Lycée Tsubasa: Sujet xxx ou Hentai interdit au moins de 16 ans!
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 Salle de musique

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Aoi Okabe
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Un fou ? Non,
Aoi Okabe !


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MessageSujet: Salle de musique   Salle de musique EmptyMer 11 Juil - 19:12

Comment évoquer un souvenir ? Juste par une musique, un sentiment, un paysage ou un objet. C’était ce que pensait le jeune lycéen en regardant juste le jardin du lycée, à travers la vitre de la salle de musique. Encore ce matin, il s’était levé aux aurores pour aider son hébergeur au restaurant. Il savait bien qu’il n’avait pas le droit de travailler, que malgré tout, il avait de quoi se payer le lycée. Mais rien ne pouvait lui enlever l’envie de gagner sa pomme. Et puis il avait déjà un différent avec le directeur, alors de se faire virer ou non il s’en foutait complètement. Ce n’était pas un vieux blond qui allait lui faire peur, ça non. Alors autant continuer sur la lancée même si le directeur connaissait le pourquoi du comment de la présence de ce fichu coiffé en pétard qui avait couché avec Gloria, la prunelle de ses yeux. Et puis, il s’était promis pour une fille de ne plus aller et venir entre les femmes, une fille qu’il avait sauvé aux rebords d’une falaise. Ce matin, Aoi y allait avec joie au lycée, sachant qu’il allait la voir. Ou pas. Cela faisait des jours qu’il ne l’avait plus vue et qu’il commençait franchement à en avoir marre. Quatre vitres avaient volé il n’y a pas si longtemps et tout était dû au châtain avec une batte de base-ball venant du local de sport. Personne n’avait su que c’était lui, il était bien trop rusé pour se faire attraper. Maintenant, il se pavanait dans un silence complet dans cette salle où d’habitude il y avait quelques élèves peu fréquentables ou plutôt marginaux qui trainaient ou bien ceux d’un club que le garçon n’avait jamais vu ou pu s’y inscrire. On avait pourtant assuré qu’il était excellent avec son ancienne présidente, mais elle était partie pour des raisons inconnues. Déjà l’absence de la fille, ensuite le club de basket d’un lycée de Tokyo qui le harcelait par lettres pour le récupérer et ensuite le seul club qui l’intéressait et battait de l’aile, c’était la fin. Il donna un grand coup dans la vitre, ce qui la fit vibrer et hurla un bon coup sa rage dans une insulte du genre « P*tain je vous emm*rde tous faux c*ls ! » Il sortit un moment de la salle, regardant dans les couloirs pour si quelqu’un l’avait entendu mais personne ne passa. Ouf. Enfin ça l’aurait arrangé aussi que quelqu’un l’entende finalement et prenne peur.

C’était à ce moment là qu’un groupe de filles passa par là en rigolant et en parlant de banalités du genre coiffure, mecs, vêtements, musique … Aoi avait envie de se lâcher et tant pis si celle qui l’avait plantée passait par là. Une fois son cœur avait été brisé, alors la deuxième fois il allait prendre les devants et faire souffrir coûte que coûte la partenaire entre guillemets. Une jeune fille japonaise qui s’était fait décoloré les cheveux et avait de bons attributs menait la marche. Et par attributs, Aoi parlait des hanches et des longues jambes. C’était plus sexy qu’une énorme poitrine impotente. Adossé au mur, le petit sourire en coin et les mains dans les poches, il les regarda de ses grands yeux bleus approcher et décida de les aborder sur le sujet club de musique. Il leva l’index et prit une mine un peu déboussolée et dit d’une voix calme et grave :

« Excusez moi, les filles. J’avais entendu parler d’un club de musique dans ce lycée. Vous savez si il est toujours en activité ? Je vous serai reconnaissant de m’en informer.
- Le club ? Il a été dissout suite à la disparition de la présidente, dit l’amie la plus à droite de la blonde, une petite bronzée.
- Disparition ? Ça veut dire quoi ? !, s’étonna le jeune homme.
- On ne sait pas, et on a pas à te le dire, même si je connais une partie de l’histoire, rétorqua la blonde.
- Oh s’il te plaît, je suis nouveau et j’avais tellement hâte de m’inscrire dans ce club », dit-il en lui prenant doucement la main.

Il gardait sa main dans celle de la jeune fille et s’approcha lentement d’elle avant de l’attraper par la hanche et de chuchoter une chose qui allait rester entre eux, dans un souffle chaud sur la peau de la jeune fille. Ses doigts s’entrelacèrent dans la main attrapée et il recula d’un pas afin d’attraper les doigts fins de la blonde et les embrasser presque en les suçotant, tout en la fixant de ses grands yeux bleus et avec un sourire charmeur. C’est là que soudain, il vit passer une fille à cheveux longs et son cœur s’arrêta un moment, ainsi que son expression de visage. Sur le coup, il avait vu des cheveux rosés dans la lumière du jour et alors qu’il se remettait de ses émotions, il attrapa la main de cette fille qu’il avait cru reconnaître et la tira dans la salle de musique. Sa vision était brouillée par la colère alors qu’il plaquait la fille contre le bois de la porte. Il voyait toujours les cheveux roses et ses yeux se mirent à briller de larmes de rage. Son poing droit s’écrasa contre le bois. Sa voix se fit rauque et suave à la fois, s’adressant à son interlocutrice :

« Tu étais où ? Ça fait des jours que j’attends de te revoir, et toi tu me plantes alors que je me suis promis de t’aimer. Tu sais pourtant ce que ça fait quand la personne que l’on aime nous laisse comme une loque ! Je t’aime espèce de minus suicidaire ! »

Les joues rosies par la colère et sa déclaration, il ressemblait à un pauvre gamin esseulé. Ses lèvres se posèrent avec passion sur celles de la fille et sa main droite parcourut ses hanches pendant que le baiser s’approfondissait et se mettait en mouvement. Bien sûr, à ce moment là, sa vision se fit plus claire et les cheveux longs roses se transformèrent en cheveux roux et il vit un tout autre visage que celui qui était à la fois souriant et triste de celle qu’il croyait avoir récupéré. Il se recula surpris et grinça des dents avant de baisser les yeux et éclater de rire. Il avait raiment été bête, sur ce coup là. Ce n’était pas elle. Il essuya ses larmes dues au rire et dit à la jeune fille complètement déboussolée, avec une pointe d’amertume :

« Désolé, je suis vraiment désolé, ne m’en veux pas. Je t’ai prise pour une autre. Tes lèvres ont bon goût, comme de la fraise mais … T’es pas celle que j’attendais. Tu peux te casser. Encore désolé … »

Il était maintenant dans son for intérieur plus en colère qu’il y a quelques minutes. Il tourna le dos à la fille et mit ses mains dans les poches, observant la vitre avec des yeux vides de toute expression.
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Un fou ? Non,
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MessageSujet: Re: Salle de musique   Salle de musique EmptyMar 17 Juil - 22:02

    Je l'aimais, je l'aimais d'un amour sans limite. C'était ce qui m'avait poussé à venir à Tsubasa, et c'est également la raison qui m'avait fait levé de si bonne humeur pour mon premier jour. Son doux visage remplissait mon esprit, aujourd'hui dès que je le verrai je lui proposerais d'aller au cinéma. Avec mon mini short bleu marine, mes collants noir, ma grande tunique blanche fine à manche retroussées, mes petites bottines noirs, Lavi ne pourrait pas me dire non. En coiffant ma longue chevelure rousse je réalisais qu'un garçon aussi beau que mon jumeau avait certainement trouvé une petite amie. Si c'était le cas … était ce une histoire sérieuse ? M'avait il oublié ? Et si ce n'était pas le cas …. serait il heureux de me voir ? Notre relation évoluerait elle enfin ? Depuis des années maintenant j'attendais patiemment qu'il se rende compte de mes sentiments. Aujourd'hui était le jour parfait ! Nos retrouvailles seront comme dans les films.

    « Ry...Ryuchan que fais tu ici ? » dirait il en souriant.
    « Je suis venue te rejoindre ! »

    Je lui sauterais dans les bras, lui proposerai un cinéma avec les joues légèrement rose puis il acceptera avec son air tendre qu'il m'offrait si souvent. Les cours se termineront, la soirée se déroulerait sans encombre puis au cinéma je lui prendrais le bras en posant ma tête sur son épaule. A la fin de notre rendez vous il me donnera mon premier baiser.

    Tout mon corps frissonnait, l'idée d'être si proche de Lachan me mettait dans un tel état que j'en ratais ma tresse droite. Je prenais une grande inspiration puis recommença mes deux nattes qui longeait les côtés de mon visage. Je sortais de ma chambre le sourire au lèvre, prête à parcourir tout le lycée à la recherche de mon beau prince. Vu l'heure il avait sans doute déjà quitté sa chambre pour aller faire son sport matinal, hmm il l'avait peut être même terminé. Quoi qu'il en soit si je voulais le trouver il valait mieux descendre. À l'étage du dessous je découvrais la bibliothèque dans laquelle, visiblement il n'était pas. J'avançais dans un grand couloir avant de tomber sur un groupe de personnes. Il y avait 3 filles accompagnées d'un garçon qui semblait être en couple avec l'une d'entre elle. Il pelotait la hanche de sa dulcinée en plein milieu du couloir ! Non mais il avait de quoi avoir honte. De tels personnes ne pouvaient pas connaître mon frère, donc ils ne m'aideraient pas. Je passais à côté d'eux avec mon air hautain habituel lorsque je fus emportée dans la salle devant laquelle le petite groupe s'était réunis. Le garçon me plaqua contre le mur avant de poser violemment son poing à côté de ma tête. Il se mit à parler mais je ne comprenais strictement rien à son charabia. Nous connaissions nous ?


    « Tu étais où ? Ça fait des jours que j’attends de te revoir, et toi tu me plantes alors que je me suis promis de t’aimer. Tu sais pourtant ce que ça fait quand la personne que l’on aime nous laisse comme une loque ! Je t’aime espèce de minus suicidaire ! »

    Où j'étais ? Bin dans ma chambre ...Des jours hein ? Donc j'étais chez moi … je réfléchissais mais sa tête ne me disais rien du tout. Promis de m'aimer ? Soit il s'était trompé de personne soit un pervers romantique me suivait depuis quelques jours. Ah et voilà on y venait … oui merci j'étais au courant. Lavi m'avait limite abandonné sans se donner la peine de me téléphoner. Sympa le jumeau … QUOI ?! « minus » non mais ça suffit il se prenait pour quoi ce type ? Il m'attire dans une salle pour me débiter un tas de conneries puis il me traite de minus ! J'étais tellement perdu et énervé qu'un inconnu me bouscule comme ça que je ne remarquait même pas la couleur de ses joues ni même à son allure. Alors que je me préparais à rétorquer je senti une chose douce se posé sur mes lèvres.

    * Hein !???!!!!! Il m'embrasse ? Non mais je rêve là ! C'est qui se tordu !? *

    Sa main caressait ma hanche pendant qu'il intensifiait le baiser. Je me débattais, essayant de l'arrêter, de le repousser, de faire quelque chose.... Des larmes emplissaient mes yeux sans coulées... il n'avait pas le droit. Toute ma vie je m'étais préservée, j'avais patiemment attendu ce moment en espérant du plus profond de mon cœur l'offrir à mon grand amour. C'était sans doute stupide, surtout qu'une jeune fille semblable à un ange qui aime son frère aussi beau soit il... c'était pathétique. J'en étais bien consciente... mais je n'avais jamais rien espéré de plus qu'un baiser … mon premier... et ce type, cet imbécile venait de prendre mon seul et unique rêve. Mes bras n'avaient même plus la force de le repousser, j'étais tellement bouleversée que je n'étais même plus capable d'utiliser les art martiaux pour l'éjecter. Lorsqu'il s'arrêta il se mit à pousser un horrible rire. Mes mains serrées sur ma poitrine ressentaient les pulsations de mon cœur qui s'était accéléré sous la peur et le désespoir. Les larmes qui perlaient mes yeux disparaissaient peu à peu pendant que je me remettais de mes émotions.

    « Désolé, je suis vraiment désolé, ne m’en veux pas. Je t’ai prise pour une autre. Tes lèvres ont bon goût, comme de la fraise mais … T’es pas celle que j’attendais. Tu peux te casser. Encore désolé … »

    Mon cœur se fissura à l'écoute de tels paroles. Quel immonde personne … violenté une jeune fille, briser son rêve, en rire pour finalement ajouter de tels choses. Mes poings se serraient, redescendant le long de mon corps. Mon regard était devenu noir, je n'avais plus rien de la douce Ryuko. J'allais le tuer, le laminer, le faire regretter d'être né, je voulais qu'il me prit d'arrêter de le torturer. Il était parti près de la fenêtre les mains dans les poches. Non mais sérieusement il faisait ça à toutes les poupées qu'il rencontrait ?

    J'avançais rapidement vers lui, le prenant par le bras je le tournais violemment face à moi décidé à le massacrer ! Oui mon magnifique poing si délicat dans son visage de monstre sans cœur ! Ce qui m'arrêta ce fut son regard vide. Il semblait désespéré, la douce Ryuko qui sommeillait en moi eu pitié de lui. En un instant je repensais à ce qui s'était passé. Lui aussi était amoureux et en souffrait, il n'était pas si différent de moi après tout. La colère ne partait de mon visage ni de mon cœur mais je me contentais de lui mettre un gifle qui laissa une trace de ma main et lui fit tourner la tête de quatre-vingt dix degré vers la gauche.


    « Non mais tu te prends pour qui ? Tu m'attires dans cette pièce, te comportes comme un salaud et tu espères que je vais partir docilement ?! Tu rêves p'tit gars ! Je ne bougerais pas d'ici tant que je n'aurais pas eu de véritables excuses ! Tu n'imagines même pas ce que tu viens de faire alors repends toi ou je te ferais si mal que tu hurleras pour que l'on vienne t'achever ! »

    On pouvait facilement lire mon sérieux et ma détermination dans mon regard. Une remarque désobligeante, un geste déplacé et il se prendrait mes onze ans de karaté, de ninjutsu, de jujitsu, de krav maga et autres dont j'étais experte dans ce pauvre morceau de chair et d'os qu'on appelle « corps ».
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