Le soleil se levait doucement sur le Lycée, Kyo tant qu’a lui était encore dans son bureau a travailler, il n’était pas aller dormir, ayant trop de dossier a terminer. Il avait passé une bonne partie de la nuit a remplir quelque documents sur la santé mental d’un élève, qui agissait très bizarrement. Il s’était préparer plein de café, les buvant assez rapidement chacun. Puis voyant le soleil se lever, il se leva de sa chaise pour sortir un peu, se dirigeant a sa chambre afin de prendre une bonne douche. Changeant de vêtements, il enfila un simple chandail bleu ainsi qu’un jeans bleu. Sortant alors de sa chambre doucement, il pris direction de son bureau alors d’un pas assurer, sentant une présence derrière lui, mais s’était surement une esclave qui s’en allait en cours. Il entra alors dans son bureau et sortie plusieurs dossier se remettant a travailler doucement, avant d’entendre frapper a sa porte, il cria simplement :

« Entrer. »

Il se demandait qui sa pouvait être il n’avait personne a son horaire a cette heure, mais bon sa pouvait être un imprévue il s’en foutait un peu, il aimait aider les gens.

Aujourd'hui, la journée est morose... Non, je crois que c'est moi qui ne suis pas trop bien. Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai l'impression de me sentir vide. Sans coeur quoi, s'il faut le dire plus simplement. On m'a dit qu'il y avait un nouvel infirmier qui écoute nos problèmes, mais euh il n'est pas payé pour ça non ? Je m'habille donc assez simplement, même si ma poitrine est encore et toujours exposé à la vu de tous. Monsieur Hitsu Kyo c'est ça ? Bah oui, je parle bien du psychologue de ce lycée.

Mes pas me mènent donc au troisième étage du bâtiment. J'hésite un petit moment avant de frapper à la porte. La voix qui me répond, me donnerait limite des frissons. Je pénètre donc dans la pièce non sans un bonjour et un petit 'excusais-moi'.

"Merci beaucoup." Je lui dis lorsqu'il me propose de m'asseoir.

Hum!!!! Pas mal le monsieur. Non Nana tu vas arrêter de toujours baver devant des mecs qui te plaisent visuellement. Regarde bien où c'est que cela t'a mené la dernière fois. Voilà qu'il commence à me poser de nombreuses questions. Il faut bien lui répondre je pense.

"Je m'appelle Nana Hayashi... Euh je viens vous voir, parce que je ne me sens pas très bien. Comment dire, vous savez les gens me trouvent très belle et il est facile de me manipuler, car je crois toujours au grand amour... Cependant, j'ai comme l'impression de me sentir vide, car dès qu'ils ont couché avec moi, c'est fini..."

Je lève la tête afin de pouvoir regarder le psy.

N’ayant pas dormit de la nuit, il avait deux poches sous les yeux causé par la fatigue, ses dossiers avait grandement avancé, avant que quelqu’un ne frappe a sa porte, il invita ensuite a rentrer et la fit s’assoir, avant de commencer par lui poser toute sorte de question, en faite c’était vraiment les questions de base, son nom, son problème majeur. Alors la jeune femme était un peu comme lui, il ressentait déjà un petit quelque chose envers la jeune femme, mais cette fois il ne tomberais pas dans le panneau. Il dessinait la jeune femme, commençant alors a dessiner, grâce a son imagination, le corps nue de Nana, elle était plutôt bien rouler. Quand elle lui parla de son problème, il ferma les yeux quelques secondes, se rappelant de la nuit, où la seule femme qu’il eut aimé, lui brisa le cœur, a se moment une simple larme coula le long de sa joue. Il rouvrit les yeux et fixa alors attentivement Nana, avant de poser ses genoux au sol et de laisser tomber son cahier ouvert au sol, de fait sans le vouloir Nana put voir, puis il attrapa sa main doucement en fixant son regard :

« Je comprend votre problème, moi-même j’ai déjà se genre de problème et désoler du dessin au sol, c’es…c’est un…simple hobby, bref pour votre problème, pourquoi ne simplement pas fermer votre cœur, ainsi la souffrance vous arrêterai de la subir. »

Se levant alors doucement et viens s’assoir doucement sur son fauteuil derrière son bureau en fixant toujours Nana en soupirant, qu’est-ce qui lui arrivait? Cette femme avait le même effet que son ancienne enseignante, quand il était tomber amoureux d’elle. Il se mit a dessiner quelque chose de différent, mais finalement le visage de Nana réapparut. La fixant toujours dans les yeux, un sourire aux lèvres.

Non je dois rêver... Je viens de lui raconter mon problème et lui, bah il verse une larme. Qu'est-ce que je dois penser de ce comportement ? Bah, oui on dirait presque qu'il se fout de ma gueule en agissant de la sorte. Enfin, peut-être que je me trompe et qu'il a une raison bien valable. Je passe quand même le fait qu'il vienne de me dessiner toute nue. Pervers... Et oui, c'est le seul mot qui me passe par la tête à l'instant même. Tranquillement, j'écoute son conseil en haussant un sourcil.

"Fermer mon coeur ? Hummm, oui c'est peut-être un bon conseil cependant,...."

Je m'arrête, cherchant des mots pas trop blessant pour lui exprimer mon ressentit. Je ne suis pas une de ces personnes sans coeur. On m'a élevé pour être respectueuse et gentille, alors devenir comme ça c'est la fin du monde. Bon ok j'exagère peut-être un peu, beaucoup.

"Vous savez Monsieur Hitsu, mais on va dire que cela me ferait plus mal de me fermer. Je ne peu pas me replier sur moi-même."

Sur ces mots, je souris gentiment avant de rajouter d'une voix moqueuse.

"J'ai bien aimé votre dessin. J'ai autant de poitrine ?"

Le passé, pourquoi toujours y revenir? Kyo avait de la difficulté a ne pas y penser, se moment où il avait tout dévoilé a une personne qui avait rit de lui. Il s’était retrouver seul en peu de temps, elle n’avait voulut que du sexe c’est tout. Bref, il reviens alors a lui en fixant doucement la jeune femme, pourquoi se sentiment revenait, allait-il vraiment retomber en amour, surtout avec une jeune femme qu’il venait de rencontrer? Il était totalement perdu dans ses pensés les plus profondes, son cœur allait lui jouer encore un tour et lui faire mal. Il finit par revenir a la réalité, écoutant la jeune femme, vrai qu’elle n’était pas vraiment comme lui, lui il avait eu beaucoup de difficulté a le faire, mais il avait réussit, pourtant il avait souffert. Il écouta alors la femme parler en souriant un peu, se grattant la tête en regardant la poitrine de Nana et celle du dessin, en effaçant un peu, puis se met a redessiner a l’échelle parfaite la poitrine, avant de lui dessiner des vêtements, puis fixe alors Nana dans les yeux :

« Ainsi mon dessin est un chef-d’œuvre, une telle beauté qui ensorcelle tout ceux qui la regarde, une…beauté qui fera battre le cœur d’un homme , et qui fera battre votre cœur, désoler de ne pas pouvoir vous aidez sur se point, mais je….mon cœur est fermé alors je ne connait rien a se sujet. »

Je penche ma tête sur le côté, mon regard scrutant toujours le psy. Qu'est-ce qu'il est en train de faire sur le dessin ? Ahhh d'accord, il est en train d'arranger ma poitrine. Je me disais bien que j'en avais pas autant, même si je dois dire que je suis bien gâtée par la nature. Bon, je vais arrête de vanter les mérites de mon corps.

"Votre cœur est fermé ?"

Pourquoi je ne peux pas me taire pour une fois ? Si ça se trouve, cette question va vraiment le mal à l'aise. Je ne suis qu'une élève qui plus est, alors il ne faut pas que je fasse comme les adultes. Bon, ok j'avoue que là c'est une excuse complètement pourri que je viens de trouver à l'instant... Cependant, il a l'air si malheureux que j'en ai mal au cœur. Bah euh... J'ai toujours été sensible au ressentiment des autres personnes, voici donc une autre raison pour ne pas me fermer.

"Vous savez, vous pouvez vous confier à moi. Certes, je suis une élève, mais euh il faut savoir de temps en temps s'ouvrir."

Je me sens rougir tellement j'ai l'air bête comme ça.