Histoire :
Son jour d’anniversaire, tout commençait pour le mieux. Réveillez avec un déjeuner fait par sa charmante mère. De plus que c’était son déjeuner préféré. Des pains dorés, avec une sauce aux chocolats par-dessus et quelques fruits, plus un café. Du café à son jeune âge ? Surprenant mais vrai. Étant en session d’examen, elle prenait jour et nuit à réviser, oubliant par moment à dormir. Et c’était aujourd’hui son premier examen. Après avoir fini de déjeuner, elle s’habilla avec l’uniforme scolaire, fit son sac-à-dos et quitta la maison. Sur le chemin de l’école, elle rencontra son petit ami, avec qui elle sortait depuis plus de deux ans. Elle le connait depuis le primaire. Petit mot doux par ci, petit mot doux par là, ils rentrèrent tous les deux dans leur école et, entendant la cloche, se mirent à courir pour aller à leur première examen. Lidia, étant le nom de la jeune fille, aimait bien les jours d’examen. Tu forces ton mental, et tu te reposes plus longtemps étant donné que les cours se terminaient plus de bonheur. Elle était l’une des première à terminé, trouvant les mathématiques aussi facile que l’art plastique. Elle se leva et décida d’aller attendre à la porte de l’école, son petit ami. Mais ce ne fut pas lui qui vient la chercher, mais des garçons… inconnu. Empoisonné, attaché et mit dans un camion. Tout étant flou, elle ne pouvait pas bouger ni rien. Elle fut emportée dans une forêt, où ils l’attachèrent une deuxième fois, après un arbre. Les six garçons étaient masqués. Seul un, un peu plus loin, regardait un sourire au visage. Avec un couteau, l’un des six inconnus déchira les vêtements de la jeune fille. Un après l’autre, ils violèrent l’innocente Lidia. Elle pleurait, c’était la seule chose qu’elle pouvait faire… À la fin, sa vue devient un peu plus net, et elle pu voir son petit ami, commencer à la frapper à l’aide d’un tuyau de plomb. Elle s’évanouit dès le premier coup, celui-ci lui étant donné à la tête. Elle se réveilla, seul, toujours dans la forêt. Du sang recouvrait son corps. Se fut un bucheron, qui la retrouva. Paniqué, il la détacha, lui mit son manteau sur les épaules et l’emporta a l’hôpital, où elle fut mit aux soins intensif. On découvre qu’elle n’eut plus aucune sensibilité. Que même si une automobile lui fonçait dedans, elle ne sentirait rien. Qu’elle ne pourra plus verser aucune larme… Et qu’une grande partie des choses apprises, sont disparu. Mais les souvenirs les plus tortureurs, resteront à tout jamais graver dans sa mémoire.
À chaque jour elle aurait voulu pleurer, mais elle en était incapable. Son cerveau n’était plus capable de donner d’ordre à la petite poche situé sous la paupière qui contenait les larmes, de saturé la voix d’échappement pour laissez couler les larmes. Les mois et les mois passèrent, ses parents voyaient que son ventre grossissait… Ils durent acheter un test de grossesse pour en être sur, à leur fille. Le test fut classé positif. Comparé à d’autre parent qui lui aurait donné comme conseil l’avortement. Ils acceptèrent ce sort, n’étant pas de sa faute. Et lui proposa même d’accoucher, elle irait à ses cours normalement tandis qu’ils garderaient l’enfant. C’était d’une grande joie pour elle. Et ce fut, après plusieurs mois, l’accouchement. Le 25 décembre, un enfant prit naissance. Se fut une petite fille, qui pleurnicha dès son contact avec l’aire pure. On la nettoya et l’enveloppa d’un petit doudou rose et d’un petit bonnet qui était de la même couleur. Bien sur, elle était à ce temps, une mère sans petit ami. Elle était encore amoureuse de ce garçon, malgré qu’elle éprouve une grande haine envers cette personne. Vu la journée auquel la petite fille était née, et qu’une première neige faisait son apparition en cette journée, elle décida de l’appeler White Snow. Rien de très méchant, mais ça faisait différent des autres prénoms données aux nouveaux nés. On la surnomma avec le temps White Lady, de sa chevelure blanche, jusqu’à son regard bleu glacial. Comme dit, Lidia continua ses études. Elle approchait bientôt le 16 ans et n’était pas prête à tout laisser tomber juste pour son enfant. Ses parents la chouchoutait comme leur propre fille, la nourrissait, lui achetait des jouets et des vêtements, Lidia ne travaillant pas encore. André et Louise, prénom français/québécois, obligèrent Lidia à travailler qu’à l’âge de 18 ans, soi, à la sorti de son secondaire avec un diplôme. On n’entendit plus parler de son ex-copain, ayant disparu complètement de la map. Et les six garçons furent mit en prison. Pas celle où les grands meurtriers vont, n’ayant pas l’âge pour. Mais dans une prison de jeune, aussi dure que la vraie.
Snow avait commencé depuis peu à marcher. Elle avait 1 ans, et grâce a un automobile, qu’elle devait pousser en étant debout, elle s’était mit à marcher plus tôt que ce que ses grand parent et sa mère pensait. En 1 an, sa mère réussit à se trouver un autre petit ami, essayant d’oublier son ex copain. Mais elle était incapable qu’il lui touche, se souvenant toujours des coups de tuyau de plomb. Se ne fut donc pas très long qu’elle le laisse tomber, destiné à vivre désormais sans personne. C’était pendant les vacances de noël, Lidia restait à la maison pour jouer avec sa fille. C’était l’un des moments qu’elle préférait le plus dans une journée, revenir à la maison pour voir le sourire resplendissant de sa fille, et voir ses parents assit sur le sofa a regarder Snow et Lidia jouer ensemble. Les jours passèrent, et sous l’immense sapin de Noël, les cadeaux s’empilaient, la plus part destiné à la petite fille. Depuis toute petite, Lidia, aimait bien secouer les cadeaux pour essayer de deviner c’est quoi, malgré les avertissements de ses parents, elle continuait toujours. Et c’était encore le cas aujourd’hui, sa fille la regardant, intrigué. Les jours défilèrent encore jusqu’au 25 décembre. C’était la première fois, qu’un père-noël mit les pieds dans la maison des White. Lidia assit sur ses jambes tenant sa fille dans ses bras. L’homme donnait les cadeaux à la petite, laissant échapper de temps en temps des « ho ho ho ! Joyeux Noël ! Et joyeuse fête pour toi petite »… C’était la joie quoi, personne ne pouvait espérer mieux. On soupa par la suite, le père noël quitta la maison du coup, avec des biscuits donnés par Lidia. Celle-ci donnait de la purée à sa petite fille. Par la suite, on la mit devant la télévision, sous l’émission « passe-partout». Sans qu’on ne comprenne, elle riait par moment. Pourtant n’était-elle âgé que de deux ans. Sa mère était entrain de se doucher, et ses grands parents étaient entrain de ranger la vaisselle. Pourtant un phénomène que les scientifiques ne réussirent même pas à trouver, au coup de 7 heures, du soir, sa mère et ses grands parents tombèrent au sol comme un vulgaire chiffon. Tous morts. Pourtant aussi quelques habitants de la ville, eurent le même phénomène. On essaya de dire que c’était à cause de la dinde qui était surement infesté d’un certain virus. Mais pourquoi tout le monde meurt, à une heure précise ?
Il ne fut pas long avant que Snow fut mit dans un orphelinat. Étant la plus jeune, ce fut celle qui resta jour et nuit au près du patron de cet orphelinat. Il ne voulait en aucun cas qu’on lui fasse de mal. Surtout avec les petits monstres qu’il doit garder jusqu'à ce que quelqu’un vienne les chercher. Parfois des parents, a qui le bébé fut arracher, viennent rechercher l’enfant après avoir été en cour. Mais ce n’est pas toujours le cas. La petite fille à la chevelure blanche elle, ne pourrait même pas revenir auprès de sa mère. Car tout ceux qu’elle ‘connaissait’ était maintenant mort. Snow dormait dans un petit lit, dans la même chambre du patron. Celui-ci était fort sympathique, âgé à peine dans la trentaine, il prit la place de son grand-père car il mourut en même temps que les autres. Il était donc nouveau dans ce domaine. Chouchouter pendant plus de trois ans, quelqu’un vient la reprendre. Elle aurait bien voulu rester là, elle savait maintenant parler, elle mangeait comme les autres, le patron était en quelque sorte son père. Mais, ce fut son VRAI père qui vient la chercher. Le patron n’eut aucun refus, il lui donna ses fiches et il quitta avec celle-ci. Mais Snow ne savait pas que c’était son père, celui-ci, oui. Le dénommé Liam, attacha sa fille au siège avant et démarra pour aller chez lui. Il habitait dans un sous-sol avec deux de ses amis. Arriver là-bas, se fut la boucane que dégageait la cigarette des deux garçons qui lui leva le cœur, et lui marqua à vie. Pauvre petit, les deux garçons saoul, attacha le petit corps frêle de Snow au lit, il ne la viola pas, mais entra en elle, des objets, aussi gros les uns que les autres. Le père, à ce moment était parti chercher de quoi à boire au dépanneur du coin. En revenant, il entendit les cris de sa fille. Il laissa échapper les bouteilles au sol et couru au sous-sol… Où il vit l’état de Snow. Les deux hommes finirent au sol, en sang. Battu presque à mort par Liam. Il les vira de chez lui… Et prit soin de sa fille. Il fit du mieux qu’il put pour lui enlever ces images horribles, mais rien ne put la consoler. À 5 ans, elle n’aurait pas pensé qu’elle aurait eut droit à ça, à cet âge.
Vous connaissez surement le petit chaperon-rouge, la version de Charles Perrault ? Celle où le loup est un vrai loup. Mais connaissez-vous, celle des Frères Grimm ? Où le loup est en fait un pervers ? C’est cette version que Snow entendait à tous les soirs. Son père disait souvent, tandis qu’elle ne comprenait pas vraiment « et papa lui, c’est le méchant loup, et toi tu es la mignonne petit chaperon-rouge !», et son sourire n’était pas très net de plus. Âgé de 6 ans, elle se fit violer par celui-ci. Malgré tout, elle ne fut pas battue. Ce fut peut-être la première et la dernière fois, tandis qu’à l’âge de 7 ans, elle quitta la maison un soir, quand son père parti chercher des cigarettes. Elle fuit, encore et encore, à en perdre le souffle. Aussi loin qu’elle put. Peu à peu, l’orphelinat s’agrandissait devant elle, Snow reprit le pas de course, elle était à peine habiller, un grand chandail, et en sous-vêtements. Elle cogna rapidement à la porte, tellement fort qu’elle dut réveiller la plus part des enfants. Une sœur vient lui ouvrir. Le souffle coupé, elle la fit entrer, inquiète en refermant la porte derrière elle. « Oh mon enfant, mais que t’est-il arrivé ? ». Snow était en larme… Elle s’écroula sur le sol par la fatigue et on la mit dans une chambre. Le lendemain, elle se réveilla en sursaut. La sœur qui lui avait ouvert lui épongea le front pour lui refroidir les idées. « Ma sœur, monsieur Trudeau est-il encore là ? ». Elle se leva, prit la main de Snow et l’emporta au bureau. Trudeau avait vieilli, mais il garda toujours de sa beauté. Snow entra dans le bureau rapidement, quand la porte fut grand ouverte, et alla s’accrocher a son coup, elle se remit rapidement à pleurer, tandis que l’homme, la serra contre lui. Il avait deviné c’était qui avec ces cheveux et ce magnifique regard. Pendant toute la journée, Snow lui raconta tout ce qui s’était passé. Il lui promit de la protéger de son père, du mieux qu’il pouvait. Le soir même, Liam entra à l’orphelinat. Il mit même le bordel pour retrouver Snow, qui s’était caché dans une petite trappe, sous le bureau du patron. D’un grand calme, il appela a police, lui expliquant les faits, et il fut mit en prison. Elle a donc réussi, a fuir ce vilain loup auquel, elle ne voulait plus jamais revoir le visage de sa misérable vie.
Un an déjà qu’elle n’avait plus vu le visage de son père. Qu’elle passait jour et nuit au près de son patron. Pour elle c’était le bonheur fou. Malgré ses 9 ans, elle avait le physique de 13, et elle pensait aussi comme les jeunes de cet âge là, ce qui est plutôt surprenant. Elle sortait à l’extérieur avec les jeunes enfants pour aller au parc pour jouer dans le petit terrain de jeux. En fait, elle était comme une mère pour eux, mais du même âge. Enfin, un peu plus vieille. Les personnes de son âge l’aidaient dans sa tâche et s’occupaient des enfants à problème, surtout ceux qui ont des allergies. A tous les soirs, elle dormait collé à son patron, étant donné qu’il n’avait pas de lit vraiment pour elle. Au sinon il ne dormait pas de la nuit et la regardait dormir pour ne pas la déranger, s’il s’endormait après elle, ce qui était très souvent. Elle commença à l’âge de 10 ans, à éprouver des sentiments pour cet homme. Elle adorait ses cheveux court brun et ses yeux vert, son corps finement musclé et sa grandeur surprenante. Sa voix était mielleuse à son oreille. Elle était en amour avec lui. Peut-être un coup de foudre passager. Mais pour elle, sa semblait durer. Alors qu’il dormait, elle était venu déposer un bisou sur ses lèvres, sont cœur battait la chamade. Mais il ne dormait pas, il faisait simplement se reposer. Il demanda explication, et fut désolé de lui avouer qu’il n’était pas en amour avec elle. Il avait dépassé la trentaine et elle n’avait que 10 ans. Il était trop vieux pour celle-ci. Depuis se jour, elle ne dormi plus avec lui et se contenta du salon. Malgré tout, elle avait besoin de réconfort, alors elle dormi quelques fois avec l’une des sœurs. Elle pleurait presque à tous les soirs, de ne pas être dans les bras de monsieur Trudeau. Celui-ci, entendant les reniflements, lorsqu’il était dans la cuisine et elle sous la table à manger. Il la tira en dehors de là et la serra doucement dans ses bras. Elle s’endormit là, et se dit qu’un jour, malgré qu’il ne l’aime pas, elle se marierait avec lui. Il la porta jusqu’à son lit, où il continua doucement à dormir avec elle, espérant calmer sa peine de cette manière.
Personne ne savait que, pendant que les mois passèrent, monsieur Trudeau tomba amoureux de la petite fille. Peut-être par les avances causées par celle-ci. C’était tellement discret ce qu’ils faisaient. En fait, depuis quelques semaines, ils sortaient tous les deux ensembles. Tout se passait le soir, leur baiser timide, et leur câlin. Le matin face aux autres, ils étaient distant, comme s’ils ne voulaient point se voir le visage tous les deux. Snow était maintenant âgée de 11 ans, et monsieur Trudeau 32 ans. Il n’y eut qu’une seule fois qu’on les découvrit entrain de se donner un léger baiser sur les lèvres, et se fut une sœur qui les découvrit. Avec un sourire presque protecteur elle décida de garder le silence, sachant que l’homme avait le cœur très sensible et qu’elle pensait qu’il ne voulait simplement lui faire plaisir de cette sorte. C’est avec le temps, qu’on découvrit, pourquoi monsieur Trudeau tomba amoureux de Snow, enfin, c’est elle-même qui l’a dit à voix haute lors de sa mort. The White Lady découvrit lors d’une sortie dans la ville, une petite boutique qui vendait des roses. Mais à l’arrière de cet endroit, derrière le magasin à l’extérieur, plusieurs boites reposaient au sol. Dans chacune, des flocons de poisons avec leur instructions, était posé minutieusement dedans. Elle prit le temps de les lires, avant de partir avec l’une des boites, qu’elle cacha dans le placard à l’entré de l’orphelinat. Le poison qui l’intéressa le plus, fut celui donc l’instruction disait : «Déposer de ce somptueux liquide sur vos lèvres, comme un baume, et embrasser une personne. Dans les heures qui suivent, celle-ci tombera amoureux de vous. N’en abuse pas trop, elle pourrait en mourir. » C’est ce qu’elle fit, à toutes les semaines elle s’en imbibait les lèvres avant d’embrasser le patron. L’effet fut fulgurant, mais si elle oubliait une semaine, l’amour diminuait. Bien sure, ça n’égalait pas le vrai amour, étant donné que c’était de l’amour… synthétique ou presque… Mais ce n’était ce qu’elle espérait, simplement, que monsieur Trudeau, soit à ses pieds.
-incomplet-
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