas encore assez! Raaah... Qu'elle papa poule celui là! Toujours à récompenser sa fille à la moindre occasion...
C'est alors que plongé au beau milieu de se pensées, celui-ci s'arrêta net. Non pas qu'il fut saisi d'une vive douleur à la jambe (comme ce fut le cas il y a peu), mais bien parce que son regard fut totalement absorbé par un bel et beau jeune homme. Celui-ci était le favoris du directeur, son "mignon" attitiré, sa femme le savait, mais cela ne la dérangeait pas, pour la simple et bonne raison qu'elle en profitait aussi!
Vous n'êtes pas sans savoir que notre bon Muruta, n'était ni vraiment une femme, ni vraiment un homme, ses penchants sexuels s'en voyait grandement troublés, le fait d'être avec un homme, n'était donc pas plus dérangeant qu'avec une femme!
"Tiens tiens... Alois" Dit-il d'une voie chaleureuse, avant de regarder sa montre, celle-ci indiquait 14h31, à cette heure-ci la plus part des élèves étaient en cours, mais bien entendu Alois se croyait tout permis! Et chacun dans le lycée connaissait les faveurs qu'il avait auprès du directeur et donc, nul n'osait lui dire quoi que ce soit... Les rumeurs à son sujet voulaient qu'il soit le fils caché de Muruta avec une "autre femme", bien entendu, c'était totalement faux! Même si Muruta éprouvait à vis à vis de ce garçon beaucoup de tendresse et surtout, beaucoup d'admiration!
"Ne devrais-tu pas être en cours à l'heure qu'il est?"
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Sujet: Re: Dans les couloirs Sam 25 Fév - 20:54
Alois se baladait encore une fois dans les couloirs mais pour une fois pour une bonne raison car ses professeurs savent qu'il séchent casi tout le temps, son prof lui demanda d'aller photocopier des trucs et de le lui rapporter et ensuite d'aller au secrétariat. En tourant dans le couloir le jeune homme remarqua Muruta, le directeur de l'école, " oops il va encore me dire d'aller en cours pffff" pensa-t-il.
" Oui monsieur mais là j'ai une excus-"
Il ne put finir sa phrase qu'il eut une bonne idée en tête étant donné qu'il a mit son mini-short et qu'il a des photocopie dans les bras, il allait joué de lui un peu. Il fit tombé les feuilles à terre et et se baissa pour les ramasser mais de manière à se que Muruta ait une magnifique vu sur son sublime postérieur superbement bien moulé par son shorty. Tout en souriant il rammassait les feuiles avec un doigté presque erotique tellement il y allait fort des ses gestes. Après avoir ramasser les feuilles il regarda Muruta gétant une réaction de sa part.
" Je vais retourné en cours le prof a besoin de ses feuilles"
Lorsque Alois se pencha, il ne put s'empêcher d'observer son magnifique corps, ainsi que ses jolies fesses, bien fermes. Des idées farfelues lui parcourut deux secondes la tête, où n'était-ce que de vieux souvenirs? La façon qu'il avait de ramasser les feuilles, avec tant de légerté à la fois, mais aussi tant de délicatesse le séduit d'avantage.
Celui-ci se serait bien abaissé pour l'aider à ramasser le tout, mais son statut de directeur faisait qu'il ne pouvait se rabaisser à cela, il attendit donc, silencieusement qu'Alois se releva.
" Je vais retourné en cours le prof a besoin de ses feuilles" Dit Alois rapidement. Cela ne lui ressemblait pas, d'habitude il aurait tout fait pour être le moins en cours possible, voir aller jusqu'à séduire Muruta et obtenir de lui de longue conversation aussi incensée qu'insignifiante mais fortes en émossion. En effet, bien que ni l'un ni l'autre ne put jamais l'avouer, ils passaient leur temps à fleurter.
"Attends Alois!..."Lacha-t-il peu de temps après qu'il se mit à macher en directeur de sa classe.
"Ton prof... Peut bien attendre quelques petites minutes, je me trompe? Tu n'auras cas dire... que tu étais avec le directeur"...
En temps normal, Muruta ne se serait jamais permis de faire cela, mais à cette heure-ci les couloirs étaient desert et les classes fermées, nul ne pouvait donc les surprendre.
"Allons, donne moi tes feuilles, j'irais personnellement... les donner tout à l'heure."
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Sujet: Re: Dans les couloirs Sam 25 Fév - 21:25
Alois commençait a partir et compta jusque 3 en tête et Muruta l'interpela pour le faire rester un peu. Alois sourit directement puis effaca son sourire de joie par un sourire très pas catholique.
" Bien sur le cours vient à peine de commencer il peut bien attendre" lui fit-il en se retournant comme si il était sur une scène de streap-tease et se rapprocha de Muruta en se dandinant comme à son habitude.
Quand il arrivat à hauteur de Muruta il lui tendit les feuilles tout en marchant mais fit genre de tribucher et lacha les feuilles et tomba sur Muruta. Alois toucha alors les parties intérressantes de Muruta soit disant sans faire exprès.
" Oh désolé monsier je n' ai pas fait exprès, j'ai encore fait otmbé les feuilles"
Il s'abaissa et leva un peu son pull pour que Muruta ait une petite vu sur la marchandise caché de son shorty et ramassa les feuilles pour la deuxième fois et les tendit à Muruta.
( fait genre que tu te coupe avec une feuille j'ai une idéé )
Muruta regarda le jeune homme se dendiner d'un drôle d'air...
Un peu comme cela ->
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
*Il... nous fait quoi là?!*
Certe, ce n'était pas la première fois qu'il le voyait à l'oeuvre, mais à chaque fois cela lui semblait... étrange! Quel genre de personne se dendine de la sorte mis à part Bill Kaulitz de Tokio Poubelle, heu... Hotel! Mais au moins Alois lui avait de la classe! Mais qui dit étrange, ne nuit pas forcement à sexy!
Et soudainement, alors que le jeune garçons s'approchait du directeur pour lui donner les feuilles, Dieu seul sait comment, il trébucha et se retrouva sur Muruta, une main posée sur son torse et une autre... sur un endroit qu'il ne serait pas très catholique de citer. Sur le coup, il fut très surpris et inquiet! Non mais si quelqu'un les avait vu! Il regarda donc vite autour de lui mais ne n'apperçut pas une seule mouche volée! Ouf... la catastrophe était évitée, maintenant que le stress était partit, il pouvait profiter pleinement de cette situation exitante. Mais tout de même, il savait se contrôler, bien que d'un autre côté, des idées tordues lui traversait l'esprit ¬¬
Une nouvelle fois, il regarda Alois ramasser les feuilles d'une façon très stimulante. Mais, ne pouvait le laisser dans cet état d'avantage, il s'abaissa, et tendit sa main à Alois pour l'aider à se relever et lui souria.
"Tu m'as l'air bien étourdit aujourd'hui, mais mis à part cela... Tu es toujours aussi caliente." De peur que quelqu'un n'entende la discution, il avait baissé à la fin le ton de sa voie, de sorte que seul Alois puisse entendre ce compliment.
Par la suite, après avoir pris les fuilles du professeur, il s'approcha d'Alois, se pencha légèrement et lui chuchota à l'oreille très délicatement:
"Que dirais-tu de me rejoindre dans mon bureau? Mon petit Alois..."
HJ: La suite, on peut la laisser deviner, on se contentera de dire qu'ils partent dans le bureau huhuhu
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Sujet: Re: Dans les couloirs Sam 3 Mar - 12:46
Alois avait retiré délicatement sa main du pantalon du directeur pour ramasser les feuilles mais son plan pour le chauffer très vite est tombé à l'eau car il s'était baissé pour ramasser les feuilles avec Alois, qui lui fit un peit sourire. Alois entendit le compliment du Directeur et sourit légèrement comme pour signifier qu'il avait encore réussi à chauffer le pauvre Muruta. Aprés que Muruta lui ai chuchoté pour aller à son bureau. Alosi se retourna et faisant genre d'être offusqué par la proposition de directeur.
" Monsieur le directeur voyons, seriez-vous en train de me draguer ?" fit-il avec tellment d'offuscation dans sa voix que sa pourrait être réel.
" Puis-je d'abord déposer les feuilles chez mon professeur puis après je viendrais vous voir à votre bureau" lui expliqua-t-il calmement.
Alois se recula un peu pour signifier qu'il voulait d'abord déposer les feuilles.
"J'en ai pour deux minutes."
Il lui sourit puis voulu partir vite déposer les feuilles.
Muruta ne fut pas plus étonné que ça par l'offuscation du jeune élève! De plus, il trouva cela même amusant... Il savait pertinament que c'était pour "blaguer" et que cela entrait nottament dans un jeu de séduction.
"Il ne plait qu'à vous d'en conclure ce que bon vous semblera..."Lui réponda-t-il d'un air amusé.
Le draguant ouvertement, il ajouta après la question d'Alois:
"Du moment que Mr. ... ne vous retient pas trop longtemps, je n'y vois aucune objection. Je serais sinon dans l'obligation de sévir auprès de lui par jalousie."
Il regarda un moment le jeune homme s'éloigné pour ensuite se diriger lentement en direction de son bureau...