Le voyage avait était long depuis Shinjuku. Mais maintenant qu'elle était arrivée, Leiko s'amusait. Plus de parents sur le dos, elle se sentait plus libre de toute ses actions. Malgré tout, il restait encore le problémes des pions et des profs... Mais ça, ça peut encore s'arranger. Elle arrivait dans son dortoir, cherchant sa chambre. Depuis les quelques jours qu'elle était là, elle n'était jamais aller dans sa chambre. Et maintenant qu'elle voulait s'y reposer... Elle se perdait.

« Roh fais chier ! Et puis j'suis quelle chambre deja ? »

Elle sortit le petit carnet de note et fouilla dedans. Classe, nan c'est pas ça ; Compagnon de chambrée, pas ça non plus ; Numéro de chambre ! Voila ! Numero... 9. Bon maintenant faut la trouver c'te saleté de chambre n°9... Elle passa en revue tout les chambres en soupirant. 2, 4, 1, 8, 9 !

« Yeah ! Bon qui c'est cette ? Ken... Roh et puis merde ! »

Elle ouvrit la porte et rentra dans la chambre. Personne ? Elle inspecta la chambre et se rendit compte que sa valise n'était pas defaites. Elle la prit et la vida en soupirant dans son etagere.

Leiko finissait de ranger ses affaires et se preparait a aller a la douche. La porte s'ouvrit, la faisant sursauter. * Oh ma copine ! Han j'ai une belle fille qui dort avec mouaaah... Nan nan, je vais la traumatiser... Du calme Leiko * Elle lui sourit et lui tendit a son tour sa main

« Leiko Hako Torgash ! Enchantée ! A moins que... Nan j'ai rien dit... »

Leiko regarda attentivement Kenshi. Elle était bien habillée, sobre. Et elle... Elle avait une drôle de tenue... Elle avait mis son bustier rouge et avait mis en dessus une mini-jupe avec un leggings en dessus. Puis elle avait pris ses converse noir pour finir le tout.

« Dis-donc, c'est pour moi que t'es sur ton trente-et-un ? »

Leiko eut un sourire cynique en voyant l'air interloquée de sa camarade de chambre. Kenshi était deja en train de rougir, elle n'imaginais même pas plus tard, quand la jeune rose se laisserais vraiment aller. Elle rigola a la remarque de sa camarade de chambrée et leva les yeux au ciel.

« Tu sais avec moi, les trucs etranges et bizarres, tu risques d'en voir tout les jours Ken-chan ! »

Han ça lui plaisait bien Ken-chan comme surnom. Elle le nota dans un coin de sa tête. Puis elle regarda Kenshi, celle-ci semblant pensive. Leiko en profita pour se diriger vers son etagere et sortit le revolver qu'elle avait dans la poche. Elle le posa sur la plus haute tablette en activant le cran de sureté. Kenshi parla et tout en prenant des habits pour se changer, elle repondit.

« Quelque de chose de volumineux et dangereux... Un sabre ? La chambre n'est pas trés grande et a part a côté de ton etagere, nan je vois pas... »

Elle s'asseya sur son lit et tout en se deshabillant, elle se perdit dans ses pensées. Le Lycée semblait être plein de mystéres. En premier lieu, la famille de deglinguée du cerveau qui sert de famille directrice... Ensuite, les professeurs un peu bizarres, la plupart d'origine inconnue, et certains... Voila quoi. Puis vient les surveillants. Entre un qui sert de rock star a des filles en manque et une autre complétement intoxiquée...

Leiko sortit de ses pensées en secouant la tête. Desormais en sous-vetement elle se rhabilla avec des vetements propres.

Les mots de Kenshi la fit sursauter et elle la regarda les yeux ecarquillés. Elle avait donc vu juste. Il faut dire que quelque chose de volumineux et dangereux ne peut-être guére grand chose a part un ou des katanas ou encore un snipe de haut niveau.

« Il faut dire que quelque chose de gros et dangereux, a part un gros con, je vois pas ce que ça pourrait être d'autre.. » rigola -t-elle en regardant Kenshi deballer une valise devant elle.

Elle enfila un T-Shirt couleur sable avec un short court en jean clair, tout en examinant le contenu de la valise de Kenshi. Un materiel de pro. Effectivement, on pouvais qualifier tout ça de volumineux et de dangereux. Elle prit un katana en main et l'examina plus precisement. Il etait assez long, un peu plus que la moyenne, et trés leger pour un simple sabre. Elle souria en le reposant dans la valise. Elle eclata de rire a la remarque de sa camarade de chambre.

« Sachant que je connaissait pas ma camarade de chambre, j’ai préférée les cacher... »

Elle se mit a plat ventre par terre en face de son lit et fouilla dessous ce dernier avec sa main. Puis elle en sortit une valise blanche et la posa sur son matelas. Leiko l’ouvrit avec delicatesse et s’ecarta pour laisser sa camarade admirer son materiel. A l’interieur se trouvait un snipe permettant d’abattre une cible a plus de 500 métres, sans se faire reperer ; cinq ou six Eagle Magnum 22, ces armes préférées, légéres et assez efficace ; un Beretta 92 qu’elle avait reussi a piquer a quelqu’un (mort d’ailleur...) & un HK MP5K, un fusil mitrailleur, qu’elle n’utilisait que très rarement. Elle n’avait qu’une partie de son artillerie, ayant dut laisser une dizaine d’armes a son informateur, qu’elle irait voir dans pas longtemps pour aller les recuperer.

« Je n’ai pas qu’une seule arme, celle que j’ai posée sur mon etagére et juste celle de tous les jours, un Steyr M pistol. Et dans cette valise il me manque pas mal d’autres que j’ai laissée chez quelqu’un pour pas paraître trop suspect. Il me manque entre autres quelques katanas que j’adore... » rigola-t-elle, esperant bien voir l’etonnement sur le visage de sa camarade.

Puis elle regarda Kenshi se changer. Elle était heureuse, sa camarade de chambre n’était pas plate... Ni d’ailleurs coincée du cul ni autre chose. Si elle se serait retrouvée avec une intello ou une bizarroïde timide, elle serait devenue folle en quelques minutes... La, elle dormait dans la même chambre qu’une jolie jeune femme assez belle, faut-il l’avouer, aux formes genereuses mais pas trop (faudrait pas qu’elle soit plus belle que Leiko voyons !). Puis Kenshi revint vers Leiko, un katana en main et se presenta plus en profondeur. La jeune femme se releva et afficha un grand sourire satisfait. Elle se presenta a son tour sous une forme moins sympathique. Son sourire disparut et son regard se fit dur, son ton tranchant.

« Leiko Hako Torgash, grande maitrise des armes à feu les plus complexes, Tueuses à gages, a ses heures perdues dealeuse et trafiquante de drogues, organes humains et tout autres genres de choses, très rarement informatrice. Enchantée. »

Je sourais, satisfaite de la réponse de ma camarade.
Cette cohabitation s'annonçait bien, une belle fille, folle des armes également... humm ça allait être agréable. Je bavais à moitié devant toutes les armes de Leiko, avec un peu de chance on pourrait faire armurerie commune.Je souriais un peu comme un chat à cette idée. Je t'entais de
me retenir mais ... Je sautais sur les mains de Leiko pour les mettre collées l'une à l'autre avec les miennes par dessus,comme pour prier et ...

" Oh pitié laisse moi utiliser tes armes et je te prêterai les miennes !!!! On se connait vraiment maintenant ! En plus tu as vu la << personnalité >> que je ne montre que quand je suis de sortie nocturne "

Je faisais des yeux de chien battue espérant l'amadouer au moins un peu... Entre obsédé de la machette on peut bien se filer un coup de main...

Leiko souria en voyant l'emerveillement de la jeune femme. Pari gagné... Elle bavait litteralement dessus. La jeune femme eclata de rire et s'asseya en tailleur en face de la malle. Puis elle prit un Magnum et defit le cran de sureté. Elle verifia qu'il n'y avait pas de balle dedans et passa une tige en fer dedans. Puis soudainement, Kenshi lui sauta dessus, l'obligeant a lacher son arme et lui demanda de lui preter ses guns. Sa premiére reaction fut le recul et elle ecarquilla les yeux.

« Nyeh ? » demanda-t-elle en se collant a son matelas.

Puis un sourire apparut sur les lévres a Leiko. Elle prit un air refléchi et soupira.

« Je veux bien. Mais c'est pas gratuit... Et je veux pas d'argent... » repliqua-t-elle avec un sourire malsain

Il semblerait que je l'ai un peu effrayé, dommage. Quand... hu ? Pas gratuit mais pas d'argent ? Je la regardais d'un air coquin, j'avais très bien compris mais ne pensais pas avoir ce genre de relation avec elle. J'aurai voulu jouer un peu avec elle avant ça, d'un autre côté ça briserais la glace. Je continuait de la regarder sans rien dire, réfléchissant à sa réponse. Je m'approchais d'elle doucement, plaçant mon visage à quelques centimètres du sien, la regardant dans les yeux je prenais une voix suave.

« On verra le règlement de l'emprunt en temps voulu ma jolie, si t'es sage y aura même des intérêt. »

Je lui fis un clin d'oeil avant d'éloigner mon visage et de ranger mon armurerie sous mon lit.

Son regard se fit plus perçant et elle decrypta chaque mouvements, chaque moues du visage de sa colocataire. Elle y lut d'abord la deception, puis un air coquin prit la place sur son visage. Elle semblait reflechir. Le sourire de Leiko s'agrandit et elle posa ses mains derriére elle, s'appuyant dessus. Le beau visage de Kenshi était assez prés de celui de la jeune femme pour qu'elle puisse la voir plus precisement. Ses grand yeux bleus étaient assez magnifiques, et sa peau ne comportait aucune imperfection. Ses lévres étaient pulpeuses et appellait au desir. Leiko sourit quand sa camarade rapprocha son visage du sien. Un reglement ? Mais Leiko n'avait pas de reglement à suivre... Elle se releva a son tour et se rendit compte qu'elle s'était rhabillée étant sale... Elle soupira et se dirigea vers sa valise pour prendre une serviette et son gel douche.

« Bon, je go prendre ma douche. »

Puis elle rentra dans la petite piéce qui sert de salle de bain. Elle se deshabilla et rentra dans la douche. Elle alluma l'eau chaude et se mit dessus, poussant un soupir d'aise.

Je la regardais prendre le chemin de la salle de bain. Elle avait un superbe fessier comme je les aime, de belles et longues jambes (bien qu'elle même ne soit pas bien grande). Elle disparaissait derrière la porte, j'hésitais à la rejoindre, après tout on ne se connaît pas vraiment mais ... J'attendais que l'eau de sa douche coule, j'ôtais mes vêtements et entrait sans bruit dans la salle de bain. je l'entendis pousser un soupire d'aise, ce qui me donna d'avantage l'envie de la déranger. J'entrais, me plaçant derrière elle, posant mes mains sur ses hanches je suis murmurait au creux de l'oreille.

« Il reste encore un peu de place pour moi ma jolie ? »

Je commençais à l'embrasser dans le cou sensuellement en attendant sa réponse.

L'eau coulait le long de sa peau, parcourant doucement chaque parcelle de son corps. Elle aimait sentir la chaleur prendre son corps et se l'approprier. Elle mit le pommeau de douche sur le truc qui tiens la douche et s'appuya sur la paroi vitrée. Un nouveau soupir sortit de sa bouche. Elle entendit la porte s'ouvrir et un petit sourire apparut sur ses lèvres mouillés. La paroi derrière elle, s'ouvrit et Kenshi entra dans la douche avec elle. Elle hocha la tête en soupirant.

« Y'a toujours de la place avec moi... » dit-elle d'une voix calme.

Un frisson de surprise la parcourut quand elle sentit la jeune femme se placer derrière elle et lui embrasser le cou.

Je pris une de ses mèches de cheveux et la fit glisser dans mes doigts, je respirais son doux parfum. Déplaçant ma main de son bassin jusqu'à sa poitrine je me mis à lui pincer les tétons, de l'autre main je lui caressais la cuisse.

« Quelle jolie rencontre, ma belle Lei-chan. »

Je lui léchais lui cou, agrippait son sein et le massait sensuellement. Ma main droite remontait de la cuisse, je titillais son clitoris et observait les réactions de ma partenaire avec un sourire coquin.

Ne savant pourquoi, lorsque les mains de Kenshi commencérent a decouvrir son corps, elle rougissa. Peut-être parce rien n'avait jamais été aussi rapide avec une femme. Elle oublia presque son instinct de domination, se laissant completement aller. Un soupire d'aise la fit frissoner. La main fine de sa colocataire se posa sur ses seins alors que la deuxiéme alla se loger pres de son intimité. Elle soupira a nouveau.

Mais son esprit de domination ne pouvait pas rester longtemps eteint. Elle remonta une de ses mains vers le visage de son amie qu'elle approcha un peu plus a côté du sien, et l'autre alla se loger prés de celle de Kenshi, vers ses cuisses. Elle caressa le dos de sa main et accompagna ses gestes, ses doigts posées sur les siens.

J'aimais beaucoup cette situation, avoir le contrôle d'une personne qui semble si dominatrice est tout simplement jouissif. Je sentais que mes gestes ne la laissait pas indifférente, ce qui m'encourageait à continuer. Elle avait un corps si alléchant, une poitrine ronde et ferme, des formes parfaitement dessinées, passer mes mains sur ce chef d'oeuvre m'excitait. Elle essayait de reprendre le contrôle en posant une main sur la mienne et l'autre sur mon visage, elle était si mignonne à tenter de me dominer que je décidais de la laisse un peu en profité. Je continuais de titiller son intimité en lui mordillant le lobe de l'oreille. La main que j'avais posé sur la poitrine lui pinçait le téton, le tirait légèrement, je jouais de différentes façons avec ce petit d'elle. Je m'amusais à lui murmurer au creux de l'oreille.

« Ta peau est si douce, ta poitrine si belle. Leiko, à présent tu es à moi. »

J'essayais de la faire réagir, voir jusqu'où je pourrais la pousser avant que son instinct reprenne complètement le dessus. Cela me faisait rire intérieurement, je l'observais de mon air de dévergondé que si peu gens me connaissent. La petite Leiko n'est pas si méchante qu'elle souhaiterait le faire croire finalement. C'est vrai, je commençais à apprécier beaucoup ma compagne de chambre.

Leiko commençait a vraiment accepter de se faire dominer. Tout son corps semblait prendre avec joie la domination de sa camarade de chambre. Sentir ses mains sur son corps, son souffle chaud dans son cou, ses lévres prés des siennes. Kenshi savait si prendre, et elle semblait y mettre toute l'application du monde pour faire plaisir a sa colocataire. Le plaisir commençait a prendre doucement chaque partie de son corps. Son esprit de dominant se perdait loin dans sa tête. Mais comment elle aurait put rester stoïque aux paroles de Kenshi ? Son sourire reapparut bien vite et elle ne bougea plus pendant quelques secondes.

« A toi ? & depuis quand j'appartiens à quelqu'un ? » demanda-t-elle un sourire malicieux aux lévres.

Elle attendais sa reponse avant de faire quoique se soit, pour l'instant, elle se contentait d'apprecier le moment...

Elle commençait enfin à réagir, je pouvais commencer à m'amuser vraiment avec elle. La partie s'annonçait gagné d'avance alors je souriais en voyant que Leiko commençait à redevenir celle que j'avais rencontré quelques minutes plus tôt. A sa réponse le passait ma langue sur mes lèvres avec un regard plutôt pervers. Je cessais de caresser sa poitrine pour déplacer ma main sous son menton pour lui relever le visage vers l'arrière, ma langue passait le long de son cou et j'enfonçais deux doigts dans son vagin

« Depuis quand ? Et bien depuis que j'ai décidé de faire de toi mon jouet. Amuse moi, c'est ton nouveau rôle. Du moins, c'est ce que j'ai décidé pour l'instant. »

Sans attendre sa réponse je continuais mon jeu. Mes doigts commencèrent à faire des vas et vient tout en s'égarant parfois le long de son clitoris. Je mordais son cou, palpait sa poitrine à nouveau. Cette situation me plaisait beaucoup.

Elle devint soudainement froide pour me plaquer contre la parois de la douche. J'affichais un sourire malicieux et pleins d’excitation, je la laissais faire quand elle se mit à me mordre la lèvre comme une sauvage, je poussais un gémissement mêlant douleur et plaisir. Elle léchais ma plaie, ajoutant que cela serait ma punition pour l'avoir dominé. Son visage de menaçant ne faisait que faire monter le désire en moi. Le regard avide de sexe je la fixais attendant patiemment la suite.
Quelques secondes plus tard je sentais les doigts de Leiko pénétrer en moi et sa tête se s'installé dans le creux de mon cou, je pinçais mes lèvres et posais mes mains dans ses cheveux, resserrant mes doigts en fonction du plaisir qu'elle me procurait. Cette fois mon châtiment était bien plus agréable, je commençais à haleter, poussant des soupires de plaisir. Je sentais ses lèvres aspirer mon cou, les yeux à moitié fermé, je levais la tête vers le ciel et savourais cet instant. Ma voix trahissait cruellement ce que Leiko me faisait ressentir.

« J'aime tes punitions »

Je déplaçais ma main droite des cheveux de ma partenaire, faisant glisser d'abord mes ongles sur sa poitrine, je remontais dans son dos et les enfonçais d'un cou sec avant de gémir.

Un sourire carnassier aux lévres, elle sentait le souffle chaud de Kenshi sur son epaule. Sa voix tremblait d'excitation et de desier, trahissant trop facilement son plaisir. Elle lui mordilla doucement le cou avec douceur, contrastant avec la violence qu'elle mettait dans tous ses gestes depuis quelques minutes. Puis soudainement, elle stoppa tout gestes, retira ses doigts de l'intimité de sa camarade et ouvrit la porte de la douche en enlevant tout eau chaude au robinet.

« Apprends a te controler cherie. » souriat-t-elle en prenant une serviette, la posant sur ses cheveux roses encore detrempés.

Elle connaissait trés bien le pire des chatiments dans ce genre de moment... Elle rentra dans la chambre en claquant la porte de la salle de bain. Elle s'habilla, mettant un debardeur moulant rose pastel et une jupe d'uniforme, tres courte, ne devoilant rien de se qu'il fallait devoiler. Elle attacha ces cheveux en une natte et revint vers la salle de bain. Leiko ouvrit la porte et fixa sa camarade encore sous le choc.

EE2C2C]]« J'y vais. J'vais recuperer mes katanas. Si je rentre pas tot ce soir t'inquiéte. » dit-elle refermant la porte derriére elle.[/center]
Juste avant de sortir de la chambre, la porte bien ouverte et gueula.

« Et la prochaine fois garde ta libido dans ton pantalon ! »

Leiko redevint sérieuse, elle retirait ses doigts et ferma le robinet d'eau chaude avant de lâcher quelques paroles et de s'en aller. Me laissant là .. sous l'eau froide. Je poussais un crie puis ferma le robinet, elle repassait dans la salle de bain pour repartir à nouveau. J'avoue que je ne comprenais plus très bien la situation, tout allait très bien, un peu trop peut être et elle me laisse là ! Si insatisfaite ! Ah non ! Je n'étais pas d'accord ! Je voulais riposter quand je l'entendis me lancer un « Et la prochaine fois garde ta libido dans ton pantalon ! » et la porte claquer.

« AAAAAAaaah ! Je te déteste Lei-chan ! »

Je sortais de la douche, sautait dans des vêtements de fille modèle. Et oui, aujourd'hui je ne travaillais pas ni ne sortait du lycée. Dommage, j'aurais voulu m'amuser.