Keiko Rubis

Invité Un fou ? Non, Invité !

Nom :Rubis
Prénom :Keiko

Âge : 16 ans
Sexe : C'est un garçon!

Statut : Lycéen

Lycée ou Orphelinat?: Lycée

Orientation : Archéologue

Biographie :
« Marre!... j'en ai marre Keiko ! La troisième fois en un an! Tu te rends compte! Ce n'est pas parce que ton père a les moyens de t'inscrire dans les meilleurs écoles que tu peux te permettre ce genre de comportement! »
Le jeune garçon assit à la table de la cuisine jouait négligemment avec un yen qu'il s'amusait à faire rouler entre ses doigts comme dans le film de gangsters. Sa mère faisait les cents pas de l'autre coté de la table, lui adressant sa diatribe à grand renforts de gestes amples, rapides et désordonnés.

« Tu vas voir!...tu va voir ce que ton père va te passer lorsqu'il rentrera! »
Tout soudain, le visage de Keiko s'illumina, il redressa la tête en serrant la pièce dans son poing, et, de l'air candide d'un enfant de bas age ( xD ), regarda sa mère pour la première fois depuis une bonne demi heure.
« Papa va rentrer?... quand?
- Dans une semaine, lui répondit sèchement sa mère en se saisissant d'une assiette sale qu'elle se mit à frotter énergiquement dans l'eau tiédie de l'évier. A l'évidence il s'agissait plus pour elle de passer ses nerfs que d'achever la vaisselle qu'elle avait précipitamment abandonné lorsque la secrétaire du directeur lui avait demandé de se rendre immédiatement au Lycée.

Le père de Keiko était responsable des succursales étrangères d'une grande firme automobile. Aussi, il passait les trois quart de l'année à voyager de part le monde, et lorsqu'il revenait à Tokyo, ce n'était que pour mieux s'enfermer dans son bureau au 45eme étage du siège de son entreprise. Le jeune garçon ne voyait donc son père qu'en de rares occasions, le plus souvent, il arrivait à le coincer lors d'un petit déjeuné avant que ce dernier ne rejoigne son travail. C'était pour Keiko des moments dont il devait savourer chaque instants, et même la perspective qu'il se fasse sévèrement remonté les bretelles avait quelque chose de réjouissant car ce serait tout de même un moment passé avec son père.

Keiko se leva et sortit de la cuisine en laissant sa mère radoter et s'énerver sur une tache wasabi qui ne voulait pas se désincruster d'une coupelle. Il grimpa quatre à quatre les escaliers et s'engouffra précipitamment dans sa chambre en claquant la porte derrière lui. Le jeune garçon ouvrit le lecteur de son ordinateur et double cliqua sur les « 5678's » qui se mirent à jouer « woo hoo » aussi fort que les enceintes pouvaient le permettre. Avec le sourire qui ne l'avait pas quitté depuis l'annonce du retour de son père, Shaolan sortit de la poche arrière de son jean un petit carnet à la couverture de cuire. Il l'ouvrit, tourna deux pages couvertes de noms et de dates, il devait en compter une quinzaine, puis nota à la suite avec le petit crayon rangé à l'intérieur : « Daisuke », suivit de la date du jour.
Le carnet de retour dans sa poche, il se jeta sur son lit et prit « Vert » de Rostand qu'il avait entamé depuis deux jours et dont il ne lui restait que quelques chapitres qu'il engloutirait très vite.

Il dévorait les livres. Les cours de littérature qu'il avait suivit dans ses collèges étaient les rares moments où il portait un certain intérêt à sa scolarité. Hélas, les professeurs faisaient découvrir des romans à leurs élèves que lui avait ingurgité depuis bien longtemps déjà. Ainsi, il entrait souvent en conflit avec les interprétations de ses enseignants, ce qu'il ne manquait jamais de leur dire d'un ton détaché et cassant, et qui lui valait la plus par du temps de mauvaises notes et des appréciations à la hauteur de ses autres matières, c'est à dire plus que mediocres.
Ce penchant qu'il s'était découvert en fouillant dans la bibliothèque de son père, eut deux autres conséquence majeur sur Keiko .
Premièrement un éloignement, une certaine distance par rapport aux jeunes age. A l'heure où ses camarades découvraient avec émerveillement les premiers tomes d'un jeune sorcier anglais ou se nourrissaient de mangas jetables, lui était plongé dans les premiers volumes du Molière ou passait des nuits entières plongé dans la noirceur des Plats. Les sujets de conversations en commun avec ses petits camarades étaient de fait très rares, et il préféra donc rapidement limiter les contacts au strict nécessaire, ce qui lui valut une réputation de taciturne qu'il ne chercha pas contredire plus que ça.
Le deuxième évènement majeur lié à sa boulimie de lecture, fût la découverte précoce de Archéologie. Il s'était très vite rendu compte que les livres les plus intéressants de la bibliothèque paternelle se trouvaient tout en haut, et c'est sur le dernier rayonnage qu'il découvrit les oeuvres de Kaya. L'explication simple et sans phare de l'aventure qu'il y découvrit fut comme une révélation qu'il se fit fort de mettre en pratique le plus tôt possible. C'est dans un de ces livres qu'il découvrit le personnage réel d'Ytan qui collectionnait les Poteries (Keitaro ? XD )comme on collectionne les timbres, de lui qu'il tenait l'idée du calepin, de lui qu'il avait apprit les phrases et les méthodes de Travaille, lui qui représentait son idéal, son héros...

Une semaine plus tard, son père n'avait pas put rentrer, un sérieux problème à l'usine Berlinoise où il venait de passer plus d'un mois déjà. Cela ne l'avait pas empêché d'avoir une longue conversation téléphonique avec sa femme au sujet de leur rejeton et des décisions qu'il convenait de prendre à son égard.
Tout cela, Keiko l'apprit en revenant de ses cours du soirs, dorénavant seul opportunité pour lui de suivre une éducation correct à Tokyo, son dossier scolaire étant bien trop entaché de ses frasques diverses. La nouvelle du père toujours absent le mit dans une de ses colères noire que son caractère habituellement posé et indifférant faisaient paraître plus terrible que ce qu'elles étaient.
Aussi, lorsque sa mère lui apprit qu'ils l'avaient inscrit à Tsubasa , que l'éloignement lui ferait du bien et qu'il pourrait mieux se concentrer loin de Tokyo, la seule réaction qu'il eut fût de jeter à sa mère qu'il serait bien plus heureux en effet, car il serait loin d'elle et de « cette foutu baraque ». Mais si on regarde Bien...Est ce que la magie aurait un rapport sur ces frasques ?

Description physique :
Le jour de son départ pour Tsubasa, Keiko mit rapidement dans un sac de sport de simili cuir rouge vif ses quelques inséparables tee shirts à manche longue, tous d'un noir anthracite ou d'un blanc immaculé, trois jean baguy passés, deux chemises à la coupe droite et austère mais qui valaient à elles seul le prit du reste de sa garde robe, ainsi qu'une bonne dizaine de paire de socquettes et de boxers noir à liserer rouge qu'il considérait comme seul sous vêtement acceptable.
Son penchant pour la lecture le confinait très souvent en intérieur, ce qui lui valait d'avoir une peau diaphane, effet accentué par la chevelure violatre et constamment en bataille qu'il arborait et don les mèches lui retombaient largement sur les yeux qu'il avait d'un violet sombre.
Un mètre soixante-dix pour soixante cinq kilos, un corps dessiner d'une probable musculature...
Il glissa une dizaines de livres dans le sac avant de le refermer, mit dans sa poches arrière une édition de poche écornée de « Trace », et descendit rejoindre sa mère qui l'attendait pour le conduire à la gare.

Description psychique :
Aux yeux de Keiko, le monde n'est qu'un pâle reflet de ce qu'il découvre dans les pages de ses livres. Il s'y forge ses opinions, ses morales, et son éducation et n'a pour la réalité qu'un certain méprit qu'il ne manque jamais d'afficher ou d'exprimer.
Cependant, son appétit D'apprendre l'amène bien souvent à lier contact avec des Livres qu'il utilise, à l'instar de son héros, consomme, et jette avant de les inscrire sur sa liste pour passer au suivant. Il a sut retenir des lignes dont il s'abreuve les phrases, les attitudes, et les comportements qui lui permettent d'arriver à ses fins et qui, bien que non infaillibles, portent généralement leurs fruits.
Mais une existence intérieur aussi forte à ses revers. En effet, si Keiko est d'ordinaire passif et calme, il lui arrive d'exploser dans des colères incontrôlables où s'expriment toutes les frustrations et les non dits du seize ans.

Classe : Arts

Première compétence : Littérature

Deuxième compétence : Solitude

handicap : Timide

Ma vision du role-play : Avant tout, s'écarter de soi. Il me parait indispensable que le joueur doive se détacher au maximum du personnage qu'il incarne. Bien sûr c'est en soi que l'on trouve les bases de la création d'un personnage, mais arriver à adopter son point de vue, à réagir aux situations données non comme on le ferait, mais comme lui réagirait, voilà tout l'intérêt, mais aussi toute la difficulté du RP.
Partage, bon esprit, amusement, respect (des autres, des regles et du RP), quatre ingrédients qui sont pour moi essentiels à un forum RôlePlay et à l'évolution des persos...

Invité Un fou ? Non, Invité !

*O* Wouahh

Bienvenue ^^

Invité Un fou ? Non, Invité !

bienvenu jolie candidature

Invité Un fou ? Non, Invité !

Bienvenue !

Invité Un fou ? Non, Invité !

Bienvenue fiche accepter blablabla je suis préser

Edit:Bon enfin de compte j'ai pas besoin de me préser L'académie est fermée aujourd'hui donc je recommence Bienvenue parmis nous chez les fou quoi amuse toi bien et éssaye de survivre voila

Invité Un fou ? Non, Invité !

Honey,tu as pas fait ton boulot -_-"

Je te valide et je te mets dans ton groupe.

Invité Un fou ? Non, Invité !

Bienvenue ^^

Invité Un fou ? Non, Invité !

Bienvenue ^^

Un fou ? Non, Contenu sponsorisé !

» Rubis
» Chambre 4:Keiko,Ritsuka,Mitaki,Raito,Karu,Sonny

Keiko Rubis

Keiko Rubis

Sujets similaires

Sujets similaires