Allan était un magnifique jeune homme. Cette beautée était, bien entendu, familiale et lui venait de sa défunte mère. Ses cheveux blonds et lisses avaient la couleur d'un soleil d'été et quand celui-ci venait imbiber de lumières les méches d'or, alors on apercevait quelques reflet cuivrés. Sa frange, un peu trop longue, couvrait sans cesse des yeux d'or pur et c'est dans un mouvement de téte systématique, et tellement travaillé qu'il en devenait presque parfait et naturel, qu'il les repoussaient de son visage. Ses yeux étaient extrêmement séduisants et brillants, et quand il nous regardait droit dans les yeux, on y voyait un océan aux couleurs de feu. Il avait un corp aussi fin qu'un mannequin mais musclé comme bien des athlètes. L'assemblement de tout ceci faisait craquer hommes et femmes de tout age et de tout milieu. Avec son teint doré d'un bronzage réussit à la perfection qu'il gardait à longueur d'année et son visage d'ange, il passait aisément pour plus jeune qu'il ne l'était et airait pu poser pour les plus grands magasines. Du haut de ses 17 ans, il avait une peau si douce et délicate qu'une peau de bébé parraissait rugueuse à coté. Une beautée pareille était rare et il le savait.

Allan possèdait une immense garde robe. Il aurait pu habiller tout un pays avec la moitié de ses affaires. Le pire était qu'il avait déjà tout porté, sans la moindre exception, et qu'il dépensait encore aujourd'hui des centaines de dollards par semaines en shopping. Dans ses placard, on voyait qu'il portait un style vestimentaire bien précis. On trouvait des chemises et vestes par dizaines. Chacunes n'ayant pas coutées moins de 50 dollards. Allan aimait le luxe, il fallait le dire. Et on le voyait à sa façon de se vêtir. Costumes et smoking, il les collectionnait. Néamoins, il les choisissait toujours de grandes marques. Ottavio Nuccio Gala, Tailor, tant de marque italiennes, anglaises tellement réputée par delà le monde chez lesquels Allan se fournissait. Dans un coin, de son amoire, il gardait une place pour tout les survêtements, vêtements de sports et accessoires. Car étant sportifs, il en pratiquait plusieurs à la fois et avait tout les équipements necessaires.

Néanmoins, quand il allait en cours, pour ne pas être trop décallé par rapport aux autres, Allan se plaisait à porter un T-shirt de couleur assez flash tel que le jaune ou le rouge et un jean simple. Tout ceci sous une veste blanche très confortablequ'il remplaçait souvnet par une veste de costume.

De sa chevelure de rêve resortait une oreille gauche ornée d'un anneau en argent pur qui décorait à merveille ce petit bout de chair. Derrière ses vêtements se cachait un sublime trésor. Ce n'était pas un dessin, un tatouage, c'était de l'art. Une réprésentation de l'emblème familial. Une représentation symbolique du lien fraternel qui existait entre les jumeaux Grint. Deux magnifique tigres blancs royaux du Bengale jouant entre les bambous sur sa peau d'enfant. Un tableau sublime que chacun des frères portait sur le coté droit du dos partant de l'omoplate en descendant jusqu'aux fesses. Mais rare étaient les gens qui avaient euent la chance d'appercevoir un seul de ces tigres.

Comme le voulait la lignée de la famille Grint, Allan était bon élève. Il faisait tout ce qu'il devait pour être le meilleur de sa promotion et exeler dans tout les domaines. Il pratiquait plusieurs sports tel la natation, le judo, le tennis, la dance et le sport le plus noble d'entre tous, l'équitation, pour se tenir en grande forme. Il s'amusait à manipuler les espris des gens quand il arrivait à rester crédible, ce qui se produisait que rarement. Allan était un profiteur. Il profitait de sa position social et de son visage enfantin pour obtenir des avantages considérables sur bien des choses. Et tel une adolescente, il faisait très attention à son apparence et passait des heures dans sa salle de bain pour se pouponner. Mais, il cachait bien son jeu en faisant croire à tout le monde, élèves et professeurs, qu'il n'étais qu'un parmis tant d'autres en faisait l'homme inaccessible et beau comme un dieu. Dans chaque endroit qu'il fréquentait, il était l'homme à suivre. Pourtant, il n'était pas spécialement intimidant ou casse-cou. Et cela plaisait beaucoup. Mais derrière ce masque se cachait un coeur blesser par les années.

Allan étant un garçon très intelligent, il aimait avoir de vraies conversations avec de grands esprits digne de son quotient intellectuel mais en trouvait que rarement. Il aimait attirer l'attention quand il passait quelque part et être regardé. Il faisait en sorte d'être toujours parfait en apparence et faisait de son mieux pour parraître le meilleur en toutes catégories pour ne décevoir personne et briller de son exelence sans arrêt. Mais ce qu'il aimait plus que tout, c'est Fair, sa peluche en forme de grenouille avec laquelle il dormait chaque nuit quand il était seul mais personne ne le savait à part son double fraternel. Et d'ailleurs, personne ne devait le savoir où ça risquerai de casser le mythe qu'était son existence.

Allan était sans cesse effrayé par l'idée de ne pas plaire aux autres. Tout comme son frère, il faisait donc de l'atélophobie. Pour cette raison, il faisait très attention à son apparence, aux mots qu'il choisait, à sa manière de se tenir, de faire les choses, ... Allan avait également peur de se retrouver séparé de son jumeau trop longtemps. Il s'imaginait aussitôt tout pleins de trucs que seul lui pouvait envisager. Malgrès le penchant assez solitiare de son frère, Allan tentait sans cesse de rester peu loin de celui-ci tout en étant entouré de multitude de gens. Son fraternel jouait de cette position pour obtenir d'Allan un peu tout ce qu'il voulait et jouer à le faire paniquer.

Mais, et ça parrait aussi ridicule que le fait qu'il dormait avec une peluche venant d'un personnage ayant atteint cet age là, il avait une phobie monstre des chats. N'importe quelle race, n'importe quelle taille. Il ne supportait pas qu'un chat ne l'apporche de trop près. C'est à dire à moins d'un mêtre d'écard. C'est de l'ailurophobie.

Sous un clair de lune d'été, deux enfants sont nés. Deux garçons d'une beauté exeptionelle. Leurs noms? Allan et Edward Grint. D'une riche famille d'acteurs dont Ewell Grint comme on aurait pu s'en douter et Haley Grint, l'ancienne amie et camarade d'Ewell, les deux frères eurent une enfance la plus parfaite possible. Ils avaient tous ce qu'ils demandaient et faisaient ce qu'ils souhaitaient dans leur résidence personnelle de Londres.

5 ans: "Par une belle journée d'été, on jouaient dans le grand champs fleuri non loin de la demeure familiale. Edward se cachait dans les fleurs pour que je ne le retrouve pas. Il pouvait rester pendant des heures sans bouger et moi je le cherchais désespérement. Les fleurs. De superbes liliums qui poussaient là et nous montaient jusqu'au bassin. Edward s'accrouppissait et demeurer là sans bouger jusqu'a ce que je m'énerve et me mette à sanglotter. Une fois que le fait que je m'énerve tout seul l'ai assez amusé, il me retrouvait et on jouaient ensemble dans les fleurs."

La relation qu'entretenaient les deux bessons était en effet assez ambigüe. Ils s'aimaient. plus que familièrement. Ils dormaient ensemble, se lavaient ensemble, ... Ils s'embrassaient de lèvres à lèvres pour se dire bonjour ou simplement par envie. On soupsonne même qu'ils soient allés plus loin qu'un baiser en mélant leurs corps durants les longues nuits qu'ils passaient seuls. Ils ne se séparaient jamais.

La paire vivait paisiblement avec leurs parents sans problème que ce soit. Ils ne connaissaient pas la faim, l'ennui, la peur, la mort. mais la vie leur réserva bien des surpises. Vraiment, la vie ne serait jamais plus aussi douce qu'elle ne l'avait été jusque là avec ces deux garçons.

10 ans: "Aujourd'hui, ma mère est morte. La femme qui nous avait donnée naissance, qui nous a nourit, qui nous a aimée toutes ces années durant n'était plus de ce monde. Les funérailles de maman. Ils s'étaient bien passés, je penses. Tout le monde pleuraient. Edward pleurait. je ne voulais pas le voir pleurer mais je ne pouvais pas m'empécher d'en faire autant. Une tristesse incoparrable emplissait mon coeur. Je ne pourrais pas la décrire tellement elle est forte. J'ai envie de mourir. Pourquoi? La fatalité."

Une maladie cardiaque avait eut sa mère. Elle était décédée dur le cou et n'avait pas eut le temps de ressentir de douleur. mais malheureusement ce fut Edward qui découvra le corp inanimée de la mère. Il courra dans les couloirs suivit de près pa son frère et vit le cadavre. il se jeta dessus et hurla. Allan resta figé, debout sans expression. Il pleurait en silence pour ne pas que son double le voit. Les larmes chaudes coulaient sur son visage devenu pâle et aussi froid que la dépouille de sa maternelle. Ils ne pouvaient le croire.

Ils firent leur deuil pendant plsuieurs mois puis la vie continua. Avec encore plus d'affinités entre les jeunes frères. Devenant adolesçants, ils découvraietn de nouvelles parties d'eux même et se les partageaient. Ils couchèrent ensemble bien des fois mais cela ne choqua pas leur père qui était au courant de leur aventure.

15 ans: "Son corps contre le mien. Je sens sa chair. Comme chaque fois qu'on le fait. J'aime cette sensation. Seulement là je pressens qu'Edward sera toujours mien. Jamais je ne le laisserai partir. jamais. Je l'aime trop. Il m'appartiens. Mais je crois que je lui appartiens tout autant. Je l'écoute, pour qu'il soit heureux. S'il est heureux, alors je peux penser à être heureux moi-même. Je l'aime. j'aime son corp. J'aime sa langue sur mon torse. Son corp dans le mien quand il me pénêtre."

Mais la vie n'était toujours pas décidée à les laisser vivre leur amour simplement et tranquillement. Elle attaqua de plus belle en leur enlevant leur père.

16 ans: "D'abbord maman, maintenant lui. Je l'ai aussi perdu. je tuerais celui qui l'a assassiné. il n'avait pas le droit. je refuse qu'on nous l'enlève. Maintenant je suis seul. il ne me reste plus qu'Edward. heureusement qu'Eward est là. J'en mourrais s'il vennait à mourrir lui aussi. j'en mourrais."

Sans parents, les deux jeunes furent envoyé au Japon. Sur l'Ile de Kyoria plus précisement. Chez leur oncle maternelle. Mais cette oncle n'aima pas du tout la relation qu'avait les deux jeunes frères. Il pris donc la décision de les séparer pour qu'ils n'ai plus ce genre de rapports. Il envoya Edwarts dans un lycée et Allan dans un autre. Chacun en pension. Les deux frères pleurèerent de devoir se séparer mais Edward promis à Allan qu'il le rejoindrait bientôt.

Depuis, Allan arriva entre les murs du lycée Tsubasa.