Dans l'avion qui l'avait mener de l'aéroport de Paris à celui en bordure du lycée Tsubasa, Mirianne avait eut amplement le temps de réfléchir. Elle avait pris son temps pour trouver le pour et le contre de cette question existentiel qu'était les choses qu'elle mettrait ou non dans sa nouvelle vie. Quand l'avion se posa sur la piste, celle qui voyageait en premier classe replia la chaise confortable. La grande dame de six pied posa finalement le pied parterre. Un soupire et un sourire. Soulagement et joie. Elle hésitait à suivre le monde ou a aller découvrir. Mais bien élever comme elle était, Notre femme orpheline suivit la vraie procession d'immigrant avec un soupire. Elle ne les jugeait pas. Loin de la. Mais elle jugeait qu'il avait des choses beaucoup plus intéressante que de faire la file pour les doinnes à faire avant d'aller enseigner. La jeune femme finit donc par montrer son passeport à la personne. Par la suite, elle alla récupérer ses baguages sans anicroche. Elle eut une pensée pour Mammy Rose qui aurait surement éclater de rire en la voyant grande comme une asperge et mince comme toujours porter sa tonne de valises. Elle l'aurait engueuler dans toutes les langues que la grande dame parlait. Avec un immense sourire, elle avança pour s'appelle d'une manière brusque un taxi. Elle déposa seule ses valises dans le coffre arrière du véhicule et entra finalement à l'arrière du véhicule. Elle donna finalement l'adresse de sa maison et alla déposer ses bagages. Par la suite, elle lui donna l'adresse du pensionnat qui l'avait engager comme directrice. Un petit sourire heureux au visage, elle arriva finalement épuisée mais en un morceau à l'académie après des heures d'épuisements. Elle Regarda la porte et s'agrippait à la poignée. Un peu comme dans un film d'horreur, la porte prit une éternité s'ouvrir et émit comme pour faire peur à la nouvelle enseignante des grincements sonore. Qu'allait-elle découvrir de l'autre coté de la porte? Un pensionnat en ruine ou tout le monde niaisait tout le monde ou avait-elle trop vu de film ou les directeurs d'écoles avait l'art de passer des mauvais quart d'heure. Elle fut soulager lorsque finalement elle découvrit que rien de ses pire cauchemar ne deviendrait réel. Elle soupira d'extase en regarda l'intérieur de la bâtisse. Légèrement perdu, elle ferma les yeux. Quelqu'un pourrait peut-être l'aider? Elle allait enfin avoir un poste, une place ou enseigner et mettre ses connaissance à l'épreuve. Elle sourit sans peine. Mais le hall était désert. Désert jusqu'à ce que...