Lycée Tsubasa: Sujet xxx ou Hentai interdit au moins de 16 ans!
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 Sur le terrain de basket

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Sûrin Sôma
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MessageSujet: Sur le terrain de basket   Sur le terrain de basket EmptyMer 11 Avr - 19:23

Je venais tout juste d'arriver qu'à peine je me ridiculisais devant toute ma classe en sport. Palpitant, n'est-ce pas ? Mais là n'était pas le problème. A la limite que l'on se foute de ma gueule, pourquoi pas, mais là c'était ma moyenne en classe qui allait chuter. Jusqu'à présent le sport n'était qu'une matière secondaire. Cependant, à tsubasa ce n'est clairement pas le cas. C'est pourquoi, après une longue nuit de sommeil, je devais me lever pour m'entraîner. Dur, dur le réveil ! Quel supplice de sortir de sa couette chaude et d'aller se laver. Rien de pire que le réveil du matin... Je me traînai jusqu'à la douche. Quelle misère. M'enfin bon, une fois prête, je pris mon sac avec mes affaires et m'habillai en tenue de sport. Puis je claquai la porte de ma chambre d'un bruit indiscret, fort indiscret mais ça m'était complètement égal, j'm'en foutais des plus royalement.

C'est ainsi que je me suis retrouvée sur le terrain de sport seule, dans la brise du matin. J'voulais être sûre de n'avoir personne pour me déranger. Et surtout pour se moquer de moi. Pour commencer je fis des échauffements, les mêmes qu'en cours, rien de plus excitant. Seulement là, j'pouvais me munir d'écouteurs pour me tenir compagnie plutôt que les braillements des autres élèves. Et c'était parti pour trois tours de terrain en course à pied. Au bout du deuxième j'étais déjà fatiguée, la poisse. Rien que de savoir que ce n'était même pas un dixième de mon programme prévu pour la matinée... j'en étais déjà essoufflée et découragée. Mais mon envie d'augmenter de ne serait-ce que d'un point ma moyenne était si... normale que je pris la force entre mes deux mains. J'en étais donc arrivée à la moitié de mes exercices appréhendés lorsqu'un jeune homme d'à peu près mon âge, du lycée visiblement, se pointa sur le terrain. Il avait un regard quelque peu froid et distant. Le ballon de basket à la main je m'arrêtai et dévisageai presque du coin de l'oeil son allure et le reste. Il devait mesurer à peine plus des un mètre soixante-quinze aux cheveux blonds. Ah ! Il me faisait marrer avec son chewing-gum.
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MessageSujet: Re: Sur le terrain de basket   Sur le terrain de basket EmptyMer 11 Avr - 20:01

Un mec normal aurait somnolé des heures et des heures, un mec normal aurait passé la nuit à réviser ou à sortir en compagnie de ses potes. Pourtant ce n'était pas mon cas, pourquoi ? Eh bien parce-que je n'suis pas un mec normal. Le réveil de mon côté ne fût pas hardu, pas du tout même. Je n'avais pas dormit. Les évènements qui s'en suivit avec Kayako et Veronica m'était monter au cerveau à un point nommé. Tellement haut genre cinquième étage du Hollywood Tower Hotel, bref ; j'avais besoin de faire un break.

Depuis un certains temps, j'avais couper les ponts entre ses liens qui s’entremêlaient à ma vie privée pour me consacrer à mon égoïsme permanent. Qu'est-ce qui était choquant là dedans ? Rien, absolument rien. Je demeurais le même qu'à mon arriver, antipathique, froid & diabolique. Il fallait à tout prix que je change les idées, et puis il était 5h00 du mat et j'étais encore dehors, exact ; j'avais sécher le couvre-feu. Sans que le gardien s'en rende compte, je retournais au lycée dans la plus discrète des filature. Un barreau tordu donnait sur la faille d'un buisson. Sans mot, je traversais le hall à pas de loup en direction de ma chambre, là-bas j'y enlevais mon large sweet pour me retrouver glisser dans un long t-shirt. Mon froc à moitié déchirer au niveau des genoux balançait alors que, fusil à pompe dresser sur l'épaule, je me dirigeais prêt du terrain de basket.

Je ne fus pas surprise de constater que je n'étais pas le seul à ne pas dominer mon sommeil. Lycéenne, sûrement. Sa chevelure bleutée arborait le parquet cirée du terrain de basket. Je pensais pouvoir tirer quelques paniers sans que personne fasse irruption dans ma solitude volontaire... C'était raté, j'allais devoir faire avec.

[HRP --> Désolé c'était rapide et simple, je ne me suis ni corriger ni relu ^^ je n'avais pas envi de te faire patienter pendant deux jours :$]
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Sûrin Sôma
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MessageSujet: Re: Sur le terrain de basket   Sur le terrain de basket EmptyMer 11 Avr - 21:30

Il n'était pas prêt de bouger celui-là. Fais chier, moi qui voulais faire du sport traanquillement. Bah j'pouvais m'le mettre dans mon cul. Je fis abstraction de ce blond. Du moins j'essayais, parce qu'en toute évidence il me regardait... j'le sentais, ça me faisait chier, vraiment. Qu'est-ce qu'il me voulait bordel ! Il manquait plus que ça tiens. Déjà que j'en avais marre de faire sport, j'avais le moral à zéro, et là un bouffon me dévisageait. Rien de pire que ça pour m'énerver au plus haut point. J'continuais en m'efforçant tant bien que de mal de l'ignorer et de continuer inlassablement mes tirs au but. Pas gagné ! J'étais déjà bien nulle, mais en plus si j'étais déconcentrée je m'épuiserais pour rien et sans résultat.

Au bout de quelques instants j'abandonnai, je réessayerais plus tard.
*Et puis tant pis si je n'augmenterais pas ma moyenne, ils se le mettront là où je pense !* Je pris mes affaires placées sur un banc non loin du terrain. Je fis de grandes enjambées jusqu'au mec. Haussant mes sourcils, sans sourire, je le regardais avec le regard qui tue. Quel style... particulier. Ce pantalon à moitié défroqué me prouvait bel et bien qu'il ne devait pas être super apprécié de la gente féminine... Au début je n'avais pas remarqué, mais cet individu maintenant face à moi, possédait un fusil. Un vrai ? P't'être bien qu'oui. Mais ça ne me choquait pas plus que ça. Pourquoi ? Bah p't'être parce qu'on était au beau milieu du lycée et qu'il n'oserait sûrement pas appuyer sur la gâchette. Je vis ses lèvres bouger. Ses sourcils se rapprochaient... il rageait là ? Il me faisait la morale ou quoi ? Je plissais les yeux comme si j'allais pouvoir lire sur ses lèvres. Je le laissai parler durant quelques secondes pour dire de me payer sa tête avant de sortir de ma poche mon portable qui me transmettait de la musique. Pas n'importe quelle musique : des vrais groupes de rock. Pas rien ! Je stoppai la lecture musicale et dédaignai de lui adresser la parole :

« Tu disais ? Non parce que j'écoutais pas ce que tu me disais. »


J'voyais bien que ça l'énervait. Ce qui me fit sourire du coin des lèvres. J'l'avais dit : J'avais le moral à zéro, donc j'exprimais le besoin de faire chier. Et, oui c'est tombé sur ce gars-là. Dommage ! Il est mal tombé. Sincèrement, j'oserais espérer qu'il ne me taperais pas sur les nerfs plus longtemps que ça parce que sinon il aura mal... aux oreilles. C'est déjà ça. Mon plus grand pouvoir : casser les couilles sans y toucher, juste en crachant à la gueule [dans tout les sens du terme].
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MessageSujet: Re: Sur le terrain de basket   Sur le terrain de basket EmptyJeu 12 Avr - 14:36

Nan mais sérieusement -_- elles ont quoi toutes ses nanas à me dévisagées de haut en bas à la façon des niafous de la cité ? Perso', ça commence à me casser les couilles... C'est peut-être pour ça que je me sentais si bien avec Veronica, parce-qu'elle m'acceptait comme j'étais et inversement.

De toute façon celle-là ne semblait pas très sûre d'elle avec son entraînement à deux balles, regardez moi ça... Et elle ose appelez ça du basket ? Quoiqu'il en soit elle voulait jouée à la plus maligne, pas de soucis, ça me va. Je ne lui avais pourtant rien demander, après tout, c'était ses yeux qui croisaient les miens façon scarface. Je n'avais même pas daigner zieuter son visage, en vérité mon vue resta figée sur le panier opposer.

À présent démunit de ses écouteurs qu'elle retirait avec délicatesse, elle engagea un pas hautain vers moi. Je la gênais ou quoi ? Après tout il était 5h00 du mat et on étaient les deux seuls élèves à pouvoir tenir sur nos deux jambes à cette heures. J'ignorais le motif de sa présence ici et je m'en fichais éperdument mais si elle comptait s'échauffer, ce n'était pas comme ça qu'elle allait réussir.

« Tu disais ? Non parce que j'écoutais pas ce que tu me disais. »

Si ce n'était que mon chewing-gum... Oui, je n'avais rien dit. Mais elle pensait le contraire ; bien que mes lèvres vadrouillaient quant au claquement de la sucrerie sur ma langue j'étais resté sans voix depuis le début. Mais libre à elle de croire ce qu'elle veut, et puis ça ne serait pas plus mal que d'entamer une conversation.

« Mh ? Ah, je disais juste que si c'est comme ça que tu comptes t'entraîner tu n'es pas sortie de l'auberge. »

Mes yeux noircis pesait sur sa silhouette, j'avais l'opportunité de pouvoir la décrire. Ce n'était pas sans dire, elle était très belle comme la plupart des résidentes du lycée, cependant quelque chose m'attirait chez elle... La couleur de ses cheveux ? Ses yeux en amande ou son teint maladive qui lui donnait un air d'ange innocent comme le jus de fruit de la pub ?...
Je n'en savais rien. Pourtant j'étais sûr d'une chose ; je n'étais pas en train de flasher sur elle, si même de m'exhiber quelconques brides de fantasmes égarer.

Sans mot, je me dirigeais vers le local, non loin. Là-bas j'y extirpais un neuf ballon du cadis où ils étaient entreposés. Avant de me rendre sur le terrain, j'arrangeais un de mes lacets qui voletait hors de ma semelle puis, prit plane dans la raquette en face du panier sur la touche du lancer-franc.

« Bon, met toi devant moi, je vais te montrer quelques tuyaux. »
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MessageSujet: Re: Sur le terrain de basket   Sur le terrain de basket EmptyJeu 12 Avr - 17:07

« Mh ? Ah, je disais juste que si c'est comme ça que tu comptes t'entraîner tu n'es pas sortie de l'auberge. »

Lorsque ces mots arrivèrent à mes oreilles j'eus envie d'le frapper... pourquoi j'me suis retenue ? Bonne question... Il m'énervait ce mec-là ! Mais tant mieux, il partait justement. Quoique... en fait non il revenait. De plus belle même. Manquait plus que ça tiens. Le ballon à la main je m'approchai d'un des paniers pour aller le poser par flemme de le remettre là où j'l'avais trouvé. Cependant à peine n'eus-je le temps de le poser convenablement qu'un gros bruit retentit juste derrière moi. Je me retournai pour voir ce qu'il se passait. L'autre venait de marquer un panier, l'envie de reprendre le ballon et de lui lancer à la gueule m'était insoutenable. Quel frimeur celui-là ! Non mais comme si j'avais besoin de ça pour me rappeler que j'étais une belle merde. Bon, d'un autre côté cela se comprenait, je devais l'énerver comme il m'énervait donc vu la tête qu'il avait c'était du genre à remballer les gens dès que possible. Bah là c'était fait, bien joué d'ailleurs. Parce que pour me mettre en rogne ça m'avait bien mis en rogne ! L'air blasé je le regardai, puis repris mes écouteurs pour tracer à nouveau ma route. Enfin c'est ce que je voulais faire mais sa voix retentit de nouveau pour me proposer des tuyaux au basket. Non mais il se foutait de ma gueule là ! 'tain lui quand il veut faire chier il y va jusqu'au bout. Je croyais sincèrement qu'il se payait ma tête mais apparemment non. Il se faisait insistant, non sans parole, mais juste avec la posture qu'il prenait et le silence qui s'invitait. Après quelques secondes de réflexion je m'approchai du banc pour poser de nouveau mes affaires et cette fois-ci mon portable également. Toujours dans le silence je me dirigeai vers le blond, face à lui. J'regardais du coin de l’œil son arme méfiante et l'avertis :

« T'es sûr de vouloir me donner des tuyaux ? Non, parce que vu comme je suis mal barrée tu vas vite perdre patience. »

C'est moi où je venais d'être plus aimable avec lui ? Limite si je lui disais pardon. La poisse. Bon bin maintenant que c'est dit, c'est dit. Et va falloir supporter son autorité. J'avais comme l'impression qu'il allait bien en profiter pour m'enfoncer plus que je ne l'étais déjà. M'enfin bon, j'préférais ça à avoir à m'entraîner seule qui plus est en faisant que de la merde. Je fis donc ce qu'il me demanda : me mettre devant lui à une distance... convenable dirions-nous. Et attendais une quelconque réaction de sa part.
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MessageSujet: Re: Sur le terrain de basket   Sur le terrain de basket EmptyJeu 12 Avr - 18:00

Un petit sourire complice ce dessinait sur mes lèvres. Tout en attendant une réaction quelconque de sa part, j'enchaînais les paniers. J'avais du mal à déplacer mes jambes... Un peu normal j'étais en jean. Quel con je fais parfois.

Je ne pouvais m'empêcher de la regarder, si bien que lorsqu'elle fila déposer ses affaires, je détournais mon regard vers sa silhouette raffinement dessinée lors de mon tir. Le ballon m'était revenu sur la gueule. De façon à garder toute ma crédibilité, je l'attendais, la balle posée à terre.

Je n'avais ni une bonne ni une mauvaise impression d'elle. Elle était à la fois douces dans ses paroles mais crâneuse dans ses faits et gestes. Il n'y avait qu'à remarquer comment elle ce la pétait avec ses écouteurs et son portable... Mais cela n'était que des détails. Tout en faisant des tours avec mes bras et des échauffement au niveau des genoux, je la regardais venir en ma direction.

« T'es sûr de vouloir me donner des tuyaux ? Non, parce que vu comme je suis mal barrée tu vas vite perdre patience. »

Tout en soupirant, je lui affichais un petit sourire en coin, à la fois machiavélique et supérieur, puis jetais un coup d'oeil à ma montre.

« Il est 6 heures du matin, qu'est-ce que tu veux que j'aille faire à 6 heures du mat. Nan sérieusement, tu verras c'est simple, je peux rester toute la nuit ça ne me gêne pas et puis ce n'est pas une mince à faire. »

Tout en ramassant le ballon à une main, je prenais celle-ci par le bras puis lui glissait la balle entre les mains avant de caler correctement devant le panier.

« On va faire simple, fis-je en mettant ma main sur la sienne afin qu'elle cadre correctement la planche, tu vas utiliser ta main qui est sous le ballon pour tirer et la main sur le côté pour le diriger, lève bien haut ta balle... »

En exécutant le geste, collant mon torse à son dos, son bras fit un long geste, lent et gracieux avant que la balle aille taper contre la planche, puis l'arceau avant de tourner se toute sa sphère autour de celui-ci avant d'y être expulsée par la suite.

« Raté ! Soupirai-je en me dirigeant vers la balle qui roulait à nos pieds, on réessaye, tout en me penchant vers le bas, je remontais le long de son oreille en tapant le ballon contre le parquet, tu peux m'appelez Kenshiro si tu le désirs. »

Bien sûr qu'elle n'était pas douée, mais à force d'entraînement, on fini par y arriver, après tout ; la fin justifie les moyens.
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MessageSujet: Re: Sur le terrain de basket   Sur le terrain de basket EmptyVen 13 Avr - 10:35

Je le regardais faire sans un mot, me laissais faire même. A ma grande surprise il n'était pas « violent » dans ses gestes. Les apparences sont parfois trompeuses. En quelques secondes il se retrouvait accolé à mon dos prenant contrôle de mes mains. Je pouvais sentir sa chaleur ainsi que son souffle. Bizarrement je ne savais pas pourquoi ça m'avait surprise. Parce que je pensais qu'il n'avait pas de cœur et qu'il devrait être froid comme pierre ? Sûrement. Quoi qu'il en était, j'étais sur le point de tirer un but et étrangement je savais qu'il n'allait pas rentrer.

« On va faire simple, tu vas utiliser ta main qui est sous le ballon pour tirer et la main sur le côté pour le diriger, lève bien haut ta balle... »

Après avoir tirer avec lui le ballon a viré sans même prendre la peine de me faire plaisir en rentrant dans les filets. *Tu parles ! C'est simple, c'est simple, bin voyons !* C'était comme je l'avais prédis même si j'osais espérer le contraire. Je le laissais reprendre le ballon en bon gentleman. Il revint auprès de moi reprenant la même position que précédemment, il me déclara juste en toute quiétude son nom. Kenshiro. Je n'ai rien dit ni fait, je me suis juste contentée de suivre à nouveau ses gestes pour tenter de marquer un second panier, en vain comme toujours.
On fit plusieurs tentatives, toujours sans résultat convainquant. Au dernier panier raté je pris le ballon, qui était parti tout à fait à l'opposé de nous. En allant le chercher je regardais un peu les alentours, je ne connaissais pas très bien les terrains ni même le gymnase.
*j'irais bien voir ce qu'ils ont pour la gym dans ce lycée* Cela faisait depuis un peu plus d'un mois que je n'avais pas fait de gym et ça se sentait : je rouillais, mon corps ne me faisait plus mal. J'arrivais au niveau de la balle, me penchais la prendre et me retournai. En voyant Kenshiro debout à égale distance que tout à l'heure je ne pus m'empêcher de penser que malgré ses allures de bad boy accomplit il n'était pas si désagréable que ça. Quand je me rendis compte de ce que je venais de penser je me suis dégoûtée toute seule. Une partie de moi pensait fortement que ce mec-là c'était qu'un con. Pourquoi fallait-il que ce que je pensais sur les gens se partageait en deux ?

Une fois revenue près de Kenshiro je lui rendis la balle gracieusement et ajoutai :


« Et moi c'est Sû... »

J'allais lui donné mon surnom là ? Mais c'est le monde à l'envers ! Depuis quand je donnais mon diminutif à un étranger ? A croire que je réfléchissais jamais avant de parler. [Élue boulette du jour] Sans m'en rendre compte je venais de rougir. Mais c'est quoi ce bordel ? J'rougissais juste parce que j'avais donné mon surnom ? Mais j'allais pas bien là ! Mais fallait vraiment qu'j'arrête planer là, ça deviens grave ! Et maintenant c'était sûr à 200% qu'il allait en profiter pour me foutre les boules et qu'il allait me prendre pour une belle attardée. Je voyais bien que le silence se faisait presque gênant, et lui qui ne bougeait pas d'un pouce... Je récupérai la balle sans geste brusque, et dribblai une ou deux fois avant de me placer devant le panier convenablement et lançai comme il avait fait précédemment. Le ballon tournait au-dessus du filet. Je le regardais attentivement, les poings fermés près de ma poitrine prête à sauter de joie si la sphère marron consentait à rentrer dans le trou. Elle le fit, à ma plus grande surprise. Mes paupières s'écartèrent, les bras en l'air, sur la pointe des pieds je venais de crier « yoooosh !! »

Je me retournais vers Kenshiro toute contente, pris l'arrière de ses oreilles de mes deux mains pour pouvoir l'embrasser sur la joue. Emballée comme j'étais on pouvait pas faire pire. Je m'exclamai :


« C'est la première fois qu'je marque un paniiiiiier !!! »

Après quelques secondes d'extase totale je me rendis compte que je venais d'embrasser.... Kenshiro... Mon sourire s'effaça de suite, je revins sur terre. La dure réalité m'attendait. Mais qu'est-ce qu'il m'a pris de l'embrasser en même temps ? Mais quelle boulette je suis !! C'était sur la joue
*et encore heureux* me dis-je, mais tout de même !! La poisse. Je n'osais même plus le regarder, je pris seulement le ballon. Après quelques micros-secondes je me rapprochai du blond rouge de honte et m'excusai en balbutiant :

« Excuse-moi... Je... C'était... pas volon-taire... Je... »

Je lui tendais la balle en espérant qu'il la prenne pour... Je ne sais pas. Je savais juste que s'il la prenait cela voudrait dire qu'il ne me passerait pas un savon ou autre, juste qu'il accepterait l'idée que ce n'était qu'un bisou amical pas tout à fait volontaire. Même si je finissais pas croire que ce n'était pas que sous l'effet de la joie que j'avais fait ça...
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MessageSujet: Re: Sur le terrain de basket   Sur le terrain de basket EmptyVen 13 Avr - 21:55

Contre toute attente, la lycéenne aux cheveux d'ange en qui j'avais l'honneur d'être en compagnie ce débrouillait plutôt bien au basket-ball. Au moins, elle avait assimiler les bases, les dribbles ainsi que le pas de pivot. Son geste à la main et son lancer restaient à être perfectionnés, négligeable certes, mais ce n'était qu'un début après tout.

C'était, presque en bavant que je la regardais faire ses vas et viens. QUOI !? Je l'a matais là ? Et merde... Malgré cela, je m'efforçais de garder mon calme ainsi que mon air froid, mais elle... pouvait elle vraiment lire sur mon visage ? Si elle y arrivait elle était vraiment fortiche car ce n'est pas une mince à faire que de décrire ce que ressent un démon.

J'avais juger bon de lui dire mon nom. Oui, c'était mieux qu'elle m'appel par mon prénom que par un "Hé" ou un "Toi là !". Et puis ça m'aurait foutu en rogne t'façon. Les bribes de quelques secondes passèrent. Tandis qu'elle enchaînait ses gestes de la main à elle seule. Je détournais le regard vers le gymnase. Là-bas, je pouvais y apercevoir un tremplin et autre outil nécessaire à tout bon gymnaste. Ça ne m'étonnait pas que cet endroit me soit inconnu... Après tout, je séchais la moitié de la journée chaque semaines.

Sû ? C'était son prénom ou son surnom ? Mais elle devait surement d'être origine asiatique dans ces cas là, tout comme moi. Intéressant, je me demande si elle est Japonaise-Coréenne, ce qui expliquerait ses yeux magnifiquement dessinés ainsi que cette chevelure flottante l'enrobant dans son propre corps comme un bonbon à la fraise que l'on aurait envie de croquer.

« Sympa comme blase ça. » Lui souriais-je.

C'était à ça que c'était limité notre échange. Par la suite, je continuais à la regarder s'entraînée. Mais c'était qu'elle commençait à chopper le truc ! Tout en m'efforçant de lui donner quelques tuyaux, tentant en vain de faire mine de regarde ailleurs que son corps mes iris finirent par ce poser sur la balle, qui fusait contre le vent. Je la voyais tournée pour allez taper l'arceaux, tournée... tournée... tournée... Et finalement atteindre les filets !

« C'est la première fois qu'je marque un paniiiiiier !!! » C'était-elle écriée, fière d'elle apparemment.

« Ouais je vois ça bra... »

J'avais sortit les mains de mes poches de façon à applaudir, la bulle de mon chewing-gum avait éclatée et j'affichais un sourire exhibant toutes mes dents. Après ça, j'étais sûr de pouvoir allez me coucher... Je n'étais pas fatiguer et désirait encore rester un peu avec elle, mais quelque chose me faisait sentir d'y aller. Bref, toutes ses éventualités je les avais envisagées sur le qui-vive ! Si seulement j'avais eu le temps ? Non ! Madame m'avait sauté au cou ne me laissant pas le temps de dire "Pikachu !" que mon visage était tirer vers le bas en vu de notre différence de taille. Celle-ci c'était pencher sur la point des pieds pour m'embrasser :affraid:.... la joue. ._.

« Excuse-moi... Je... C'était... pas volon-taire... Je... »

Pas volontaire ? Tu te fous de ma gueule ? C'est comme si j'allais rouler une pelle au dirlo et lui sortir "Oups ! Pas fait exprès ! Désolé !". Nan mais là j'fais le mec rebelle façon Sylvester Stalone mais en fait... je rougissais...! Putain de visage à la con !

« Ah ? Et... tu embrasses souvent des mecs comment ça sur la joue ?... Lâchais-je avec une pointe d'humour, t'inquiète Sû c'est pas-grave ! C'est déjà bien que tu es réussis à marquer un panier... Je crois que tu n'as plus besoin de moi à présent... » Soufflai-je en détournant le regard vers le Gymnase qui m'intriguait de plus en plus...
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MessageSujet: Re: Sur le terrain de basket   Sur le terrain de basket EmptySam 14 Avr - 12:41

Il ne prit même pas la balle. Sincèrement je croyais réellement qu'il m'en voulait et qu'il allait me prendre la tête. Mais en fait non, apparemment il l'avait même bien prit d'ailleurs :

« Ah ? Et... tu embrasses souvent des mecs comment ça sur la joue ? T'inquiète Sû c'est pas-grave ! C'est déjà bien que tu es réussis à marquer un panier... Je crois que tu n'as plus besoin de moi à présent... »

Tu veux rire ? J'savais à peine tirer approximativement. Je le vis partir dans le sens opposé de sa venue. Bizarrement j'éprouvais comme une sorte de déception... J'l'aimais pas. Tu vas pas me dire que si j'apprécie sa compagnie tout de même ? Puis par je sais trop quel mystère je me suis résolue à l'idée qu'on pourrait éventuellement devenir plus proche mais c'était mal parti ; aucune parole ne sortait de ma bouche pour le retenir plus longtemps... *Rah mais c'est quoi ce merdier ?* Bah tant pis, de toute façon il était déjà loin. Je me contentais de récupérer mes affaires et pris les deux ballons pour les remettre dans le local. Moi qui pensais le laisser en plan, bah c'est tout à fait l'inverse ! Le local était juste à côté du gymnase. *J'en profiterais pour y aller faire un tour* Je regardais l'heure, il était 6h30 passées. J'avais encore du temps avant mon premier cours. Beaucoup de temps même.

Une fois les ballons rangés je me dirigeais vers la porte de la salle de gym, je l'entrouvris et pus distinguer une immense pièce munit de toutes sortes d'équipements. C'te classe ! Des tremplins, des poudres, des barres asymétriques, fixes, parallèles, des agrès, tout ! J'étais aux anges. D'une main je bousculai la porte fortement les yeux brillants de mille feux et le sourire large, trop large pour le décrire convenablement. Je laissai tomber mes affaires à mes pieds et scrutai attentivement tout ce qui se trouvait dans la salle. J'étais comme une enfant que tu mets dans un magasins de jouets : aux anges. Je m'avançais doucement pour avoir le temps de réaliser que je ne rêvais pas. Je fus surprise de voir comment cela m'avait manqué de faire de la gymnastique. Mais ce qui me fit encore plus surpris c'est de savoir que je n'en avais pas fait depuis seulement un mois.

Je m'approchai vers l'une des poutres, de plus dessous étaient déjà placés des tapis, alors pourquoi m'empêcher de monter ? Je n'ai pas fait que penser, j'ai agit et montai gracieusement sur cette poutre. J'étais tellement absorbée par ce que j'entreprenais que je n'avais même pas remarqué la présence de Kenshiro. C'était seulement quand j'étais en train de faire le poirier que je le vis face à moi et à l'envers bien sûr. J'étais si surprise que j'en oubliai ma position qui faut avouer était peu convenable : entre les mèches de cheveux qui tombaient à même le sol et mon t-shirt qui essayait de se barrer et donc mon ventre à l'air j'étais mal barrée. La poisse. Je me repositionnai en situation de départ sur la poutre délicatement afin de ne pas prendre le risque de faire une mauvaise réception. De mes mains je lissais mon haut pour qu'il se colle bien à ma peau, puis je sautai de la poutre pour revenir à terre au même niveau que Kenshiro. Embarrassée et surtout rouge de gêne je lui demandai ce qu'il faisait là :

« Euh... Je croyais que t'étais parti rentrer chez toi... non ? »

Moi, Sûrin Sôma, je n'osais même plus vraiment le regarder en face, alors qu'il n'était pas le premier à voir mon ventre loin de là.
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MessageSujet: Re: Sur le terrain de basket   Sur le terrain de basket EmptySam 14 Avr - 16:52

Une fois mon fusil à pompe en main, je ne m'attardais pas à savoir si elle m'avait adresser le moindre mot, j'étais déjà loin, très loin. Je poussais avec force les portes du gymnase qui claquait contre le mur, le nuit s'offrait à moi.

Je pouvais, avec une chance sans égal, admirer un ciel munit d'étoiles dansante autour de la lune en une odyssée des plus magnifique. Je regardais dans ma poche ; il ne me restait plus qu'une cigarette... Bah, je n'avais pas trop envie de fumée. Un long zéphyr me giflait le visage, il faisait froid. Tout en sortant un nouveau chewing-gum que j'engouffrais dans ma bouche, je soufflais longtemps.

Les secondes écrasées par les minutes passèrent. Mon pieds coincés contre le béton dans lequel était construit le gymnase s'affairait à maintenant mon dos. Pourquoi avais-je fais ça ? Je veux dire pourquoi est-ce que j'étais sortis et n'avait pas prit le temps de rester un peu plus longtemps, juste une heure ou deux heures en sa compagnie. Oui vous avez bien lu... Son exquise compagnie dont je ne, malencontreusement, pouvait me passée. Allais-je devoir faire avec, me rendormir enrober dans le regret de ne peut-être la croiser seulement dans les couloirs ? Non ! J'y retourne.

Lorsque je faisais mon apparition dans le gymnase, il était vide. Les parquets grincèrent lorsque j'apposais la plante de mon pied dessus, le local était fermer, à mon grand désarroi ; il n'y avait plus aucune trace de Sû... Ronger par le remord, je donnais un coup de pied dans la première tribune à ma portée réussissant à la faire bouger. Ne prêtant aucune attention aux chaises qui venaient de s'écrouler, je m'accroupis en dessous d'un panier, tapant à l'aide d'une pièce la barre qui maintenait les filets.

Elle m'avait tapée dans l'oeil là ? Non... Inconcevable. Je devais bien me faire une raison, les meufs c'était pas mon truc et je n'avais aucune envie de m'aventurer dans quelconques histoires aussi prises de tête les unes que les autres.

Dirigeant mon pas vers le gymnase, les dents serrées je baissais la tête vers le sol en traînant les pieds... J'allais bien devoir faire avec et me mettre à l'idée que je ne la reverrais peut-être jamais... Bah, qui sait. Mais soudainement, ce n'était pas une explosion d'euphorie qui m'animait, mais bel et bien une bouffer de chaleur, elle était là, gracieusement sautillant sur les tatamis du gymnase. Elle pratiquait avec beauté sans égal ce sport en sautant par dessus plusieurs obstacles, enchaînant les saltos et autre figures acrobatiques.

Bien que j'eus faillis faire tomber mon sac, je retenais la bretelle qui ne pouvait s'empêcher de tomber. Oui, j'étais heureux de la revoir, mais pourquoi ? Elle ne m'avait rien apporter, je l'appréciais mais vite fait, comme une personne que je bousculais dans la rue... Quoique... Minute papillon ! Je n'appréciais personne, pas même ceux que je bousculais sur les trottoirs alors pourquoi elle ? Va savoir.

Alors que son nombril venait de ce dévoiler à mes yeux, un petit sourire vint m'arracher le visage, le même sourire approbateur qui enlevait cet air démoniaque en moi me changeant... en ange ?

« Euh... Je croyais que t'étais parti rentrer chez toi... non ? » Faisait-elle, atterrissant à ma hauteur en un saut.

« Yep ! Mais comme tu l'vois, je suis rev'nu... et j'ai quelques chose pour toi. »

Tout en sortant un emballage de carambar de ma poche. Dessus je griffonnais au stylo sur la partie qui ne contenais pas de blagues débiles mon numéro de téléphone portable ainsi que l'adresse d'un Ichiraku sur place. Tout en lui tendant l'emballage dans un sourire, je me penchais à son oreille comme il y a peu, l'instant même ou je lui avais chuchoter mon prénom tantôt.

« Rendez-vous ce soir après les cours à 21h40 devant le parc municipal. Soit à l'heure princesse. »

Je réajustais avec vigueur la banderole de mon sac et dressais sur mon épaule mon arme. Une fois les talons tournés, je me dirigeais en dehors de la pièce, passant par le terrain de basket. Un dernier ballon traînait sur le sol non loin de moi, à vrai dire au milieu du terrain... Je ramassais celui-ci d'une main avant de tirer rapidement au panier, sans regarder. C'était avec ravissement que j'observais le ballon rentrer dedans sans même toucher les filets ! Il était 6 heures 55 du mat' et je constatais que même avec l'heure, j'étais plutôt en forme.

[HRP - Me suis pas relu' sorry ~.]
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MessageSujet: Re: Sur le terrain de basket   Sur le terrain de basket EmptyDim 15 Avr - 13:40

« Yep ! Mais comme tu l'vois, je suis rev'nu... et j'ai quelques chose pour toi. »

Mes sourcils se redressèrent, qu'est-ce qu'il me voulait ? J'écoutais attentivement ce qu'il avait à me dire. Avant même que je n'eus le temps de parler il sortait déjà un... carambar. Le mec il avait un papier de carambar dans la poche, comme ça ? Mais il était chelou c'mec. Le pire c'est que quand je le voyais je n'arrivais même plus à me dire qu'il était qu'un sale con. Nom d'un mammouth! Mais c'est qu'il me plaisait ou quoi ? Pas possible. Tout simplement PAS POS-SI-BLE ! Ce mec-là qui se tenait face à moi n'était qu'un crétin fini... mais pourquoi quand je disais « crétin fini » j'en était pas persuadée du tout ? J'aimais pas cette situation, le genre de situation où je ne contrôle même plus mes pensés ni même ce que je ressens pour quelqu'un, le genre de situation où quoique tu te dises c'est toujours faux et que toute justification t'enfonce. C'est que j'aimais pas ne pas être maîtresse de moi-même, moi ! De plus, là j'en avais vraiment pas besoin. La poisse. En fait il m'énervait. Oui, Kenshiro m'énervait. Mais pas de la même façon que tout à l'heure. Il m'énervait à être le source de mon manque de sûreté en sa présence. J'étais sur le point de péter un beau câble et hurler de toutes mes forces pour évacuer tout mes doutes alors que le grand blond s'approcha de mon visage pour me chuchoter quelque chose :

« Rendez-vous ce soir après les cours à 21h40 devant le parc municipal. Sois à l'heure, princesse. »

Nya ? Mais c'est quoi ça ? En rendez-vous ? Mais...? Je n'avais même pas eus le temps de riposter qu'il m'avait déjà offert ce carambar et était déjà tout près de la porte. Je demeurais si stupéfaite que de nouveau je n'avais même pas réussi à prononcer une quelconque parole. Franchement il était étrange ce mec-là à m'appeler « princesse » tout en me donnant un ordre par la même occasion. Cependant, étrangement cela me fit sourire et mon amitié pour lui s'agrandissait un peu plus. Mais vraiment juste un petit peu ! Je le regardais sortir avec son sac à l'épaule et... son fusil =_= C'était quoi son problème ? D'où il sort avec une arme aussi grosse ? mais même petite il a rien à faire avec un fusil à pompe !

« Vraiment étrange ce mec... » Dis-je à voix basse en pensant que même de là où il se trouvait il pouvait tout à fait m'entendre avec ses grandes oreilles.

Je regardai le papier qu'il m'avait donné, et j'insiste : un papier de carambar ! Attention c'est n'importe lequel de papier ! Ah ça non ! Dessus il y avait un numéro ainsi qu'une adresse. Stupide fille comme j'étais j'avais envie de composer ce numéro et crier « Baka ! T'aurais pû me donner un vrai papier ! ». Mais si ce n'était pas son numéro je serais tout simplement passée pour une attardée.
Alors je me contentai de replier le papier et le ranger dans ma poche. J'entendis la porte se claquer et un soupire vint prendre place sur mes lèvres. Un soupire mélangé d'une certaine satisfaction d'épuisement et enfin de contentement. Non, je n'étais pas spécialement contente de ma rencontre avec Kenshiro, j'étais vraiment heureuse de voir toutes ces merveilles que sont les équipements de gym.

Je pris mes affaires puis délaissais la salle à mon tour.
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