Lycée Tsubasa: Sujet xxx ou Hentai interdit au moins de 16 ans!
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 Au bar de l’hôtel [PV. Veronica Rodriguez]

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MessageSujet: Au bar de l’hôtel [PV. Veronica Rodriguez]    Au bar de l’hôtel [PV. Veronica Rodriguez]  EmptyMar 28 Fév - 22:19

« Je cherche mon bonheur dans ton amour. »


Je me trouvais là. Dans une de ces impasses que l'on retrouve souvent appeler l'amour. Mon buste était cloîtré pour le mur de la salle de bain, et le bras de baignoire crachait des averses de gouttes qui vinrent se fracassées contre moi les unes après les autres. L'eau ficelait une drôle d'apparence sur mon corps, et je me maintenait d'une seule main contre le carrelage glissant de la cabine, j'étais désarmer. Oui j'ai bien dit désarmer. Je n'avais plus de quoi faire et comment m'imaginez la situation.
Veronica avait opté pour un de ces rendez-vous, de façon à jauger ma sincérité... Mais je n'étais pas confiant, en moi si, mais en elle non. Je ne savais pas ce qu'elle mijotait, encore moins comment elle me considérait, et ça, ça m'faisait flipper. Ignorer les intentions et sentiments de quelqu'un... Voir être ignorant, ça me perturbait au plus au point, et je ne pouvais m'empêcher de me torturer pour ça... Après tout, la quête de la vérité est toujours la meilleure chose que l'ont puisse faire (merci ma Vero pour cette phrase <3).

Je me relevais doucement en prenant appui sur mes jambes avec subtilité. Si seulement j'avais su que ma première journée se passerait comme ça... En plus de n'avoir assisté qu'à deux cours, j'avais un mal de tête qui commençait à ce former et m'était assoupi le restant de l'après-midi.

Sans trop prendre compte de ma tenue, je sortis de la douche. De toute façon, pour cette chambre d'une seule soirée que l'on m'avait prêté, j'étais seul, et puis je n'allais pas passer la nuit ici, oh non ! J'allais faire comme le quartier à Okinawa, ne pas dormir et veillez sur un des plus hauts grattes-ciels à scruter les horizons comme je le faisais toujours... À vrai dire, j'imaginais déjà la scène ce passant entre Veronica et moi, elle qui me faisait venir pour rien puis me renvoyait comme une merde desséchée... C'était un classique, de toutes les filles. J'avais eu l'occasion durant mon temps de retrait de voir les histoiresd'amour duratives ou non, et je peux vous assurez qu'elles finissent toutes mal, alors qu'est-ce qui me prenait de tomber amoureux d'elle... ? J'avais peur, mais de quoi ? Moi qui ne craignait rien... Et pourtant j'étais amoureux. C'était tout aussi bien un sentiment bon qu'un autre désagréable. On ce sentait acculer par les sentiments de l'autre, par ce qu'elle pensait de nous, et comment nous nous portions. Ce qui m'obligea à mettre du parfum ! Moi même je m'en étais pas aperçu ! Je cocotais le Axe Sensation comme pas possible... J'avais haussé sur mon épaule un long t-shirt noir qui s'agrémentait au niveau de mes hanches. Un Jean Levis était raccorder plus bas, en laissant voir mon caleçon ainsi qu'une ceinture Calvin Klein s'hissant à la bretelle de celui-ci tandis qu'une chaîne pendait à la bretelle.

Y a pas à dire, l'amour ça rendait fou. Je dévalais les rues à grands pas, en bousculant les gens de mon buste tout en brandissant un AK-47 que je pris soin d'apporter, comme à mon habitude. Je traversais la route sans prendre compte des bagnoles qui me fonçaient dessus. Quelques-unes m'interpellaient pour m'insulter, mais ce stoppèrent lorsqu'elle virent mon arme. Le papier que j'avais brandit de ma poche fût lu et relus des centaines de fois par mes yeux.

« RDV Hotel del Vero Amore dans le hall. Je serai au bar pour la soirée. Si tu viens pas, interdiction d'espérer me mettre le grappin dessus. Je suis ponctuelle attention. Ce sera une soirée qui permettra de voir si on peut rester ensemble. »

Et ce numéro qui s'affichait... Non ! Je ne devais pas l'appeler, je ne pouvais pas. Ça ferait mec trop collant... De toute façon, j'étais arrivé, en plus de cela avec 4 minutes d'avance. Je soupirais un grand coup avant de pénétrer dans le bâtiment luxueux. La réception me laissa passée sans encombres, mais j'étais trop stressé pour pouvoir admirer les lieux. Sans mot, je me dirigeais jusqu'au bar, là où l'ambiance régnait déjà. Je zieutais les alentours brièvement, mais aucune trace de Veronica, jusqu'à poser mon regard sur une silhouette retournée qui se tenait déjà un verre à la mien. Rien que de dos, elle était radieuse. Et je ficelais mes allées vers elle.
Une fois arrivée, je ne pris pas compte de sa présence, ni de la façon dont elle était habillée, je me contentais de commander un verre en plaquant mon coude contre la table, puis fini par m'asseoir sur un de ces tabouret qui produit un son étouffant.

« Je ne suis pas en retard mais toi, tu as bien l'air d'être en avance, et seule... »

Je tournais la tête doucement pour voir le visage de celle-ci jusqu'à ce que je m'aperçoive que ce n'était pas Veronica ! Mais bel et bien un travesti qui lui ressemblait comme deux gouttes d'eau, mais avec un visage plus carré et des poils sur tout le visage, non en fait, il était horrible !!! O_O J'en avais honte !
Je terrassais le bar en dévalant celui-ci pour me situer à plusieurs rangées de cela... Mais où est-ce qu'elle était donc ? ><
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Veronica Rodriguez
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MessageSujet: Re: Au bar de l’hôtel [PV. Veronica Rodriguez]    Au bar de l’hôtel [PV. Veronica Rodriguez]  EmptyMer 29 Fév - 0:57

Vero venait, Vero voyait, Vero vaincrait. Vive Caesar Man et son Rubis-con ! Même si là, dans son état d'esprit actuel elle avait vraiment la rage. La rage pourquoi ? Parce qu'elle avait pas eu sa prime du mois ? Nooon c'est pas une raison aussi futile ! Juste qu'elle savait qu'une fille aux cheveux roses criait à tue tête depuis la rentrée qu'elle aimait son frère, ou plutôt demi frère. Peu importe elle avait vu sur le dossier Masashi et ça lui avait fait un sacré tilt dans la tête. Le mec qui lui avait fait emballé son coeur il y a quelques heures avait une demi-soeur qui voulait clairement coucher avec lui. Et lui, est-ce qu'il le savait ? Est-ce qu'il l'aimait ? Ça lui trottait dans sa tête comme le croco de peter pan qui fait tic tac tic tac. C'est pas que ça la gênait, enfin si, mais non mais si ! Elle savait plus à la fin. Elle était rouge de colère, les mains crispées, mais elle allait quand même y aller à ce rendez-vous, même si elle avait peur de le perdre. Mais perdre qui ? Kenshiro ? Aha ! Il lui faisait pas d'effet arrêtez ! Même si il lui a dit ces choses réconfortantes, même si sa pression contre son corps l'avait rendue tétanisée et envahie par un sentiment. Mais c'était quoi franchement ? De la jalousie là ? Elle, jalouse ? Jamais ! Jamaisjamaisjamais ! Elle jouait avec les hommes ! Mais lui, oui lui, est-ce qu'elle voulait jouer avec ? Là...en fait non. Sa poitrine lui faisait mal en pensant qu'elle pourrait le perdre si lui aimait sa soeur, si ils couchaient ensemble, si...

Bon bah elle allait de suite à l'hôtel où elle créchait. Bah oui elle dormait à Vero amore, là où il y a des friqués. Elle l'était même si elle le montrait pas. Bah ancienne tueuse à gages ça rapporte quand on sait économiser. Elle était revenue du lycée dans sa superbe Corvette avant de laisser les clés au mec de l'accueil, ses lunettes sur le nez. Une fois dans sa chambre, elle enleva sa combinaison du jour pour aller sous la douche et oublier un moment tout ça. Une fois séchée et détendue, elle mit une superbe robe bleue électrique fendue sur le côté droit où les côtés étaient reliés par des lignes de perles bien espacées. Ses ongles de la même couleur que sa robe, elle commença le maquillage. Une touche de vert pailleté sur les cils, du violet pastel sur les recoins des paupières, les contour de ses yeux tracés au khôl, les lèvres passées avec une couleur pêche rosée très délicate, surmontée d'un crayon soulignant les courbes de ses lèvres sous un gloss léger, elle avait tout l'air d'une croqueuse prête à en démordre sur sa proie. Problème c'est que là elle voulait plus que tout une seule personne. Sauf que...elle reçut une info par portable. La soeur de Kenshiro voulait à tout prix coucher avec lui. Super elle paniquait pour la première fois depuis longtemps ! Elle prit son sac et mit ses escarpins pour arriver au hall depuis l'ascenseur.

Elle se déplaça un moment dans la salle où déjà des hommes la reluquait de la tête aux pieds. Mais franchement elle s'en fichait. Elle restait placide mais elle avait envie de tuer un truc. Et si un seul de ces messieurs venaient à l'approcher, elle le plantait avec sa lime à ongles. Elle arrivait pile à l'heure pour voir une scène complètement désopilante. Kenshiro était là et il avait abordé...un travelo ! Un travelo ! Non mais elle ne put s'empêcher de rire face à cette scène...très...chaude. (xD) Comment aborder un travesti selon Kenshiro Masashi ? Elle le vit se retirer plus loin au bar et en profita sans qu'il la remarque pour se placer non loin de lui. Elle fit un signe au barman qui s'exécuta et commença à lui préparer son cocktail favori, l'Angel's Kiss. Crème de cacao et crème liquide juste avec sa cerise flottant sur le pic. Elle l'adorait pour oublier ses petits tracas. Et puis les lèvres qui apparaissaient quand elle enlevait la cerise...tout une précision dans la création. Elle posa son coude contre le comptoir, regardant en coin notre cher élève à côté de qui elle s'était mise. Son parfum de cannelle se dégageait quand elle bougea la tête pour capter son regard.

Elle fit un sourire forcé mais ça ne se voyait pas . Elle voulait le tuer, mais ça ne se voyait pas. Pourquoi le tuer ? Pour que personne ne le touche et puis son voisin de comptoir avait essayer de lui toucher la fesse à ce moment là. Pas Kenshiro, un autre pervers qu'elle planta comme dit avant. Le mec ne pouvait rien dire, car elle l'avait enfoncé de manière à ce qu'il ne ressente pas de douleur, même si la lime restait dans la main. Elle avait pu se défrustrer un moment. C'est avec un sourire plus séduisant qu'elle sourit à Kenshiro en riant un peu :

"On fait dans les travestis, choupi ? Tu me déçois, tu aurais pu choisir mieux."

Elle prit son cocktail et en enleva la cerise. Le liquide laissa apparaître les lèvres pendant qu'elle croquait en léchant de la cerise l'alcool. Elle savourait ce petit instant avec beaucoup beaucoup d'amusement. Kenshiro était tout simplement sexy et elle repensait encore à leur baiser de la matinée. Mais elle se rappela du message et changea de suite d'attitude. C'est en croisant les mains, le visage baissé qu'elle dit comme une gamine qui n'est pas contente qu'elle dit :

"Tu m'as pas dit que toi et ta soeur vous couchiez ensemble. En tout cas ça circule dans le lycée. J'ai eu donc raison de ne pas te faire confiance..."

La claque vola avant qu'il ne put rien dire. Sous l'impact, la joue fut bien tailladée par un ongle. Les yeux de Vero brillaient de tristesse, même si elle paraissait en colère. Elle but d'un trait le reste de son cocktail et se leva en mettant le billet sur la table.

"Je t'ai dit que si tu me trompais, je me montrerai impitoyable. Retourne chez toi et va t'amuser avec elle. J'ai cru un moment que je pourrai..."

C'est là qu'une larme perla sur sa joue. Elle était triste ? Brisée ? Mais pourquoi ? Parce qu'elle l'aimait, qu'elle avait eu le flash pour lui. Mais que là elle voulait juste détaler comme un lapin et mourir de honte. Elle fit quelques pas un peu rapides vers l'ascenseur, comme pour fuir l'évidence. Elle avait l'air bête. Trois fois elle avait failli s'emmêler les crayons en arrivant devant l'ascenseur que maintenant elle attendait. Et c'était long....aussi long qu'n ver bionique !
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MessageSujet: Re: Au bar de l’hôtel [PV. Veronica Rodriguez]    Au bar de l’hôtel [PV. Veronica Rodriguez]  EmptyMer 29 Fév - 20:53

« Fais mon confiance. »


Un moment, il se sentit merde. Le garçon ne savait plus quoi pensé et ces sentiments demeuraient scellés. Son estime fût rabaissée au plus bas et son âme s'entre-déchirait dans ses entrailles ne lui laissant pas le temps de respirer.
Kenshiro demeurait  trahit et indigne de pouvoir poser les yeux sur Veronica. Selon les dires, la rumeur aurait courue le long des corridors du Lycée que lui et Kayako, sa demi-soeur, auraient couché ensemble ! Rien qu'à l'entente de cette phrase détachée des lèvres de Veronica, le garçon ressentit une haine sans précédant. Il serra ses longues canines entre elle et ce mordait la lèvre, le faisant saigner, bouche bée.

« Tu m'as pas dit que toi et ta sœur vous couchiez ensemble. En tout cas ça circule dans le lycée. J'ai eu donc raison de ne pas te faire confiance... »

C'était comme si, le miroir qui s'hissait sous ses yeux venaient de se briser en plusieurs particules de morceaux ! Mais Kenshiro n'eut pas le temps de chercher une justification qu'une gifle vola jusqu'à a joue le griffant au-dessous de l’œil. La marque c'était dessinée comme une petite bribe de sang tâchée sur son visage ce formant en une ligne. Mais celui-ci ne broncha pas, il restait de marbre quant à la réaction de celle qui faisait battre son coeur, il l'a comprenait.
Sans comprendre ce qu'il se passait vraiment (en fait si, mais il faisait semblant de ne pas s'en apercevoir), il vit Veronica tourner les talons dans une dernière phrase. Une de ces phrases qui vous met K.O. Comme un uppercut à la Mohamed Ali, une attaque finale à la Tekken.

« Je t'ai dit que si tu me trompais, je me montrerai impitoyable. Retourne chez toi et va t'amuser avec elle. J'ai cru un moment que je pourrai... »

« Veronica attends tu n'as... »

Mais il se retenu, il n'eut pas le temps d'en placer une. À vrai dire, il se disait plutôt « ferme là, tu lui ferais plus de mal qu'à l'instant présent abrutis... » C'était de cette voix que tonnait son subconscient enhardi. Mais il faisait trop noir pour qu'il voit une de ces larmes de mélancolie dévaler la joue de Veronica, il apercevait seulement ses yeux emplis d'une tristesse.

Oui, il arborait du remord, et était prêt à la supplier de l'écouter car elle tombait complètement dans le panneau de ce qu'on appel les rumeurs... Comment ? Comment pouvait-il hausser le ton sur elle ? Elle avait un visage angélique enrobée dans cette toilette qui lui allait à ravir, Kenshiro ne pouvait s'empêcher de fantasmer sur elle ! Elle était tellement belle !!
Pourtant, ce sentiment lui passa outre lorsqu'il vit ladite détentrice de son amour lui montrer le dos et se diriger vers l'ascenseur le plus proche. ALORS LA NON ! IL DISAIT NON !

Cette idée de la laissée s'en allée sans lui avoir rapporté la vérité vraie lui était inconcevable. Il emboîta le pas sans plus attendre et bouscula plusieurs des hommes présents dans la salle. L'un d'entre eux qui semblait déjà avoir souffert de quelconque façon (il s'était peut-être fait planter par une femme en colère) interpella le Lycéen en grognant à pleines dents. Kenshiro renchérit en un souffle avant de cloîtrée un direct du droit dans la face de celui-ci qui s'écroula sur la piste de danse, il avait sûrement perdu plusieurs molaires,  mais le garçon s'en fichait. Ce qui animait son esprit et, vraisemblablement depuis son arrivée ici était Veronica.


Il lui rattrapait le poignet à brides abattues en faisant claquer la porte derrière lui. Le vacarme qu'il causait lui importait peu. Sentir le contact de celle-ci aux creux de ses mains le fit rougir alors que son embarras ne cessait de grandir. Il avait honte.

« Veronica ! Écoute moi s'il te plaît, je t'en prie ! Ce n'est pas du tout ce que tu crois, il ne faut pas que tu te fies aux rumeurs et autre de ce genre. Oui, c'est vrai, ma demi-sœur est arrivée il y a peu et oui c'est vrai elle a le béguin pour moi ! Mais moi non, non je ne l'aime pas et je n'est JAMAIS, tu entends, JAMAIS couché avec elle... Comment as-tu crus un moment que tu pourrais quoi ? M'aimer ? Et moi... Comment ai-je cru un moment te décevoir, j'en suis vraiment désolé, de toute cette histoire je veux dire. J'ai été idiot de t'avoir tout cacher... Les mensonges de Kayako sont partis beaucoup trop loin, et je ne peux pas accepter ça... Dois-je te répéter que c'est toi et toi seule que j'aime ? Et je ferais tout ce que je peux pour que toi aussi tu m'aimes... Il marquait une pause après ce dépit de phrases balancées. Il ne savait pas ce qu'il avait dit, il ne savait même pas si tout cela était cohérent, il était tellement décontenancé par les événements... Sa colère grandissait d'autant plus envers Kayako que son amour à l'égard de Veronica. Puis il se pencha vers elle en mettant une main forcée contre sa taille qu'il pressait contre la sienne lui volant un baiser apocalyptique. Il le devait bien. Se faire pardonner ! Et pourquoi ? Parce-qu'une gamine amoureuse de son frère avait raconté des cracs ! On étaient tombés où là ? Quoiqu'il en soit, Kenshiro ce détacha de Veronica tout en faisant glisser sa main contre le postérieur de celle-ci. Leur baiser passionné les avaient entraînés à l'intérieur de l'ascenseur alors que le garçon se tenait bloquer contre les boutons qui avaient momentanément bloqué celui-ci entre deux étages. Mais il s'en fichait, il continuait. En commençant par ça... » Lâchai-t-il satisfait de son acte.

Il l'admirait quelques instant et remarquait qu'il avait oublier une chose, les convenances ! Et elles ce devaient d'être appliquées, de toutes façon il ne faisait que dire la vérité de puis le début, alors complimenter Veronica était la première idée qui lui parvenue l'esprit pour la faire ce sentir à l'aise.

« T'ai-je dis à quel point tu es plus que ravissante ce soir ? ^^ »
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MessageSujet: Re: Au bar de l’hôtel [PV. Veronica Rodriguez]    Au bar de l’hôtel [PV. Veronica Rodriguez]  EmptyMer 29 Fév - 23:19

Elle attendait l'ascenseur et elle voulait partir, partir loin et vite. Retrouver sa chambre, prendre un bain, enlever ses escarpins de chiotte qui lui faisait un mal de chien aux doigts de pieds, se démaquiller, déchirer cette robe et la couper un morceaux pour les jeter par la fenêtre et oublier cette soirée. Si quelqu'un l'approchait elle allait lui arracher le visage et être bonne pour l'asile psychiatrique vu comment elle était sur la limite de se lâcher. Elle appuyait comme une folle sur le bouton pour que ça aille plus vite, mais rien n'allait plus vite ! Tout était lent ! Et ça y est elle se faisait choper sans préavis de grève. C'était la poigne de Kenshiro, sans aucun doute. Elle le regardait en coin pour voir son visage rouge comme la blessure de griffe qu'elle avait faite. Elle sentit son coeur battre et une larme couler alors qu'il commençait à lui parler de ses doutes et de ce qu'elle lui avait dit précédemment. Elle restait éberluée avec la piste aux mouches ouverte. Il disait que Kayako mentait. Mais c'était pas elle cré didiou de madre dios ! C'était les élèves du lycée ! Mais là Vero se sentait cruche, elle se devait de réparer ce malentendu. Quand il avait terminé sa tirade, elle ne pur s'empêcher de répliquer avant son baiser :

"Arrête de raconter des salades aussi grosses que des laitues ogm ! Je n'ai jamais dit que c'était Kayako qui avait raconté ça ! Ce sont des élèves qui l'ont fait circulé et quand j'ai vu la photo de ta soeur, j'ai cru, j'ai cru que tu allais partir vers elle, vu qu'elle était si belle, si mignonne, si parfaite alors que je ne suis qu'une maladroite qui jette les hommes comme des torchons pour se venger. Mais toi, je ne veux pas te perdre je veux te garder et je t'..."

Mais alors qu'elle allait finir sa phrase, elle se fit prendre à la taille avec un mouvement sauvage, ses lèvres pressées et caressées avec fougue, ne pouvant rien faire que pousser des soupirs et ouvrir sa bouche pour le laisser goûter et goûter elle même ses lèvres tout en passant les mains sur son torse. Elle restait subjuguée par ce baiser intense et chaud. Elle perdait vraiment sa lucidité à son contact. C'était vraiment effrayant, surtout pour elle. Elle revenait à elle quand il se détacha et touchait ses fesses doucement qu'elle en frissonnait. Ils étaient dans l'ascenseur, coincés entre deux étages. Elle reprenait son souffle pendant que son coeur faisait boum boum pow des black eyed peas. Elle posa une main sur sa poitrine pour essayer de se calmer mais rien ne fonctionnait. C'était la première fois qu'elle était si faible, si emplie de jalousie et amour entremêlés. Elle était suffoquante puis elle bloqua sa respiration à sa dernière phrase avant d'éclater d'un grand rire. Jamais elle n'avait été aussi euphorique. Elle lui répétait calmement son discours précédent en rajoutant cette phrase à la fin :

"C'est gentil de me flatter maintenant, mais tu crois vraiment que dans la situation actuelle et vu comment tu m'as empoignée, on ne peut pas le deviner un peux ? Et toi alors en noir avec ce pantalon qui me laisse voir un bout de ton dos, tu n'es pas sexy ?"

Elle lui souffla à l'oreille un courant chaud avent de venir mordiller le lobe de son oreille et passer une main dans le pantalon, le sourire pendant sur ses lèvres. Elle retira sa main après avoir bien massé une des belles fesses pour le regarder avec un joli brin de malice. C'est là que coup de chance, il y avait une coupure générale de courant. Elle recula et se mit dans un coin en essayant de capter du réseau vers le haut de la cage d'ascenseur pour miner le fait qu'ils étaient vraiment seuls avec les caméras de coupées. Dire que la cabine était couverte de miroirs...ça donnait des idées pas cathos à Vero mais elle s'en fichait et riait dans son coin. Elle avait enfin du réseau et allait essayer d'appeler les pompiers, tout en restant sur la pointe des pieds.
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