Maria et Nano avaient visité tout ce qu'il y avait de visitable dans le lycée, mis à part le grenier! Vaste et remplis de choses anciennes qui faisaient très peur à Maria lorsqu'elle était petite... C'était un endroit qu'elle n'aimait vraiment pas fréquenter!
Celle-ci était d'ailleurs entrain de monter les escaliers pour y arriver que soudain... Elle glissa sur la marche et manqua de se casser la figure, fort heureusement, Nano l'avait ratrapé de justesse.

"Merci... Moi et les escaliers, ça n'a jamais fait bon ménage!"

Elle entrèrent ensuite dans la grande pièce sombre, tout juste illuminée par des fenêtres toute poussièreuses et pleines de toiles d'arraignées.

"Quand j'étais petite... j'avais très peur de venir ici! Tout me faisait peur... et puis, pas étonnant quand tu trouves ce genre de truc..."

Elle montra du doigt un vieux costume de clown tout misérable...

"La première fois que je l'ai vu, je me suis mise à hurler! J'avais tellement peur des clowns quand j'étais petite qu'un jour, à l'anniversaire de mes 5 ans, mon père en avait fait venir un... Et... Peureuse comme je l'étais, je lui ai lancé ma part de gâteau au chocolat à la figure et je suis partie pleurer dans les bras de ma mère... Ca a fait rire tout le monde;.. Sauf moi!" è_é

Elle fit une mimique de petite boudeuse pour bien montrer que cela ne lui avait pas plus.

"Et puis... ce n'est pas tout, tu sais, ce lycée est hanté!" Lui dit-elle en affichant un sourir grand jusqu'au oreille. "Mais tu n'as rien à craindre! Je suis là pour te proteger, hein!"

Maria s'assit sur ce qui semblait être un vieux coffre et invita Nano d'un geste de la main à s'assoir à côté d'elle. Ensuite, elle leva la tête vers le ciel, et commença à lui expliquer d'un ton très sérieux ce qu'il s'était passé au lycée...

"Et bien... En fait, à ce que l'on m'a ranconté, le lycée, avant qu'il n'en soit un a véccu beaucoup d'épisodes dramatiques. Déjà, c'était un ancien hôpital... je te laisse donc deviner combien de morts il y a eut ici... D'ailleurs l'ancien cimetière est à deux trois pas d'ici. On pourra s'y rendre si ça te dit. De plus il a été ensuite abandonné... pour être ensuite rénauvé il y a longtemps, c'était la première fois qu'il faisait office d'école, hélas, un des murs si mes souvenirs sont bons s'est effondré l'hors de ces rénovations, et beaucoup d'élèves ont perdus la vie où on été blessés... Depuis, beaucoup prétendent qu'on entendrait des pas dans les couloirs... qu'il y a des portes qui s'ouvrent toutes seules, qu'on entend même des voix! Et le pire dans tout ça, c'est qu'il y aurait déjà eut des personnes possedées... m'enfin, tout ça reste à prouver! ... Mais je crois réellement qu'il se passe de drôle de choses ici..."

Elle regarda ensuite en direction d'un vieux piano tout poussièreux...

"Et puis... parfois j'ai l'impression que ce vieux piano fonctionne encore! Il y a par moment comme des mélodies qui semblent sortir de nul part..."

Elle se leva, et retira le voile qui protegeait le piano.

"Avant... Je jouais du piano... Je me demande si je sais toujours aussi bien en jouer!"

La jeune fille tourna la tête vers son amie.

"Et toi? Tu sais jouer d'un instrument?" Lui demanda-t-elle en souriant

Maria ne pu s'empêcher de rire comme une enfant en entendant la question de Nanao. Celle-ci se leva ensuite, remit la protection du piano et s'approcha de la jeune fille.

"Oh mais ne t'en fais pas! Le cours de musique est un cours supplémentaire, comme il n'y a pas beaucoup de monde, celui-ci reprend les 3 années..."

Parcontre, le fait que Nanao soit déjà en 2ème supris fortement Maria qui pensait vu son apparence qu'elle n'était qu'en première!

"Je suis suprise que tu sois en 2ème, cela veut dire que tu as deux ans de plus que moi étant donné que j'ai sauté une année... M'enfin, j'ai toujours préfèré trainé avec des personnes plus âgées que moi donc cela ne me pose pas de problème." Lui dit-elle en souriant chaleureusement.

"Dommage que pour les cours généraux nous ne soyons pas dans la même année... Fort heureusement, il nous reste toujours les cours supplémentaires! On peut en choisir 3 en tout, et changer si cela ne nous plait pas jusqu'au mois prochain..."

Brrrr quelle idée d'errer la nuit dans les couloirs ! Hey mais attendez un instant. Qu'est-ce qu'elle fou là en pleine nuit déjà, la Chiha ? Elle est sensée habiter en ville, et donc ne pas avoir de chambre au dortoir. Donc, que fait-elle ici ? Et bieeen, elle est restée un peu tard en salle d'étude à vrai dire. Elle n'avait pas fait attention à l'heure, aussi quand elle a relevé la tête de ses livres, elle s'est aperçut qu'il faisait déjà nuit. Bon sang, ce qu'elle pouvait être tête en l'air ! Elle avait rangé ses livres et cahiers, alors que le surveillant faisait sortir tout le monde pour rejoindre les chambres.

Mais puisque Chihaya n'a pas de chambre, et bien elle s'éclipse en douce pour aller visiter les étages dans lesquels elle n'irait jamais en temps normal. Un petit sourire espiègle étire ses lèvres, tandis qu'elle grimpe les escaliers deux par deux, pour finalement arriver au dernier étage. Bureau du psy, bla bla bla ... Ohhh mais que voit-elle ? Une trappe ? Dans le plafond ? Avec une échelle ! Mais ça nous a tout l'air d'un grenier ! ♥ Elle laisse son sac à terre, déplie l'échelle, et grimpe.

Des fois, je me demande si elle n'est pas un peu blonde sur les bords. Elle sait qu'il fait nuit dehors. Vous pensez qu'elle aurait eu la jugeote de prendre de quoi s'éclairer ? Bon, elle ne se trimballe pas avec une lampe torche dans sa poche, donc c'est mort. Elle ne fume pas, donc pas de briquet ou d'allumettes. Mais comme toute adolescente, elle a un portable. Et un portable, ça fait de la lumière. Et comme l'indique le nom, ça se ... Porte. Mais pas pour Chihaya. Enfin, si, mais ça se porte dans le sac. Et le sac est à terre. Elle se frappe le front.

-" Quelle cloche ... Mais j'ai pas envie de redescendre TT' "

Il faut dire qu'elle a un peu le vertige, et que si elle peut éviter de descendre une échelle pour la remonter ensuite, et bien elle le fait. Bon, ses yeux commencent à s'habituer à la semi pénombre ambiante. Heureusement que la lune est pleine et qu'elle éclaire un peu ... Pleine lune ? Elle dégluti. Puis elle secoue la tête. Tsss, les superstitions, j'vous jure.

Chihaya n'est pas une froussarde. Elle aurait juste tendance à se laisser influencer par son environnement. En l’occurrence, là il fait sombre, et elle est dans un grenier. Evidemment, la logique voudrait qu'elle commence à se faire un tas de film. D'ailleurs elle avait commencé à s'en faire un en remarquant que l'échelle ne restait pas au sol, mais qu'une fois qu'elle était les deux pieds sur le sol du grenier, elle se repliait. Elle déglutit, et fit quelques pas, avant de se faire peur avec ... une toile d'araignée. Elle soupira, se frappant le front. Son coeur s'était emballé comme un idiot lui aussi.

Elle tendit le bras devant elle, afin de déchirer cette satanée toile qui lui avait fichu la frousse. Puis elle se figea. Elle venait d'entendre l'échelle qui se dépliait. Oh mon dieu quelqu'un l'avait suivie ! Ou pire, il y a un fou furieux dans l'école, et il ramène une de ses victimes ! D'ailleurs, cette odeur qu'elle compare au renfermé, ça ne serait pas du aux corps s'entassant dans les coins ? Elle secoua la tête, inspirant et expirant lentement. Elle se rapprocha juste d'un pas. Bien évidemment, elle n'a pas la vision des chats la nuit. Elle ne voit donc pas qui est en train de monter.

Elle se rend compte qu'elle est tendue, prête à se défendre, même à pousser l'individu en bas de l'échelle si jamais il venait à faire quelque chose qui ne lui aurait pas plu. Elle eut beau plisser les yeux, tout ce qu'elle réussi à déduire de cette silhouette qui maintenant était au même niveau qu'elle, c'est que c'était humain, et visiblement masculin. Elle étouffa un rire quand elle l'entendit demander où se cachait le fantôme. C'était elle le fantôme ? Elle s'apprêtait à ouvrir la bouche pour lui annoncer que le fantôme se trouvait juste devant lui quand elle senti une main se poser sur sa tête puis ... KEUWAAAAAAAAA ?!!! Comment ça elle se fait tripoter la poitrine par un ou une inconnu(e) dans le noir ?!

-" Ehhhhhhhhhhh ?!!!! "

Elle arma sa main, prête à décapiter n'importe quoi se trouvant à proximité. Elle balança son arme. Qui ne frappa ... Que le vide. Elle manque de trébucher en avant, ayant donné trop d'élan à son geste, qui au final n'avait fait que brasser de l'air. Déstabilisée, elle dû faire quelques pas en avant pour retrouver son équilibre. BONG. Sa tête vient de taper un truc qui ressemble étrangement à une tête aussi. Elle se recula vivement et se ramassa sur les fesses.

-" Aîe aïe aïe ... "

Elle se frotta le front, à moitié étourdie. Elle se serait bien frotté la fesse droite, mais pour le coup, étant assise dessus et dans l'incapacité momentanée de se relever, elle s'en passera. Elle fronça les sourcils, se demandant si du coup, elle n'avait pas fait trop mal à la personne qui avait eu la malchance de tester son fabuleux sens de l'équilibre et sa tête trop dure.

-" Euh ... Ca va ? Ehhh qui est là ?"

Un peu sonnée par le choc frontal, elle resta quelques secondes, les yeux fermés, la main sur le front, les sourcils froncés. Même si ça n'avait aucune importance, puisque dans le noir ça ne se verrait pas. En revanche, le lendemain matin, ils auront une belle bosse sur le front. Elle ne put s'empêcher de lâcher un sourire, se disatn avec une certaine fierté qu'elle avait réussi à effrayer un garçon. (a). Elle décida de rester assise. Après tout, maintenant elle ne risquait plus de tomber, étant déjà à même le sol.

-" Oui oui, ça va. Punaise, rappelle moi de ne plus jamais aller dire bonjour à ton front comme ça ._."

Comme si que ça allait se reproduire en plus. Haha, la bonne blague. Ceci dit, c'était con, mais elle était rassurée d'avoir une présence avec elle dans ce grenier sombre qui sentait le renfermé et la poussière. Et qui grinçait. Affreusement. Surtout quand on faisait des gestes larges et violents, comme de vouloir balancer une droite à une personne que l'on ne voit pas tout simplement parce que cette personne a eu les mains baladeuses par mégarde. Elle soupira.

-" Je suis peut-être curieuse, mais ... Qu'est-ce que tu fais là ? "

Oh oui, tu es très curieuse, un peu trop même. Surtout qu'il serait même en droit de te retourner la question. Mais elle avait une excuse en béton ! Ouais, elle visite ! Oh, il est sans doute dans le même cas ? Ah bah euh ... Cool, tant mieux ! C'est mieux qu'être toute seule ! Elle se gratta la tempe, et une autre question fusa.

-" T'aurais pas un téléphone portable sur toi par hasard ? "

C'est pas qu'elle déteste être dans le noir, mais elle aime bien voir avec qui elle discute. Ou à qui elle met des coups de boule.

Cette nuit-là, je me réveillai en sursaut, hantée par le visage de Toshiro. Toshiro, lui qui m’avait accepté comme j’étais, lui que j’avais aimé si vite, trop vite. Pourquoi était-il parti ? Pourquoi m’avait-il fait cela ? Je me retournai maintes et maintes fois dans mon lit sans jamais parvenir à retrouver le sommeil. Je me levai donc et m’habillai d’une simple nuisette avant de sortir précipitamment de ma chambre, claquant la porte avec rage.

Je montai les escaliers jusqu’au dortoir des garçons. Je m’éternisai quelques minutes devant la porte de la chambre de Toshiro, attendant poing levé, prête à frapper quelques coups pour signaler ma présence, mais je me ravisé au moment même où un torrent de larmes acides de ne déversent le long de ma robe. J’errai dans le couloir, ne sachant que faire, puis je remarquai une porte sans numéro. Une chambre ? Je l’ouvris pour m’en assurer. Il ne s’agissait pas d’une chambre, mais d’un vieux grenier contenant toutes sortes de choses entassées dans tous les coins.

Il y avait un canapé au milieu de la pièce. Je refermai la porte derrière moi et avancé à tâtons jusqu’au fauteuil de velours usé. Je m’assis tout d’abord dessus avant de m’allonger complètement et de fermer les yeux, respirant l’odeur humide de la pièce miteuse afin d’oublier la peine qui me rongeait petit à petit et je m’endormis, quelques minutes plus tard.

Je fus soudainement réveiller par un homme grand et blond d’apparence. Le professeur de sport, Masao Yamaga, c’était lui. Lui-même n’était pas sûr de me reconnaître. Il s’en assura, tout simplement en me le demandant. Je ne répondis pas à sa question, le mitraillant d’interrogations à mon tour.

« Mon-monsieur Yamaga ?! Est-Est-ce bien vous ? Que-que faites-vous ici ? »

Je me redressai rapidement du fauteuil et me reculai le plus loin possible de lui, rajustant ma nuisette. Il me demanda alors si tout allait bien. J’aurais voulu lui répondre que non, tout lui raconter, mais j’étais bien trop fière pour cela. Et qui sait ? Peut-être ne voulait-il pas vraiment discuter.

« Je… Tout va bien. »

Je me reculai davantage, manquant de tomber en dehors du canapé, tremblant légèrement, me souvenant les raisons qui m’avaient amenée ici et ce qu’il s’était passé dans les vestiaires quelques jours plus tôt avec le grand blond.

Le grand blond soupira mon prénom et se rapprocha un peu de moi. Je cessai de fuir pour une raison que moi-même j’ignorais. Il me demanda ce qu’il s’était passé. Devais-je vraiment lui raconter ce que j’avais sur le cœur, me vider l’esprit en me confiant à lui ? Il répondit ensuite à ma question. Alors ainsi monsieur Masao venait souvent dans ce grenier pour lire et méditer ? Cette pensée me fit sourire, mais bon si c’était ce qu’il aimait faire lorsqu’il avait du temps libre, pourquoi pas ?

Je me reculai un peu vers le professeur, essayant de me calmer. Il n’allait rien me faire, si ? Je cru lire une sorte d’inquiétude dans ses prunelles. Que devais-je faire ? Tout lui raconter ? Après tout, dans de telles circonstances, il n’y avait pas grand-chose d’autre à faire, si ?

« Professeur, je… »

Je ne savais plus où j’en étais, vers où j'allais, ni même pourquoi j’avais pénétré dans ce grenier lugubre, pourquoi je m’éloignais de cet homme avec qui j’avais couché quelques jours plus tôt, pourquoi j’avais peur. Oui, j’avais peur. Je voulais que tout s’arrête, cette souffrance, cette vie, mais je ne le pouvais pas, je m’étais promis de continuer à vivre, pour ma mère.

« Je… Monsieur, je-je ne sais plus où j’en suis. Je… Le jour où-où j’ai couché avec-avec vous, je-j’avais un petit ami, mais-mais j’ai-j’ai appris par-par une collègue du club de jour-journalisme qu’il m’avait trom-trompé, lui-lui aussi et-et nous-nous avons rom-rompus hi-hier. Je-Je sais que-que je suis mal pla-placée pour dire cela parce que… parce que je suis une prostituée, mais-mais il savait… il savait que-que je ne pourrais pas lui-lui rester fidèle parce que je… j’ai fait une pro-promesse à-à quelqu’un et-et à cause de-de cette promesse je-je me perds peu à… peu à peu dans ce-ce monde de fous. »

Le grand blond se rapprocha davantage de moi, jusqu’à arriver à mon niveau. Il me prit alors dans ses bras et me serra fort contre lui, comme le faisait ma mère avant lorsque j’avais peur pour quelque raison que ce soit. Il relâcha son étreinte et me fixa dans les yeux, m’assurant que je ne devais pas m’en faire, que tout allait s’arranger, mais que pouvait-il bien en savoir ?

« Je-Je ne sais pas. »

Il prit ensuite l’une de mes mains entre les siennes, serrant fort ma paume avec ses doigts longs et robustes. Il me précisa ensuite qu’il était là pour moi, mais comment pouvait-il dire une chose pareille ? Comment pouvait-il après ce qu’il s’était passé ? Comment pouvait-il alors que je n’avais couché avec lui que pour rentrer dans le projet du directeur ?

Il soupira mon prénom, ne terminant pas sa phrase, comme s’il allait dire quelque chose d’honteux. Il regarda un bref instant le sol avant de relever son visage vers moi. Il me proposa alors de partir de ce grenier miteux avec lui, pour nous changer les idées, disait-il. Je ne savais que faire ? Suivre cet homme ou refuser ? Au point où j’en étais, je n’avais plus rien à perdre, alors pourquoi ne pas le suivre ? Il me sourit avant de me demander si quelqu’un avant lui m’avait déjà dit que ma peine, mes larmes, ma tristesse me rendait belle. A vrai dire, je ne me souvenais pas avoir un jour entendu des paroles aussi gentilles et réconfortantes.

Je réfléchis un long moment, pesant le pour et le contre. Le suivre et prendre le risque qu’il fasse de moi son jouet, comme cela c’était passé le jour de notre rencontre. Rester ici et me tromper à son sujet. Peut-être cet homme ne voulait-il pas seulement se satisfaire de mon corps, peut-être avait-il fait cela sous l’effet du manque, peut-être savait-il qui j’étais et voulait-il m’aider à entrer dans le projet pour me permettre d’atteindre mon but. Qui sait ?

« Mon-Monsieur Yamaga, je… Oui, c’est d’accord. Où voulez-vous allez ? »

Je le regardai dans les yeux, tentant de retenir le flot de larme qui tentait à nouveau de s’échapper de mes yeux humidifiés par ces grandes eaux acides, le gratifiant d’un sourire forcé.

HJ: Désolé mon ordi était capout ><

Masao l'avait regardé un long moment droit dans les yeux, attendant une réponse qu'il espéra favorable. Pour un déséquilibré comme lui, cela ne lui arrivait pas souvent d'inviter une jeune fille à "méditer" avec lui. N'allez donc pas croire qu'il entendait par là quelque chose d'obscène ou d'inconvenant. Neni, il méditait réellement! Et sachant qu'il l'avait toujours fait seul, vous en conviendrez bien que sa proposition était un peu inattendue.

"Où nous pourrions allez?" Il lui sourit avec un petit air de malice au coin de la bouche.

"C'est une surprise... Allez sèche tes larmes, on y va!"

Il se leva et l'invita ensuite en lui tendant la main, c'est ainsi que les deux jeunes gens partirent vers un lieu qui était encore pour l'instant, top secret!

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